9 façons de lever des fonds pour le financement de votre entreprise

9 moyens pour réussir le financement de votre entreprise

Pour permettre la création d’un projet d’entreprise, financer son besoin en fonds de roulement (BFR) ou encore soutenir sa croissance et son développement, un chef d’entreprise est constamment à la recherche de sources de financement.

Cependant, trouver un financement pour son entreprise demande de la persévérance et une bonne connaissance de vos options.

À quelle porte frapper pour lever des fonds et financer son entreprise ?

En temps de crise, le classique recours aux prêts bancaires devient plus difficile car les conditions d’octroi sont bien plus strictes.

Il existe bien heureusement plusieurs méthodes de financement alternatives. SBA Compta en a détaillé 9 pour vous ci-après, afin de vous aider à trouver le mode de financement qui convient le mieux pour lancer votre projet entrepreneurial, couvrir vos charges ou encore développer votre activité.

Pour commencer, sachez qu’il existe différentes façons de lever des fonds pour le financement d’une entreprise. Pour financer son projet, deux solutions s’offrent à l’entrepreneur :

  • Le financement d’entreprise par du capital,
  • Le financement d’entreprise par de la dette.

1. Le financement d’entreprise par apport de capital propre

1.1 Lever des fonds autour de vous : la Love money

Lorsque vous en êtes à votre premier essai, que vous n’avez pas d’expérience significative dans l’entrepreneuriat, et que vous voyez les portes du financement se fermer petit à petit, vous n’avez pas d’autre choix que de recourir à vos proches pour financer votre projet de création d’entreprise.

Il peut s’agir de membres de votre famille, d’amis ou de collègues de bureau (ou plutôt ex-collègues) qui croient en vous et en votre idée de projet, et qui sont prêts à y investir tout ou partie de leurs économies.

Pour les investisseurs, ce mode de financement présente certains avantages fiscaux et on a généralement recours à ce type d’apports pour ses premières levées de fonds.

Ceci dit, le fait que vous connaissiez bien vos bailleurs ne doit pas vous empêcher de leur présenter un vrai Business Plan, de répondre à leurs questions et de leur proposer un échéancier de remboursement le cas échéant.

Quelles précautions prendre avec la Love money ?

Il est dans l’intérêt de tout le monde de bien formaliser les conditions du prêt ou de leur entrée au capital. En effet, vous devez voir ces contributeurs comme des partenaires financiers, au même titre qu’une banque ou qu’un actionnaire.

Comme il ne faut pas mélanger vie privée et vie professionnelle, il en va de la qualité de votre relation sur le long terme. On ne compte plus le nombre de « meilleurs amis » ou de fratries qui se sont tourné le dos à cause de divergences pécuniaires… N’oubliez pas que les bons comptes font les bons amis.

1.2 Financement d’entreprise auprès d’un Business Angels

Comme leur nom l’indique, les Business Angels ont un côté angélique, salutaire et surtout font office de mentors de jeunes pousses. Il s’agit généralement d’entrepreneurs qui ont connu le succès et qui souhaitent investir dans une entreprise prometteuse, leur faire bénéficier de leur propre expérience et de leur carnet d’adresse, et profiter d’une opportunité rentable en même temps.

Les Business Angels sont généralement attirés par des projets qui reposent sur une idée innovante et qui affiche un fort potentiel de développement.

Ils participent au financement de projets d’entreprise en phase d’amorçage, c’est-à-dire la phase la plus risquée dans la vie d’une start-up.

Par ailleurs, certains réseaux de Business Angels sont spécialisés dans des domaines particuliers comme la santé, les biotechnologies ou l’édition de logiciels.

Comment rencontrer un Business Angel ?

Il n’y a pas une méthode miracle pour financer son entreprise auprès d’un Business Angel, mais quelques principes simples:

  • Surtout, ne manquez pas les évènements start-up autour de vous, type salons, conférences, rencontres-débats, etc.
  • Bétonnez votre dossier de présentation ! Savoir bien présenter son projet d’entreprise, c’est une compétence que le chef d’entreprise doit apprendre à maîtriser de gré ou de force… entraînez-vous dès vos débuts.
  • Soyez actif et visible sur les réseaux sociaux, et cherchez les groupes susceptibles de vous apporter des opportunités de vous faire remarquer et nouer des contacts.
  • Pensez à intégrer un “accélérateur”, un incubateur ou une pépinière d’entreprises ! Ils pourront vous fournir un espace, faciliter votre lancement par des conseils, un réseau, du mentorat… autant d’aspects qui faciliteront votre lancement et vous aideront à trouver un Business Angel.

1.3 Faire appel à une société de capital-risque (ou VC – Venture Capitalist)

Pour le financement de votre entreprise, on peut également faire appel aux bailleurs de capital à risques (ou capital-risqueurs) qui, comme leur nom l’indique, sont prêts à risquer une partie de leurs capitaux pour la perle rare. Ils gèrent un portefeuille de valeurs mobilières (dont ils détiennent au moins 50% de l’actif) qu’ils restructurent et remettent sur les rails avant de revendre leurs parts tout en accusant un bénéfice à la hauteur des risque pris.

Ces derniers fonctionnent sur un principe semblable à celui des sociétés d’assurance : ils achètent les parts de plusieurs sociétés en difficultés ou start-ups en pleine expansion qui consomment énormément de cash dans l’espoir que l’une d’entre elles connaisse un succès fulgurant.

D’ailleurs, cette dernière est assimilée à une licorne – comme Airbnb ou Uber – lorsqu’elle est évaluée à plus d’un milliard de dollars, étant donné l’infime probabilité de la chose !

Comment lever des fonds auprès d’un capital-risqueur ?

Comme pour les prêts bancaires, les capital-risqueurs recherchent avant tout une équipe exécutive pluridisciplinaire généralement constituée d’une personne au profil technique (par exemple un ingénieur informaticien), d’un bon commercial et d’un bon gestionnaire.

Ils recherchent également des preuves du potentiel commercial du produit proposé (prototype, preuves sur le terrain, réputation, etc.) ainsi qu’une bonne stratégie de commercialisation et de développement.

L’équation pour réussir le financement de son entreprise par un capital-risqueur peut se résumer à « une bonne équipe + un produit qui se distingue des autres + un fort potentiel de marché ».

L’objectif du capital-investisseur, ou capital-risqueur, étant de revendre ses actions au bout de 5 années avec un maximum de plus-value, ces investisseurs sont relativement exigeants quant aux résultats opérationnels de l’entreprise, au respect du Business Plan que vous leur présentez et sur lequel ils auront décidé de miser.

1.4 Le financement de votre entreprise grâce au crowdfunding (ou financement participatif)

Cette nouvelle méthode de levée de fonds a connu un essor et un véritable engouement ces dernières années.

Ce mode de financement participatif d’entreprises consiste à lever des fonds à travers une collecte via des plateformes de crowdfunding en ligne comme Wiseed, Kiss Kiss Bank, Blue Bees ou encore PretUp.

Les fonds collectés proviennent ainsi directement de particuliers.

Comment réussir sa levée de fonds en crowdfunding ?

Le financement d’entreprise via une plateforme de crowdfunding se fait en 7 étapes :

  1. La sélection de la plateforme en ligne de crowdfunding,
  2. La présentation de votre projet (objet du projet, montant à récolter, durée de la campagne, Business Plan, etc.),
  3. L’étude du projet par la plateforme pendant une période pouvant atteindre quinze jours : la plateforme réalise alors un audit juridique, financier et comptable afin de protéger ses investisseurs,
  4. La création d’une note d’information retraçant toutes les données importantes sur l’entreprise pour attirer le maximum d’investisseurs potentiels,
  5. La mise en ligne et la création d’une communauté centrée sur la nouvelle entreprise sur les réseaux sociaux,
  6. La collecte des fonds qui seront débloqués pour l’entreprise par la plateforme une fois la période de collecte achevée,
  7. La cession des parts des actionnaires qui souhaitent sortir du capital une fois la période d’investissement terminée.

2. Financer son entreprise par la dette

2.1 Le financement d’entreprise par crédit bancaire

Il s’agit du mode de financement d’entreprise le plus traditionnel : se faire prêter de l’argent par une banque moyennant son remboursement échelonné et assorti d’intérêts.

Vous êtes ainsi lié par un contrat conclu avec votre banque pour une période déterminée :

Type de crédit Échéance de remboursement
crédit à très court terme moins de 6 mois
crédit à court terme 3 ans
crédit à moyen terme entre 3 et 7 ans
crédit à long terme plus de 7 ans

Les crédits à très court terme sont considérés comme des facilités bancaires et sont utilisés pour financer le besoin en fonds de roulement de l’entreprise (crédits de gestion, avances de trésorerie, lignes de crédit…).

Comment faciliter l’obtention d’un crédit bancaire ?

Les banques sont de plus en plus prudentes quant à la capacité des entreprises à rembourser le prêt qu’elles ont contracté. Afin d’obtenir un crédit bancaire, vous devrez donc convaincre votre interlocuteur que votre projet est viable et surtout… rentable !

Dans votre dossier, vous devrez inclure un Business Plan détaillé qui comprend toutes les informations relatives à votre projet d’investissement (équipe du projet, plan marketing, données prévisionnelles financières, mode de financement envisagés, etc.) et aussi les modalités de remboursement que vous allez leur proposer.

Il est nécessaire d’avoir un ratio emprunts sur capitaux propres qui soit conforme au secteur auquel vous appartenez. Il faudra donc éventuellement constituer un capital de départ à travers les autres sources de financement d’entreprise avant de pouvoir solliciter un prêt bancaire. Cela sera en effet plus rassurant aux yeux de votre banquier.

Un projet bien préparé et bien présenté aura toutes les chances de bénéficier d’un financement par crédit bancaire. Pour convaincre votre banquier, vous devrez mettre en valeur chacune de vos expériences et présenter un plan d’investissement fiable et exhaustif. Vous devrez montrer que non seulement votre idée de projet est viable et innovante mais également que vous êtes la bonne personne pour la mettre en œuvre. La manière dont vous préparez vos documents est un facteur majeur de réussite dans votre levée de fonds.

Les Business Coachs SBA Compta vous accompagnent pour trouver des financements pour votre entreprise et réalisent avec vous et pour vous votre Business Plan. Ils vous apportent des conseils juridiques, fiscaux et financiers pour obtenir la confiance de vos investisseurs.

Pour gagner en crédibilité auprès de vos organismes de crédit, faites-vous accompagner d’un expert comptable en ligne et montrez-leur que vous maîtrisez votre cash grâce à un tableau de bord de gestion.

Pour bien préparer votre dossier de financement d’entreprise, faites appel à des experts pour vous aider à préparer un dossier solide et vous guider dans la manière de présenter vos arguments.

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2.2 Le financement de projet par crédit-bail

Ce mode de financement permet aux entrepreneurs de financer l’acquisition d’un bien mobilier (véhicule, équipement industriel, matériel informatique ou encore certains éléments incorporels tels des logiciels) ou immobilier (local à usage commercial, professionnel ou industriel) pour développer l’activité de leur entreprise.

Il s’agit d’un crédit qui se base sur un contrat de location passé entre l’entreprise et la banque. De ce fait, l’entreprise ne peut être considérée comme le propriétaire de ce bien qu’à la fin du contrat de crédit-bail.

Pour les biens mobiliers, ce mode de financement ne peut porter que sur des équipements neufs. Dans ce cas, l’entrepreneur choisit les biens dont il va se porter acquéreur mais ces derniers seront facturés à la société de crédit-bail qui sera considérée comme le propriétaire des équipements.

Pour les biens immobiliers, le contrat de crédit-bail peut durer jusqu’à 20 ans. Au terme du contrat, l’entrepreneur pourra :

  • Soit rendre le bien,
  • Soit racheter le bien pour sa valeur résiduelle qui aura été déterminée dès le départ dans le contrat de crédit-bail,
  • Sinon il choisira de prolonger la durée de location contre un montant de loyer réduit.

Quels sont les avantages du financement par crédit-bail ?

Ce mécanisme de financement d’entreprise offre trois avantages :

  • Un financement intégral sans nécessité d’apports de la part de l’entreprise,
  • Les montants des loyers sont déductibles de l’impôt sur les bénéfices,
  • Cette option minimise les décaissements des entreprises.

2.3 Financer matériel et véhicules : le leasing

Le leasing est un type de financement entrepreneurial assez proche du crédit-bail dans la mesure où il s’agit d’une location avec option d’achat.

Il s’agit d’un accord est conclu entre l’entreprise, une banque, un établissement de crédit ou encore une entreprise de crédit-bail.

Ce mode de financement d’entreprise est sollicité pour des biens immobiliers ou encore du matériel d’entreprise tel qu’un véhicule ou du matériel d’outillage.

L’entreprise paye une redevance mensuelle qui lui permet de jouir pleinement du bien qui fait l’objet du leasing.

Quels sont les avantages du financement en leasing ?

Ce mécanisme de financement d’entreprise offre trois avantages :

  • C’est un mécanisme simple,
  • Il est relativement facile d’obtenir ce financement,
  • Il n’y a pas besoin d’apport initial pour en bénéficier,
  • Les montants des loyers sont déductibles des impôts.

2.4 Le Crowdlending ou prêt participatif

Depuis 2014, ce système permet aux particuliers de prêter de l’argent aux entreprises pour financer leurs nouveaux investissements.

A l’image du crowdfunding, il permet au chef d’entreprise de contourner les banques et les investisseurs traditionnels. La transaction se fait via des plateformes de Crowdlending dédiées (il en existe une quinzaine en France). Sur ces plateformes, des particuliers peuvent choisir d’investir dans le projet qui leur plaît ou mettre leur argent dans différentes entreprises afin de diversifier leurs placements.

Selon les plateformes et les projets, le taux de rendement du prêt participatif peut atteindre 11%. En 2015, selon le site crowdlending.fr, le prêt participatif a permis de financer plus de 500 projets pour une valeur totale de 31,5 millions d’euros.

Toutes les entreprises de tous les secteurs d’activité peuvent chercher à financer leurs investissements via le crowdlending.

Il faut bien entendu monter un dossier attractif susceptible d’attirer les prêteurs. Cependant, du fait de la rareté des fonds, les sites de crowdlending ont tendance à faire une sélection draconienne des projets proposés. Certains entrepreneurs expliquent même qu’il est plus difficile de passer les sélections des sites de prêts participatifs que d’obtenir un prêt bancaire !

Une fois le projet sélectionné et proposé aux prêteurs, contrairement aux financements traditionnels, le processus devient très simple pour les chefs d’entreprise, qui peuvent récupérer facilement les fonds mis à leur disposition.

Par contre, malgré des taux de rendement attractifs pour les particuliers, les plateformes de crowdlending ajoutent des frais de fonctionnement relativement élevés qui peuvent parfois refroidir certains prêteurs.

2.5 Financez votre projet d’entreprise via des institutions publiques

Pour financer votre entreprise, vous pouvez également vous adresser aux organismes de fonds publics comme la Banque Publique d’Investissement.

Cette banque, créée en 2012, est le fruit du regroupement de plusieurs organismes publics pour financer les besoins des entreprises françaises.

Sa mission est de favoriser le développement durable, l’emploi ainsi que la compétitivité de l’économie française. Elle est implantée dans toutes les régions de France.

Pour conclure

Le choix du mode de financement d’entreprise dépend de là où se situe l’entreprise dans son cycle de vie et de ce dont elle a besoin pour son développement.

Quel que soit le mode de levée de fonds retenu, afin de convaincre la personne en face de vous d’investir dans votre projet, vous devrez :

  • frapper à plusieurs portes,
  • utiliser votre réseau de contacts,
  • chercher un partenaire pour le développement de votre entreprise (pas juste un investisseur),
  • convaincre votre investisseur avec des résultats concrets,
  • solliciter des conseils de la part de personnes qui sont passés par là où vous êtes (éventuellement rejoindre un incubateur d’entreprises),
  • constituer une bonne équipe de gestion de projet,
  • présenter un argumentaire solide chiffré avec des prévisions financières et un retour sur investissement fiables,
  • être persévérant et vous adapter au marché.

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18 personnalités toxiques au travail et comment les gérer

Top 18 personnalités difficiles au bureau et comment les gérer

Si vous travaillez en moyenne 40 heures par semaine, vous passez probablement plus de temps avec vos employés, collègues ou vos managers qu’avec vos proches.

Une personne agréable au bureau peut rendre le pire travail supportable. De la même manière, un collaborateur ou un patron franchement pénible peut rendre le meilleur lieu de travail totalement épouvantable !

Nous passons près de la moitié de notre vie au travail et, compte tenu de la complexité de la nature humaine, les choses deviennent obligatoirement difficiles. Qu’il s’agisse de problèmes directement liés au travail ou de problèmes à la maison, lorsqu’il y a une interaction constante entre les personnes, nous ne pouvons pas toujours rester en bons termes, malgré les meilleures intentions.

Nos collaborateurs sont comme les membres d’une famille. Nous ne pouvons pas nécessairement choisir avec qui nous travaillons, nous devons donc apprendre à vivre avec eux ! 

Il existe des personnalités avec lesquelles il est très difficile de travailler pratiquement sur tous les lieux de travail ! Si la personne vous pousse à bout, mieux vaut démissionner avant de craquer mentalement. Attention si vous démissionnez vous perdez vos revenus et vous n’aurez a priori pas droit au chômage. En revanche vous aurez droit au RSA, vous pourrez en faire la demande au cours de votre 3ème mois sans revenus. Vous pouvez simuler le montant de votre RSA en ligne afin d’obtenir une estimation des aides auxquelles vous pourrez prétendre.

Comment identifier un collaborateur difficile ? Et comment gérer une personnalité pénible au travail ?

Il est important de comprendre les différents types de personnalités toxiques auxquelles on peut être confronté sur son lieu de travail, et surtout comment bien communiquer avec celles-ci, car elles peuvent avoir des conséquences néfastes sur le travail de toute l’équipe et le succès de l’entreprise.

Votre Cabinet Comptable en Ligne SBA Compta vous dévoile le top 18 des personnalités toxiques les plus communes au travail et les meilleures méthodes pour les gérer intelligemment.

#1. Celui qui coupe la parole

Chaque fois que vous vous adressez à quelqu’un au bureau, cette personne trouve le moyen de s’immiscer. Elle répond à vos questions et vous ne pouvez pas avoir de conversation privée sans qu’elle s’incruste dans la discussion.

Comment gérer ce collègue envahissant ?

Abordez le problème de front.

Quand une personne est trop intrusive, dites quelque chose du genre: « En fait, je voulais vraiment avoir l’avis de Caroline à ce sujet. Pouvez-vous nous laisser une minute? ».

Si la personne continue à vous interrompre, répétez la phrase. Soyez gentil, mais surtout, soyez ferme.

#2. Mr ou Mme je-sais-tout

Cette personne a une opinion sur tout et prend plaisir à vous expliquer comment mieux faire votre travail. Sans avoir forcément d’intentions malveillantes, cette personne exerce une forme de tyrannie car elle est persuadée d’avoir toujours raison et essaie systématiquement de se placer au-dessus des autres.

Comment manager un collaborateur vantard ?

Ignorez-le.

Plus vous ignorez cette personne et l’empêchez de vous atteindre, mieux ce sera. Quand elle donne une opinion non sollicitée, dites simplement: « Merci, j’y penserai ».

Et si vous vous sentez frustré, rassurez-vous en vous disant que ce personnage est certainement considéré comme odieux par la plupart des personnes au bureau (ou même des clients/fournisseurs). Vous n’êtes certainement pas la seule personne irritée par son comportement.

#3. L’anarchiste

Cette personnalité rebelle est peut-être l’une des plus difficile à gérer. Ce type de collaborateur ou même supérieur se comporte de manière imprudente et agit d’une manière que d’autres trouvent déroutante, inconfortable ou même obscène.

Il a des difficultés avec les autres et s’ennuie rapidement. Lorsqu’il s’ennuie, ils créé intentionnellement des problèmes simplement pour remuer le pot, afin de générer de l’excitation.

Comment gérer l’anarchiste du bureau ?

Le moyen le plus efficace de gérer ce profil est de le placer dans son propre bureau, loin des autres ou encore de lui permettre de travailler à distance. Être près des autres provoque chez cet individu anarchiste une énorme quantité de chaos et d’irritation en interne.

Ce profil sera plus facilement gérable et exécutera plus efficacement sa tâche si son interaction avec les autres est limitée.

individu anarchiste

#4. Le négatif

Certaines personnalités au bureau se complaisent dans la négativité. Elles n’aiment pas leur travail et n’aiment pas travailler pour leur entreprise. Leurs patrons ou collègues sont tous des imbéciles qui les traitent toujours de manière injuste, leur entreprise ne fait jamais suffisamment pour eux, leurs clients sont méchants, leurs collègues sont envieux… Bref rien ne leur convient jamais, et leur vie est une plainte continuelle.

Vous connaissez ces profils hyper négatifs – chaque organisation en compte quelques spécimens parmi ses équipes.

Comment se protéger de collègues négatifs ?

Si vous le pouvez, évitez la présence de ce genre de personne au bureau. Ne laissez pas sa négativité vous affecter. Fermez complètement votre esprit à tous ses propos négatifs! Concentrez-vous sur des images positives dans les cas où vous ne parvenez pas à vous échapper.

Rappelez-vous également que cette personne est triste et sans doute très déprimée. Les gens heureux ne se comportent pas de cette façon. Et se rappeler cela pourrait vous faciliter les choses.

Les chefs d’entreprises ont de nombreux défis à surmonter !

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#5. L’amoureux du haut-parleur

Pour une raison incompréhensible, cette personne écoute toujours ses messages vocaux sur haut-parleur ou mène des conversations entières sur haut-parleur avec un mépris total pour son entourage.

Ou encore, il / elle aime beaucoup parler et a une voix qui porte. Et finalement, vous avez l’impression de n’entendre plus que ça à longueur de journée et cela devient difficile de rester concentré sur votre travail.

Oui mais voilà, vous ne voulez pas passer pour l’embêtant de service, et vous ne savez pas comment lui dire avec tact qu’il fait vraiment trop de bruit.

Pour bien gérer un collaborateur bruyant au bureau…

Soyez simple. Dites quelque chose comme: « Erwan, ça te dérangerait de décrocher ton téléphone? J’ai vraiment du mal à me concentrer dans un environnement bruyant ».

#6. La pipelette

La pipelette n’est pas une personne méchante, mais elle n’arrête jamais de parler. Elle est particulièrement douée pour vous engager dans de longues conversations qui ne se terminent jamais. Surtout lorsque vous êtes pressé ou que vous essayez de passer un appel téléphonique.

Comment gérer un collègue très bavard ?

Soyez ferme et ne laissez pas les pipelettes vous prendre tout votre temps.

Dites par exemple: « Désolé, mais je suis pressé et je dois finir quelque chose ». Si la pipelette continue à parler, soyez encore plus direct: « Je dois arrêter de parler et retourner au travail ».

#7. La victime

La victime est un autre type de personnalité difficile que l’on trouve dans de nombreux bureaux et qu’il est évident de repérer. C’est la personne qui se plaint constamment et tente d’attirer l’attention des gens sur ses problèmes (ou problèmes perçus) chaque jour.

Par exemple, les victimes se plaignent de leurs tâches, tentent de convaincre tout le monde qu’elles ne sont pas traitées équitablement, ou encore assurent qu’elles ont plus de travail que tous leurs collègues.

Ce type de personnalité peut aussi jouer la victime lorsque quelque chose ne va pas dans un projet d’équipe et prétendre avoir été été laissé à l’écart des réunions importantes.

Une étude a identifié des traits de personnalité communs aux victimes du travail et a constaté qu’elles «avaient tendance à être moins indépendantes, extraverties et moins stables que les non-victimes» (Coynea, Seignea et Randall, 2010, p. 335).

Apprenez à communiquer efficacement avec la victime du bureau

  • Essayez de faire preuve de patience avec elle pendant les conversations et reconnaissez qu’elle croit réellement avoir été victimisée, qu’il y ait ou non des preuves factuelles à l’appui.
  • Essayez de montrer des preuves du contraire quand elle commence à se plaindre de ses mauvaises circonstances. Par exemple, si elle prétend avoir été délibérément mise à l’écart des réunions, il peut être utile de souligner le fait qu’elle était en congé maladie lorsque certaines de ces réunions ont eu lieu et que vous et d’autres collègues ne vouliez pas la submerger à son retour.
  • Essayez de faire preuve d’empathie avec elle dans la mesure du possible tout en soulignant le fait qu’elle devrait essayer de prendre l’initiative de changer les circonstances qui la contrarient.
  • Maintenez vos propres limites pendant les conversations et ne la laissez pas vous entraîner dans des plaintes constantes sur les mêmes sujets. Une simple déclaration comme « Je sais que cela est important pour vous et je suis désolée de ne pas avoir le temps d’écouter plus, mais je dois retourner à mon bureau et terminer mon travail maintenant » peut suffire.

Le robot

#8. Le robot

Le profil “robot” a du mal à établir des relations avec les autres. Ils n’a pas le sens des nuances interpersonnelles et est généralement très rigide.

Son comportement perturbateur au bureau est dû à son extrême inflexibilité et à son incapacité à bien communiquer avec ses collègues ou supérieurs.

« Ils ont des crises de colère et des crises de comportement s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent », déclare Foster.

Comment gérer un(e) psychorigide au travail?

Si vous êtes manager, assurez-vous que votre communication avec vos employés robots est claire et concise et utilisez des instructions écrites plutôt que verbales.

Si le profil robot est votre collègue, essayez de minimiser les distractions lorsque vous lui parlez et organisez des réunions individuelles plutôt qu’élargies.

Ce type de personnes a des préférences claires quant à ce qu’il veut, donc le fait d’être flexible avec eux vous sera bénéfique sur le lieu de travail.

#9. Le lunatique

C’est la personne dont l’état émotionnel passe de zéro à soixante degrés en une nanoseconde lorsque les choses ne se passent pas comme prévu.

Ce type de personnalité est presque impossible à gérer. Son humeur change radicalement, soudainement et sans avertissement. Il en faut très peu pour provoquer sa colère, car il est possédé par ses pulsions et fonctionne uniquement sur une pensée irrationnelle.

Prendre une minute pour réfléchir est presque une mission impossible pour le/la lunatique. Ce type de profil exige trop de délicatesse et de “babysitting” de la part de ses managers et de tous les autres.

La plupart des gens, quand ils sont entourés par ce type de personnalité, s’en sortent en permettant à cette personne de suivre son chemin, histoire de réduire les conflits inutiles.

Comment manager un collègue lunatique ?

Cet employé affiche un taux de rotation élevé d’une entreprise à l’autre. Il brise non seulement les ponts entre lui et ses collègues, mais aussi entre lui et ses clients (si s’agit d’un entrepreneur lunatique).

En fin de compte, il est plus facile de s’en débarrasser ou de l’éviter que de continuer à essayer de travailler avec lui.

#10. L’égocentrique

Ce n’est pas forcément une tare d’être un peu narcissique. En fait, sur son lieu de travail, il est nécessaire de se faire une place. Cependant, ce trait de personnalité devient un problème lorsqu’il cache une très faible estime de soi.

Selon Foster, la plupart d’entre nous considérons les narcissiques comme ayant une opinion trop élevée d’eux-mêmes. Or il se trouve qu’un narcissique se protège au contraire d’une faible confiance en soi.

Les collègues, employés ou managers ayant ce type de personnalité ont un sentiment d’accomplissement démesuré, sont égocentriques et condescendants. « La personne remplit la pièce de son ego et surestime ses capacités », a déclaré Foster.

Elle ajoute qu’ils ont tendance à recentrer une histoire sur eux-mêmes, à vous couper la parole et à s’attribuer le mérite pour un travail que vous avez effectué. Vous devez réagir afin de vous faire respecter.

Ce type de personnalité peut être toxique pour le lieu de travail et tentera de contrôler les situations et d’obtenir un soutien pour sa vision de soi gonflée, quelle que soit la manière dont cela pourrait nuire à son entourage ou à ses relations.

Comment gérer une personnalité narcissique au bureau?

Le profil égocentrique refuse d’entendre quoi que ce soit qui nuirait à son estime de soi, explique Foster, alors résistez à la tentation de montrer que vous êtes contrarié.

Au lieu de cela, essayez d’autres tactiques telles que l’indication claire de votre nom sur les brouillons d’un document ou l’inclusion d’une tierce partie lorsque vous échangez des idées.

Selon Foster, une autre stratégie efficace consiste à insérer une critique entre deux compliments.

une personnalité narcissique au bureau

#11. Le contrôleur

C’est le type qui est souvent tatillon et critique vis-à-vis de ceux qui ne font pas les choses à sa manière.

Ces personnes peuvent avoir des traits de trouble obsessionnel-compulsif (TOC) même si elles ne sont pas atteintes du trouble lui-même. Elles ressentent souvent le besoin de contrôler les résultats de tout et de tous ceux qui les entourent et peuvent même aller au-delà des limites appropriées et tenter de contrôler des situations qui ne sont pas sous leur responsabilité.

Le contrôleur peut être aussi un perfectionniste et avoir des attentes incroyablement élevées pour lui-même et pour les autres. Cependant, il peut constituer un atout précieux pour votre entreprise ou votre organisation en raison de sa grande attention portée aux détails.

Communiquer efficacement avec le maniaque du contrôle peut être un grand défi, d’autant plus qu’il peut très bien être votre superviseur ou votre chef.

Quelles stratégies pour faire face au profil “contrôleur” ?

  • Faire l’éloge de son souci du détail et de sa contribution à la réussite du travail.
  • Lui fournir des détails et éviter les ambiguïtés qui pourraient augmenter son niveau d’anxiété.
  • Lâcher le contrôle lorsque la situation ou la tâche importe moins pour vous ou n’a pas d’effet négatif sur votre performance.
  • Ne pas le prendre personnellement quand son besoin de contrôle est à son apogée.

#12. Le silencieux

Le type de personnalité silencieuse/tranquille est souvent facile à identifier sur le lieu de travail. Ce type n’est pas nécessairement une personnalité difficile mais peut être source de confusion.

C’est la personne qui est généralement à l’écart, peut s’asseoir longtemps derrière son bureau (au lieu de converser devant la machine à café ou de se joindre à tout le monde pour le déjeuner) et peut se fermer aux autres en se cachant derrière son box, en gardant sa porte du bureau fermée, ou en portant des écouteurs.

Comment communiquer avec un collègue renfermé ?

  • Ne pas la pousser à communiquer ou à fraterniser avec tout le monde au bureau.
  • Donnez-lui plus d’espace et de temps que les autres pour vous répondre et communiquer ses pensées et ses sentiments.
  • Reconnaître sa valeur pour la société même si elle n’apporte que peu, voire aucune valeur, à l’environnement social du bureau.
  • Prenez le temps de comprendre ce qui la motive et montrez-vous un intérêt pour elle en tant que personne.
  • Ne le prenez pas personnellement si elle n’interagit pas avec vous comme le font les autres personnes se trouvant sur le même lieu de travail.

#13. Le passif agressif

Les types passifs-agressifs peuvent rendre l’interaction avec les collègues de bureau très difficile car ils peuvent ne pas être aussi faciles à repérer que les autres et peuvent causer de réels dégâts.

Ils se comportent de manière fictive en cachant par exemple leurs vrais sentiments en prétendant que tout va bien quand ils sont bouleversés. Ils ont également tendance à paraître calmes, froids et recueillis à tout moment puisqu’ils gardent leurs sentiments négatifs enfouis au fond.

Cependant, il y’ a un signe classique qui les distingue : ils peuvent saboter le travail ou les performances d’autrui, ou se venger de manière furtive.

Comment manager un collaborateur “passif agressif” ?

  • Évitez les comportements passifs-agressifs réciproques et affrontez les problèmes avec eux au grand jour, avec tact et avec un bon timing pour les conversations.
  • Utilisez la communication directe pour communiquer l’impact de leurs comportements négatifs sur vous, vos collègues et l’environnement du bureau. Par exemple, « Je ne me suis pas senti respecté lorsque vous vous êtes présenté tard à ma présentation ».
  • Exprimez de l’intérêt pour leurs véritables sentiments et créez un espace sécurisé où ils se sentiront entendus et pris en considération.

un collaborateur “passif agressif”

#14. Le super stressé

Peu importe la quantité ou le peu de travail que cette personne a sur son assiette, elle semble toujours être à deux doigts de lui arracher les cheveux.

Chaque fois que vous passez devant son bureau, il est dans tous ses états sur un projet ou un autre, et si vous l’engagez dans une conversation, préparez-vous à tout savoir sur ce qui le perturbe.

Que ce soit dans sa vie personnelle ou au travail, cette personne vit en permanence quelque chose de stressant. Cela rend non seulement le travail avec elle une expérience stressante, mais la rend également peu fiable.

Ces personnes ont tendance à oublier pas mal de choses, car leur sentiment d’être submergées les amène à couper le fil des tâches qu’elles ne se souviennent pas d’accomplir.

Comment gérer un employé hyper-stressé (et hyper-stressant) ?

Peu importe ce qui les stressent, ne vous laissez pas décontenancer. Votre stress et votre frustration ne feront qu’aggraver la situation.

Si vous devez travailler en étroite collaboration avec cette personne, divisez le travail en étapes faciles à gérer qui ne submergeront pas votre collaborateur/employé. Commencez petit et avancez ensemble à partir de là. Cela les maintiendra sur la bonne voie et les empêchera de tomber dans une spirale de stress.

#15. Le paranoïaque

Ce type peut être à la fois amusant et frustrant. Ces personnes peuvent avoir les traits d’un trouble de la personnalité paranoïaque même si elles ne sont pas atteintes du trouble lui-même.

Celles-ci incluent la méfiance constante vis-à-vis des autres et de leurs motivations, la méfiance des autres (même en l’absence de cause) et l’interprétation des comportements des autres de manière très négative (par exemple, « Elle l’a fait parce qu’elle veut me faire virer ! »).

Pour communiquer avec le paranoïaque de votre bureau…

  • Faites preuve de prudence dans ce que vous lui dites et reconnaissez que vos mots peuvent avoir une tournure très différente dans sa tête.
  • Offrez-lui des informations et des explications rationnelles et fondées sur des faits concrets, expliquant pourquoi certaines décisions ou certains développements ont eu lieu.
  • Évitez de vous laisser entraîner à changer sa perception de la réalité, même si cela vous semble étrange, à vous et aux autres personnes qui vous entourent.

#16. L’obsessionnel

Il est bon d’avoir un certain degré d’obsession, mais une forte préoccupation en matière de contrôle et d’ordre ne l’est pas.

Les employés obsessionnels ont peur de la perte de contrôle. Ils tentent donc d’imposer artificiellement une structure par le biais de règles, de lois et de protocoles. Ils tiennent à des détails et aiment commander leur entourage, ce qui peut être préjudiciable sur le lieu de travail.

Ils ont des problèmes d’efficacité et peuvent bloquer leurs collègues de bureau.

Ils recherchent désespérément la stabilité mais finissent souvent par se sentir dépassés et entravent leurs propres réalisations.

Les employés obsessionnels sont initialement perçus comme bénéfiques pour le lieu de travail, car ils semblent organisés, dévoués et soucieux du détail. Cependant, ces mêmes caractéristiques finissent par interférer avec les besoins du travail.

Que faire avec un collaborateur obsessionnel?

Il est important de noter que ces employés ne pensent pas qu’ils font quelque chose de mal : dans leur esprit, ils travaillent à la perfection.

La meilleure approche pour bien gérer ce genre de personne toxique au travail consiste à donner l’apparence que vous valorisez leur dévouement. Par exemple, lorsque vous travaillez sur un projet ensemble, surestimez leur engagement envers la tâche à accomplir.

Aussi, n’entrez pas en conflit à propos de petits détails. Vous n’aurez probablement pas le dernier mot.

un collaborateur obsessionnel

#17. L’émotionnel

Ce type d’employé « est inhabituel dans la mesure où il est si séduisant au départ », explique Foster, « vous êtes frappé par son intensité ».

Ce type de personnalité est caractérisée par une « surévaluation intense ». Vous possédez quelque chose qu’ils pensent ne pas avoir et qu’ils veulent avoir. Ils sont incroyablement attrayants et séduisants au début, mais par la suite, ils s’en prennent à vous.

Ces employés craignent profondément que votre intérêt pour eux puisse ne pas durer longtemps, ajoute Foster, alors ils vont pousser jusqu’à ce que vous leur prouviez qu’ils ont raison.

« Cette surévaluation intense peut rapidement basculer en une dévaluation intense » a déclaré Foster. Ces types d’employés sont émotionnellement instables et peuvent apporter un chaos énorme au bureau.

Comment gérer un employé hyper émotif?

Établissez des limites et définissez-les très clairement. Lors de confrontations ou d’explosions émotionnelles, redirigez leur attention pour créer une rupture dans la spirale négative. Et surtout, évitez à tout prix de vous laisser entraîner dans le drame.

#18. La commère

Un type de personnalité très commun dans de nombreux bureaux et facilement repérable : la “commère ». Il est de notoriété que de telles personnes obtiennent leur titre en parlant d’autres personnes (le plus souvent derrière leur dos) et en répandant des rumeurs sur d’autres (et elles ont souvent des versions fausses ou très exagérées de la vérité).

Si vous vous êtes déjà retrouvé dans une conversation de ragots de votre bureau, vous savez probablement à quoi vous attendre. Vous vous êtes peut-être même retrouvé victime de leurs mauvaises habitudes.

Les commères de bureau se comportent souvent de cette façon pour sortir de leurs propres insécurités ou pour créer un drame afin de se divertir.

En effet, parler des autres peut être un moyen de détourner l’attention de leurs mauvais traits (par exemple, de mauvaises performances au travail) ou un moyen de créer des situations qu’ils trouvent amusantes.

Les commères peuvent aussi croire à tort que leurs commérages sont un moyen de se connecter avec d’autres collègues avec qui ils partagent leurs ragots.

Pour communiquer efficacement avec la commère du bureau :

Tout d’abord, sachez qu’il peut être difficile de communiquer efficacement avec les commères ou de modifier leur comportement avant d’essayer de le faire. Une bonne stratégie de communication consiste à dire directement à cette personne l’impact de son comportement sur vous avec une déclaration du type « je me suis senti vraiment contrarié par le commentaire que tu as fait à mon propos à Jean-Pierre ».

Cependant, soyez prudent avec ceci et gardez à l’esprit qu’un commentaire comme celui-ci peut potentiellement créer plus de matière à utiliser par les commères.

  • Essayez de rester en dehors des potins et évitez de partager des détails de votre vie personnelle avec les pipelettes du bureau.
  • Renvoyez leur comportement à leurs propres défauts et leurs sentiments d’insécurité, au lieu de prendre ce qu’ils peuvent dire personnellement .
  • Abandonnez l’idée que les commérages au bureau peuvent être contrôlés et concentrez-vous plutôt sur votre propre comportement et sur le bon exemple pour les autres.

Pour conclure, gardons en tête que personne n’est le compagnon de bureau idéal. Examinez vos propres habitudes et demandez à vos collaborateurs comment vous pouvez devenir un meilleur collaborateur lorsqu’il s’agit d’interagir avec les autres.

Faites de votre mieux pour limiter la confrontation, maximiser votre professionnalisme et déployer des mesures défensives sur lesquelles vous avez le contrôle. Vous serez alors en mesure de créer un environnement de travail plus agréable pour tout le monde.

Nous espérons que cet article vous donnera de l’inspiration pour réussir votre gestion d’équipe!

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Rédiger un contrat de travail sans failles : Conseils pratiques

Comment rédiger un contrat de travail? Mentions obligatoires

Ca y est! Vous avez choisi le type de contrat de travail que vous souhaitez établir pour votre prochaine embauche. Vous vous êtes aussi mis d’accord avec votre futur collaborateur sur les détails du poste à pourvoir : date de début du contrat, temps de travail, rémunération, description de l’emploi…

Le moment est donc venu pour vous de rédiger un contrat de travail afin de formaliser les modalités de l’emploi et d’éviter les litiges avec votre futur collaborateur.

Les clauses que vous déciderez d’inclure – ou pas – dans ce contrat de travail définirons les contours juridiques de votre future collaboration employeur-employé.

Quelles sont les clauses obligatoires que doit contenir un contrat de travail ?

Comment bien se protéger vis-à-vis de la loi ?

Quels sont les pièges à éviter ?

Faites attention : ne pas avoir de documents juridiques fiables ou des contrats clients en votre faveur fait partie des erreurs juridiques à éviter absolument!

Assurez vos arrières par un encadrement juridique conforme à la loi française, afin de sécuriser correctement votre entreprise et vos données.

Pour vous aider à bien rédiger votre contrat de travail, votre Cabinet d’Expertise Comptable en Ligne, SBA Compta, vous propose de revoir les points principaux afin de bien vous protéger et d’être en conformité avec la loi française.

1. Rédiger un contrat de travail : Quelles sont les mentions obligatoires ?

Pour faire un contrat de travail valable, vous devez y mentionner un certain nombre de mentions obligatoires :

1.1 L’identification complète de l’employeur et du salarié

Vous devez préciser dans le contart de travail tous les détails d’identification de l’employeur :

  • Dénomination sociale
  • Siège social
  • Gérant
  • Numéro URSAFF et SIRET

et du futur salarié : nom, prénom, adresse et numéro de Sécurité sociale.

1.2 La date de début (et fin) du contrat de travail

La date de d’embauche doit absolument apparaître sur le contrat de travail.

S’il s’agit d’un Contrat de travail à Durée Déterminée, vous devez également mentionner :

– La date de fin d’emploi,

– Les conditions de renouvellement du contrat de travail, le cas échéant.

1.3 La nature du contrat de travail

Il s’agit de préciser si le contrat de travail est à durée indéterminée (CDI) ou au contraire à durée limitée (CDD, CTT…)

Dans le cas où vous embauchez un salarié en CDD, vous devez mentionner le motif de la durée limitée.

Attention dans ce cas, vous ne pouvez invoquer que l’un des 5 motifs prévus par la loi :

  • Remplacement d’un salarié ou du dirigeant d’entreprise absent (et dans ce cas, vous devez obligatoirement mentionner le nom et la qualification de la personne remplacée)
  • Accroissement temporaire d’activité
  • Exécution de travaux temporaires par nature
  • Emplois saisonniers, secteurs à usage constant, travaux de vendanges
  • Remplacement d’un chef d’exploitation agricole ou d’entreprise, d’un aide familiale, d’un associé d’exploitation, ou de leur conjoint

Faute de mention spécifique, le CDD pourra être requalifié en CDI par le juge.

Autre mention obligatoire : le contrat de travail peut être à temps plein, c’est-à-dire 35 heures hebdomadaires, ou à temps partiel (moins de 35 heures hebdomadaires).

Dans le cas d’un temps partiel, les horaires de travail doivent être détaillés.

1.4 La description du poste

Décrivez la nature de l’emploi que votre salarié occupera, les détails de la fonction ainsi que sa position hiérarchique.

1.5 La rémunération

Précisez les montants du salaire de base, fixe et variable, et des différentes primes ou avantages en nature dont va bénéficier votre salarié, ainsi que la périodicité de la rémunération.

1.6 Le lieu de travail

Lorsque vous rédigez le contrat ce travail, vous devez préciser le lieu de l’emploi (ou le lieu de rattachement dans le cas de mobilité).

1.7 Les congés payés annuels

Indiquez la durée des congés payés dont bénéficiera votre collaborateur, ainsi que la manière de calculer ces congés dans le contrat de travail

1.8 Le délai de préavis

Mentionnez la durée du préavis à respecter en cas de démission et de licenciement.

1.9 Les modalités de la période d’essai

Attention, si vous oubliez d’indiquer les modalités de la période d’essai, votre futur salarié sera dès son premier jour considéré comme engagé définitivement par la société (ou pour la période déterminée en cas de CDD).

La loi stipule que la période d’essai varie entre 2 et 4 mois renouvelables une fois (en fonction du poste de votre salarié) pour les contrats en CDI et elle est de un mois pour les CDD.

1.10 La Convention Collective applicable

En cas de convention collective applicable, si votre entreprise y est soumise.

1.11 Les Caisses de sécurité sociale et de retraite

Indiquez le nom ainsi que l’adresse de l’organisme de Sécurité Sociale auquel vous cotisez, ainsi que le nom et l’adresse de la caisse de retraite complémentaire.

1.12 Signature du Contrat de travail

Pensez-y ! Le contrat de travail doit être rédigé en deux exemplaires et doit être signé par le salarié avant que celui-ci ne prenne ses fonctions.

Rédiger un contrat de travail : quelles clauses et quels sont les pièges à éviter ?

2. Rédiger un contrat de travail : quelles clauses et quels sont les pièges à éviter ?

Employeurs, pensez à vous protéger avec des clauses supplémentaires !

Car au-delà des mentions obligatoires de contrat de travail, certaines tâches ou activités nécessitent des clauses spécifiques que vous devez également mettre sur papier :

2.2 Clause de travail à domicile

Si votre salarié a opté pour le télétravail, le contrat doit contenir une clause relative au travail à domicile.

2.3 Clause d’exclusivité

Si vous ne souhaitez pas que votre salarié travaille pour un autre employeur ou pour son propre compte durant son contrat, vous devez mentionner une clause d’exclusivité.

Bien évidemment, cette clause est exclue de fait en cas de contrat de travail à temps partiel.

2.4 Clause de mobilité géographique

Si votre entreprise possède des établissements dans plusieurs régions, et que vous pensez qu’un collaborateur pourrait avoir besoin d’effectuer des missions sur d’autres sites, voir changer son lieu de travail permanent, vous devez négocier tous ces points avec lui préalablement à l’embauche et faire le contrat de travail dont vous spécifier en détail les lieux des établissements concernés.

Une éventuelle mutation doit pouvoir être justifiée de manière concrète par l’intérêt de l’entreprise, sous peine de nullité.

Et dans tous les cas, elle ne peut se faire que s’il s’agit bien de la même structure juridique.

2.5 Contrat de travail Clause de Confidentialité

Des irrégularités dans les clauses de confidentialité contractuelles peuvent causer des dommages importants si un employé quitte votre entreprise en détenant des informations confidentielles ou des détails précis sur vos projets d’innovations.

Si vous souhaitez mettre en sûreté les informations stratégiques liées à l’activité et au développement de votre entreprise vis-à-vis de vos équipes (mais c’est valable également pour les sous-traitants, les investisseurs ou tout autre tiers), vous devriez penser à avoir des clauses de confidentialité bien rédigées.

Une clause de confidentialité empêche la divulgation d’informations à des tiers, et peut s’appliquer aussi bien pendant la durée du contrat qu’après la fin du contrat.

Pour bien rédiger un contrat de travail valide, veillez à préciser tous détails des conditions de protection de propriété intellectuelle, d’éventuelles restrictions, garanties ou toutes dispositions relatives à la confidentialité.

2.6 Clause de non concurrence

La clause de non-concurrence vous garantit que votre collaborateur n’exploite pas d’informations sensibles dont il aurait eu connaissance au cours de son emploi dans votre entreprise, et ce, pendant un laps de temps défini après le terme de son contrat.

Faites bien attention, car cette clause doit être limitée à un domaine particulier et sensible que vous devez décrire. Par exemple l’utilisation d’une technologie spécifique, l’exploitation d’un brevet particulier ou encore l’accès à la base clientèle de l’entreprise peuvent justifier d’un recours à cette clause.

Cette clause doit également mentionner une limite géographique et temporelle.

En outre, elle doit obligatoirement comporter une contrepartie financière, sous peine d’être considérée comme nulle.

Attention : vous ne pourrez pas renoncer à cette clause à la fin du contrat, vous serez dans l’obligation de verser cette contrepartie quoi qu’il arrive. Prenez donc bien le temps de réfléchir au montant que vous souhaitez proposer.

Profitez des conseils de nos juristes et de nos experts pour faire un contrat de travail valable!

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Entrepreneurs : 13 bonnes résolutions pour booster votre entreprise en 2019 !

Top 13 résolutions entrepreneur pour réussir en 2019

Une nouvelle année, c’est le moment idéal pour faire le point et se fixer les objectifs pour les 12 mois à venir.

Vous avez peut-être l’intention de manger plus sainement, faire plus de sport ou faire enfin ce voyage dont vous parlez depuis trois ans. C’est très bien de souhaiter améliorer votre vie personnelle.

De la même manière, vous pouvez aussi prendre de bonnes résolutions pour votre entreprise afin de l’améliorer chaque jour par de meilleures habitudes. Pour les entrepreneurs qui souhaitent réussir, adopter des résolutions de nouvelle année peut vraiment aider. Et cela implique de se fixer des objectifs accessibles.

Besoin d’inspiration? SmallBusinessAct, expert-comptable en ligne et votre partenaire de succès, vous dévoile les 13 meilleures résolutions d’entrepreneur pour l’année 2019 afin de booster votre business !

1. Apprendre à mieux gérer son stress

Le stress au travail n’est pas seulement un obstacle à vos objectifs, il peut également nuire à votre santé et à votre bonheur en général.

Il faut donc se résoudre à trouver de véritables moyens pour en finir avec les problèmes liés au stress au travail.

Cela pourrait être un nouveau passe-temps ou encore en arrivant au travail une demi-heure plus tôt que prévu pour pouvoir passer un moment serein avant de commencer à répondre aux emails et avant l’arrivée de vos collaborateurs.

Peu importe ce qui vous aiderait à vous sentir plus calme lorsque la situation sera chaotique, essayez d’en intégrer une partie dans votre routine quotidienne.

2. Relancer son Networking

Votre réseau professionnel est l’un des meilleurs atouts de votre carrière.

Pour tirer le meilleur parti de votre réseau, établissez des relations en dehors des “Likes” de Facebook et des notifications LinkedIn. Commencez par votre réseau existant et réfléchissez aux relations que vous souhaitez améliorer.

Si vous habitez dans la même région que votre contact principal, déjeunez avec cette personne le plus souvent possible. Si vous êtes loin, envoyez un email pour lancer une conversation.

Si vous souhaitez élargir votre réseau, définissez un objectif en ajoutant un nombre X de nouveaux contacts par mois. Connectez-vous par exemple avec les amis de vos amis qui travaillent dans le même domaine ou dans un domaine qui vous intéresse, ou rejoignez des réunions professionnelles ou d’autres communautés.

3. Faire connaître son entreprise

Bien sûr, c’est bien de sortir et de socialiser (et de rechercher de nouvelles opportunités de réseautage), mais le type d’activité sociale dont nous parlons ici est essentiellement virtuel.

S’engager auprès de votre public cible sur les médias sociaux est essentiel pour faire connaître votre entreprise, bâtir votre marque et fidéliser votre clientèle.

De plus, la connexion à des plateformes sociales vous offre de nouveaux moyens de vous connecter et de promouvoir votre site Web.

Adhérer à un réseau d’entraide pour entrepreneurs

4. Adhérer à un réseau d’entraide pour entrepreneurs

Rappelez-vous quand vous avez commencé votre carrière, vous étiez probablement excité et plein d’espoir tout en vous sentant à la fois nerveux et incertain. Aviez-vous du soutien ? Auriez-vous pu en avoir davantage ?

L’une des meilleures résolutions du nouvel an pour les entrepreneurs est de prendre le relais. Contactez quelqu’un de votre secteur d’activité qui débute et qui pourrait avoir besoin du mentorat pour obtenir des conseils.

Votre générosité ne passera pas inaperçue et vous serez perçu à la fois comme un expert dans votre domaine et comme une personne avec laquelle les gens veulent travailler.

Vous ne savez pas comment trouver quelqu’un? LinkedIn propose une fonctionnalité appelée Career Advice. Répondez à quelques questions rapides et ils vous mettront en contact avec une personne en fonction de vos préférences.

5. Déléguer davantage

Les entrepreneurs ont l’habitude de tout faire, mais le devraient-ils?

Transférer le travail à quelqu’un d’autre peut être difficile, en particulier pour ceux qui sont habitués à porter tous les chapeaux nécessaires à la gestion d’une entreprise.

Cependant, déléguer vous permet de mieux vous concentrer sur ce que vous aimez faire et ce que vous faites le mieux, mais aussi de vous concentrer sur la croissance de l’entreprise que vous gérez.

Posez-vous ces questions:

  • Que redoutez-vous de faire?
  • Quel type de tâche repoussez-vous sans cesse?
  • Qu’est-ce qui vous accable?
  • Quelqu’un peut-il faire en quelques minutes ce qui vous prend des heures?

Les réponses à ces questions peuvent vous aider à identifier le travail que vous pouvez faire et celui que vous devriez déléguer à quelqu’un d’autre.

Si déléguer votre comptabilité est l’une des résolutions de 2019 pour votre entreprise, confiez cette mission à SmallBusinessAct.

SmallBusinessAct, cabinet comptable en ligne, met à votre disposition des experts-comptables expérimentés et des coachs de gestion dédiés pour vous accompagner dans le développement de votre business.

6. Planifier à long terme

Lorsque vous réfléchissez aux résolutions de votre nouvelle année 2019, pensez à 2020 et au-delà.

Rien que l’idée de cette tâche peut sembler décourageante. Commencez donc par dresser une liste ou établir un calendrier.

Vous pouvez utiliser la méthode de la vieille école, à savoir le vieux papier scolaire ou trouver un planificateur à utiliser.

Notez tous vos objectifs. Incluez les objectifs personnels et professionnels que vous souhaitez atteindre. Réfléchissez aux mesures simples que vous pouvez prendre pour concrétiser ces rêves.

Affichez vos objectifs au mur, afin de les visualiser chaque jour. Ce plan sera votre facteur de motivation pour rester sur la voie du succès tout au long de 2019 !

7. Rencontrer vos clients en personne

Même avec toutes les avancées technologiques les plus récentes, la vérité est que vous avez besoin de passer du temps en face à face avec vos clients.

Essayez de sortir plus souvent de votre bureau / atelier / cabinet, et interagissez avec ceux qui soutiennent et défendent votre entreprise.

Organisez des rencontres, des ateliers ou même des réunions informelles. Exprimez votre sincère gratitude envers vos clients pour leur parrainage et leur soutien, et cherchez à les connaître personnellement.

Cela boostera votre image de service clientèle et vous aidera également à mieux servir votre public cible.

Dans les deux cas, vous bâtissez une meilleure entreprise. Et c’est ce dont il s’agit pour 2019.

Penser digitalisation

8. Penser digitalisation

Réduisez l’encombrement de vos bureaux en téléchargeant des fichiers et des documents sur un service cloud. Cela augmentera l’accessibilité et la flexibilité.

La numérisation de vos documents augmente également les possibilités de travail à distance pour vous et vos employés – ce qui semble être la direction dans laquelle de nombreuses entreprises se dirigent.

Adopter une telle approche avant-gardiste stimulera la croissance de votre entreprise. Le passage au zéro papier vous fera gagner du temps, des erreurs et de l’argent (à peu près 80 $ par employé et par an pour être exact).

9. Suivre les tendances Webmarketing

Vous devez rester au fait des tendances pour la conception de votre site web. Il faut savoir que la conception de site web passe aussi par des phases et des modes.

Gardez donc un œil sur ce qui est tendance et sur ce qui est sooo 2019 pour que votre site reste pertinent, attrayant et qu’il ait l’air Frais (avec un F majuscule).

Certains principes fondamentaux de la conception de sites web sont basiques et certaines choses à faire en matière de conception ne se démodent jamais:

  • Faites une veille et des recherches pour rester à jour,
  • Consultez votre checklist d’idées de design,
  • Réveillez l’artiste qui est en vous,
  • Ou faites appel à un webdesigner
  • Pour créer un site web magnifique et en vogue.

N’oubliez pas de faire le maximum pour votre page d’accueil, véritable vitrine, qui doit être efficace et attractive.

10. Equilibrer vie pro et vie perso

La journée de travail d’un entrepreneur ne se termine pas toujours le vendredi à 17 heures pour reprendre le lundi à 9 heures. De plus, le burnout vous attend souvent au tournant et affecte votre santé physique et mentale.

Il est donc important de prendre le temps nécessaire pour recharger vos batteries.

Voici d’excellentes façons de travailler tout en maintenant votre équilibre :

  • Faites du sport aussi souvent que vous le pouvez.
  • Passez du temps avec des personnes qui comptent pour vous.
  • Dormez la nuit.
  • Prenez du temps pour vous-même.

Avec votre esprit rafraîchi et votre corps énergisé, votre succès est garanti.

11. Mieux gérer vos flux de trésorerie

Pour ne jamais piloter son entreprise à l’aveugle, mieux vaut être en mesure de maîtriser ses flux de trésorerie.

Le cash-flow (ou trésorerie) est la pierre angulaire d’une entreprise, son moyen de payer des salaires, d’acheter des fournitures et d’investir dans du matériel, des logiciels, des brevets…

Les entrepreneurs qui ne parviennent pas gérer efficacement leur trésorerie d’entreprise naviguent en eau trouble.

Pour vous aider dans cette tâche difficile, gérer votre tréso et maîtriser votre cash sans se fatiguer, SmallBusinessAct invente la solution de compta & trésorerie en ligne 100% CLOUD disponible à tout moment.

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Une bonne gestion, c’est d’abord une histoire de visibilité et d’anticipation !

12. Développer son leadership avec une meilleure communication

Les entreprises qui réussissent le mieux sont gérées à l’aide d’une excellente communication.

Lorsque les employés ont l’impression d’être tenus dans l’ignorance ou de ne pas disposer de la bonne information pour mieux servir leurs clients, cela ne fait que créer de la confusion et briser la confiance au sein de votre entreprise.

Pour être un meilleur communiquant, tenez régulièrement des réunions, des stand-ups et des entretiens individuels avec vos collaborateurs. Ainsi vous créez du lien et vous vous assurez que tout le monde est bien à la même page.

13. Auditer les process et repérer les inefficiences

Beaucoup d’entreprises perdent un temps précieux à cause de processus inefficaces.

Bien que la majorité des décideurs se jugent efficaces sur la plupart des fonctions de base de leur métier :

  • 30% d’entre eux en moyenne admettent perdre jusqu’à 65 jours ouvrables par an de travail administratif,
  • et 53% d’entre eux gaspillent l’équivalent d’un mois de travail annuellement sur des tâches peu lucratives et inutiles à leur développement.

Les chefs d’entreprise doivent s’attaquer directement à ce problème de productivité, car le temps passé en tâches administratives est un temps qui pourrait être mieux utilisé pour déployer de nouvelles stratégies de croissance, l’acquisition de nouveaux clients ou encore la planification R&D.

Réaliser un audit productivité est une excellente première étape pour résoudre ce problème si répandu.

Les tâches nécessitant un temps main-d’œuvre important, telles que remplir des formulaires administratifs, établir des déclarations fiscales, courir après ses pièces comptables manquantes ou encore saisir manuellement ses factures, sont de réelles pertes de temps pour l’entrepreneur !

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Leadership en entreprise: comment se présenter pour être inoubliable?

Leadership: TOP 7 conseils pour une présentation inoubliable

Les managers les plus efficaces sont ceux qui parviennent à bien communiquer, convaincre leurs interlocuteurs, gérer et motiver leur équipe… Ils inspirent confiance et exercent une influence positive sur leurs collaborateurs.

Plus généralement, ils possèdent ce qu’on appelle du leadership, ces qualités personnelles (“soft skills”) qui leur permettent de transmettre une image professionnelle positive et faire bonne impression sur leur auditoire.

Le leadership est une attitude, et comme telle, peut s’apprendre et se développer avec la pratique et un peu de patience.

Développer son leadership : par où commencer ?

Tout commence par la façon dont vous vous présentez!

Lorsque votre présentation est correcte, vous faites passer vos messages et vous atteignez vos objectifs beaucoup plus aisément.

Les occasions en milieu professionnel peuvent survenir à tout moment. Si vous voulez réussir votre networking, apprendre à bien se présenter et faire une bonne “première impression” sont des éléments qui peuvent faire la différence.

SmallBusinessAct, Cabinet comptable en ligne, vous propose aujourd’hui 8 conseils simples pour développer votre pouvoir d’influence au travail grâce à une présentation impeccable!

1. Quelle image professionnelle voulez-vous transmettre ?

Pour sortir du classique et banal “je suis le (titre du travail X) de la société (Y)», la première chose à faire est de déterminer qui vous êtes réellement. Posez-vous la question suivante :

Pour quelles qualités souhaiteriez-vous être connu(e)?

C’est une question qui vous permet de sortir de votre zone de confort. Plutôt que de vous appuyer sur vos réalisations antérieures, vous devez tenir compte de l’impact que vous souhaitez avoir dans le futur.

Pour mieux améliorer votre image de marque, vous devez d’abord décider quel type d’image vous souhaitez véhiculer. Pour cela, définissez vos objectifs professionnels, en accord avec vos valeurs et l’image de votre entreprise.

Pour les chefs d’entreprise, pensez à votre image, votre réputation et votre identité professionnelles qui sont intimement liées.

Ainsi, si vous n’avez pas encore réfléchi à ce sujet, penchez-vous sur la notion de Personal branding, un outil de communication indispensable pour transmettre une image professionnelle positive.

Allez au-delà de votre fonction

Joanna Bloor, PDG d’Amplify Labs et experte en présentation, a posé la question suivante à une journaliste: “Que faites-vous?”, et sa réponse a été : “je suis journaliste et dramaturge”.

Mais après lui avoir demandé ce qu’elle aimait dans ces deux professions et ce qu’elle espérait accomplir grâce à elles, elle a élaboré une réponse authentique, et donc réellement convaincante: “Le monde peut être un lieu accablant. J’aide donc les gens à se connecter les uns aux autres en racontant des histoires en tant que journaliste en tant qu’auteur dramatique”.

Tout le monde a du mal à le faire, mais la réponse à la question “que faites-vous?” peut avoir un impact énorme. Il faut élaborer une réponse audacieuse, convaincante, authentique et unique. Il faut dire aux gens pourquoi vous êtes génial.

2. Identifiez vos talents et compétences

Pensez aux problèmes que vous seul pouvez résoudre

Tout le monde, peu importe son travail ou son secteur d’activité, est essentiellement un “solutionneur de problèmes”.

Ainsi, essayez de découvrir les problèmes que vous êtes particulièrement aptes à résoudre, en vous posant les questions suivantes :

Quels problèmes résolvez-vous au travail? Et qu’est-ce qui vous rend particulièrement efficace?

Découvrez comment présenter vos compétences professionnelles en une phrase.

Par exemple, au lieu de dire “je suis un avocat spécialisé en droit de type X”, vous pouvez dire: “je pense que le plus gros problème du système de justice est A. Je suis un avocat qui se concentre sur B, trouver des solutions en faisant C”.

Demandez conseil à des personnes de confiance

Il est souvent difficile pour les gens de percevoir leurs propres compétences. « La chose pour laquelle vous êtes fantastique peut être aussi naturelle que de respirer, alors vous la sous-estimez« , dit Bloor.

Si vous avez du mal à identifier vos talents professionnel, elle vous suggère de vous adresser aux personnes qui vous connaissent bien et en qui vous avez confiance, amis ou collègues dont vous êtes proches, et de leur demander: « Qu’est-ce que vous voyez que je fais bien, que je sous-estime et est-ce que c’est vraiment spécial? »

En règle générale, ils trouvent des thèmes ou un langage communs dans leurs réponses, même s’il s’agit de personnes appartenant à différentes sphères de votre vie.

Retournez à votre enfance

Toujours perplexe? Entrez dans une machine à remonter le temps et repensez à votre personnalité lorsque vous aviez huit ans. Cela vous aidera à identifier et analyser vos points forts.

Qu’aviez-vous de formidable à cet âge?

Les caractéristiques dont vous faisiez preuve à cet âge peuvent souvent s’appliquer à votre personnalité actuelle et future, et vous aider à voir en quoi vous vous différenciez des autres.

3. Pour développer votre charisme, vivez l’instant présent

L’un des point communs des leaders, c’est qu’ils sont investis à 100 % dans l’instant. C’est l’une des clés pour développer votre charisme.

La qualité de présence que vous proposez est proportionnelle à votre implication dans une situation ou une conversation, et votre interlocuteur perçoit cette forme d’engagement de votre part comme du respect et de la considération.

Donc si vous voulez exercer une influence positive sur les autres, efforcez-vous de pratiquer une écoute active et concentrez-vous sur votre interlocuteur. Par exemple, commencez par mémoriser son prénom.

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Gagnez en crédibilité : les classiques fonctionnent toujours

4. Développer son charisme : les classiques fonctionnent toujours

Optez pour une attitude polie

La politesse est toujours une attitude appréciée. Et par exemple, en étant ponctuel, vous transmettez une image très positive de vous-même, en particulier en terme de crédibilité et fiabilité.

Soignez votre apparence

Et choisissez une tenue vestimentaire en adéquation avec votre milieu professionnel : bien se tenir et adopter le bon dress-code permet de faire bonne impression et donner une bonne image de soi en entreprise.

Regardez votre interlocuteur dans les yeux

Établir un contact visuel avec votre interlocuteur est le B.A.BA du leadership, pour montrer que vous êtes à l’aise, lier une communication vraie et instaurer un climat de confiance.

5. Pour faire bonne impression, soyez authentique

Pour transmettre une bonne image de vous-même, rien de tel que de se montrer sous son vrai visage.

L’authenticité est une très bonne carte à jouer en entreprise, dans la mesure où elle vous permet d’être à l’aise et de ne pas créer de conflit inutile en vous-même entre ce que vous pensez et qui vous êtes.

Être trop dans le contrôle de soi, en particulier de son langage corporel, vous donnera plutôt une attitude un peu crispée. Tout le contraire de ce que vous cherchez si on parle de développer son aisance et sa confiance en soi.

Alors, saisissez l’opportunité, lorsque vous vous présentez, de révéler quelque chose d’honnête sur vous-même.

Apprenez à vous présenter avec des expressions telles que “je suis vraiment passionné par X” ou “ce qui me passionne le plus à propos de ce que je fais est Y”, ce qui permet de communiquer votre émotion et votre enthousiasme et incite les autres à réagir de la même manière.

En tant que leader, vous créerez ainsi une première impression forte et chaleureuse.

6. Recueillez des commentaires sur votre présentation

Une fois que vous avez créé votre présentation, exercez vous sur 5 personnes que vous connaissez bien.

Puis, quelques jours plus tard, demandez-leur quels sont les éléments dont ils se souviennent le plus à propos de la manière dont vous vous êtes présenté.

Leur réponse quelques jours plus tard vous dira ce qui est le plus mémorable à propos de votre première introduction, de ce que vous pourriez modifier et ce sur quoi vous pourriez essayer d’appuyer en rencontrant de nouvelles personnes.

7. Véhiculez enthousiasme et optimisme

Rien de plus agréable (et rare) qu’un manager souriant !

Afin de faire une bonne première impression et développer une image professionnelle positive, développez votre optimisme et votre enthousiasme.

Si vous n’êtes pas de tempérament optimiste, c’est peut-être un aspect de vous-même sur lequel vous pourriez travailler, car il vous permettra en outre de vous sentir plus heureux dans votre vie.

En effet, les leaders positifs, plus avenantes et plus souriantes, inspirent davantage confiance et nourrissent une bonne atmosphère autour d’elles. D’excellentes armes pour accroître sa sphère d’influence au travail !

Si vous n’aimez pas les changements radicaux, commencez par sourire un peu plus chaque jour (sans exagération, bien entendu).

Avec la pratique, en changeant peu à peu vos habitudes, vous parviendrez à incarner un meilleur leadership. Vous améliorerez votre méthode de management et vous gagnerez en sérénité.

Grâce à SmallBusinessAct, votre Expert Comptable en ligne, vous avez maintenant toutes les cartes en main afin de réussir votre présentation et vous ancrer positivement dans l’esprit des gens que vous rencontrez.

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CDI, CDD, CTT, alternance… Quels sont les différents types de contrats de travail ?

Contrat de travail : Les types de contrats de travail en France

Après de nombreux entretiens, il semblerait que vous ayez trouvé le candidat idéal ! Et l’heure est venue pour vous d’embaucher votre premier salarié.

Toutefois, avant qu’il ne rejoigne votre entreprise, vous devez rédiger un contrat de travail en bonne et due forme.

Contrat de travail, définition

Le contrat de travail est un acte juridique qui encadre la relation entre employeur et employé et permet de définir les conditions de l’emploi occupé (durée, lieu, salaire…).

Sachez qu’il existe dans le secteur privé cinq types de contrats de travail : CDI, CDD, alternance, CTT et intermittence. Chaque type de contrat de travail est spécifique et se prête davantage à certains métiers que d’autres.

Alors quels sont les différents types de contrats de travail en droit français ?

Comment choisir celui qui est le plus adapté à votre embauche ?

Idéalement, le choix du type de contrat de travail doit être fait en amont des entretiens d’embauche. Ce choix se fera selon la situation de votre entreprise et l’expérience de votre collaborateur.

Pour vous orienter dans cette tâche, votre Cabinet d’Expertise Comptable en Ligne SBA Compta vous propose de voir en détail les différents types de contrats de travail prévues par le droit du travail français.

1. Le contrat à durée indéterminée ou CDI

Qu’est-ce qu’un CDI ?

C’est le type de contrat de travail le plus répandu de part la stabilité qu’il procure à l’employeur et au collaborateur.

C’est un contrat qui ne prévoit pas de date de fin d’exécution de l’accord conclu entre les deux parties.

Ce type de contrat de travail peut être à temps plein (35 heures hebdomadaires) ou à temps partiel (moins de 35 heures hebdomadaires), et la quotité horaire doit obligatoirement figurer dans le contrat.

Ceci étant dit, cela ne veut pas dire que l’employé restera éternellement dans l’entreprise avec laquelle il aura signé un CDI : les deux parties pourront de commun accord choisir de mettre fin au contrat.

Aussi, si l’une des parties estime qu’il y a eu un manquement grave de la part de l’autre, elle pourra également rompre le contrat de travail sous certaines conditions.

En définitive, l’employé peut donner sa démission (en respectant un délai de préavis le cas échéant), passer par une rupture conventionnelle du contrat de travail ou bien, en cas de désaccord grave avec l’employeur, un licenciement (ce qui lui donne droit à des indemnités si la faute grave n’est pas prouvée).

Un CDI doit-il obligatoirement être écrit ?

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la loi n’oblige pas à formaliser par écrit un contrat CDI (sauf dans le cas d’un CDI à temps partiel, et si la Convention Collective applicable vous y oblige).

Dans le cas où il n’est pas écrit noir sur blanc, l’employeur doit remettre à l’employé un double de la DPAE (Déclaration préalable à l’embauche) remise à l’organisme de sécurité sociale qui mentionne:

  • le titre du poste occupé, 
  • la date d’embauche, 
  • la durée du contrat, 
  • la convention collective applicable, 
  • le nombre de jours de congés payés 
  • et la durée du préavis.

Votre Expert Comptable SBA Compta vous conseille de passer par un écrit-cadre afin de mieux vous protéger en cas de litige. Nos équipes de professionnels expérimentés réalisent pour vous votre juridique et votre gestion sociale.

Bon à savoir : en France, le CDI est la norme, c’est la qualification qui s’applique par défaut à tout contrat de travail conclu à l’oral. Cela signifie qu’en l’absence de contrat de travail, ou si vous mettez trop de temps à renouveler le CDD d’un salarié, celui-ci verra par défaut son CDD requalifié en CDI.

2. Le contrat à durée déterminée (CDD)

Par opposition au CDI, le type de contrat de travail CDD prévoit une durée de collaboration entre l’employeur et l’employé limitée dans le temps.

Le CDD doit obligatoirement être formalisé par un écrit et transmis au collaborateur dans les 48 heures qui suivent son embauche.

Attention, le CDI étant la norme en droit du travail, la raison du choix d’un contrat de travail temporaire doit être obligatoirement précisée dans le contrat de travail.

Quels sont les motifs possibles de recours au CDD ?

Un employeur n’a le droit de recruter en CDD que dans les cas suivants :

  • Un remplacement d’un salarié absent
  • Une augmentation temporaire de l’activité de l’entreprise
  • Dans le cadre d’une mission temporaire par nature (emplois saisonniers, vendanges…)
  • Ou encore dans certains cas très spécifiques, par exemple contrats d’insertion, emplois d’avenir… pensez à consulter la liste exhaustive de la Direction de l’information légale et administrative).

Attention à bien préciser cette information dans le Contrat de travail, car une erreur peut entraîner une requalification en CDI par un juge.

Le CDD peut être renouvelé à deux occasions et il prend fin à la date convenue par écrit lors de la signature du contrat. Ce contrat peut éventuellement être transformé en CDI.

Les différents types de contrat CDD

Sachez qu’il existe des types de contrat de travail CDD à terme précis (comportant une date de début et une date de fin d’emploi) et des CDD sans terme précis.

En cas de CDD à terme imprécis, le contrat de travail prend fin au moment de la réalisation de l’objet pour lequel il a été conclu.

Par exemple, en cas de CDD pour motif de remplacement d’un salarié absent, alors le CDD ne prend fin qu’au moment du retour du salarié.

Renouveler un Contrat à Durée Déterminée (CDD)

Le type de contrat de travail CDD à terme imprécis ne peut pas être renouvelé.

Un CDD à terme précis ne peut être renouvelé que 2 fois au maximum. Il doit y avoir un motif spécifique à ce renouvellement. 

La durée maximale du contrat et de ses renouvellements éventuels ne peut pas dépasser 18 mois sauf certaines exceptions (vous pouvez consulter au besoin la liste exhaustive des cas particuliers de durée maximale de CDD mise à disposition par le Ministère du travail).

Entrepreneurs, attention à bien signer l’avenant du renouvellement de CDD avant que le contrat n’arrive à son terme, au risque, là encore, de le voir requalifié en CDI !

Renouvellement d’un contrat de travail à durée déterminée (CDD)

 

3. Le contrat en alternance

Ce contrat, très sollicité ces dernières années, permet d’alterner entre périodes de formation théoriques et périodes de travail en entreprise en vue d’obtenir une qualification professionnelle. Il en existe deux types :

Le contrat d’apprentissage

Le contrat d’apprentissage est une forme de CDD réservé aux jeunes de 16 à 25 ans inclus dans le but de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés.

Il peut durer de six mois à trois ans selon le diplôme préparé (DUT, BTS, licence ou Master).

Le contrat de professionnalisation

Le contrat de professionnalisation concerne également les personnes de 16 à 25 ans et également être sollicité par les demandeurs d’emploi de 26 ans et plus.

Il peut être un CDI ou un CDD de six mois à un an, et ouvre la voie à l’obtention d’une qualification professionnelle (titre, diplôme ou certificat de qualification professionnelle).

4. Le contrat de travail temporaire (intérim)

Ce type de contrat de travail est convenu entre les deux parties pour une mission temporaire bien définie et fait intervenir une tierce partie, telle qu’une agence d’intérim qui fait office d’intermédiaire entre le salarié et l’employeur.

Par conséquent deux contrats sont signés, le premier entre l’entreprise et l’agence intérimaire, le second entre l’agence et le salarié.

En cas de période de travail d’un mois maximum, la période d’essai ne peut pas dépasser deux jours.

Quels sont les motifs possibles de recours à l’intérim ?

Un employeur n’a le droit de recourir à un contrat de travail temporaire que dans les cas suivants :

  • Un remplacement d’un salarié absent,
  • Une augmentation temporaire de l’activité de l’entreprise,
  • Dans le cadre d’une mission temporaire par nature (emplois saisonniers…),
  • Engager un consultant pour un regard extérieur et objectif
  • Ou encore dans certains cas très particuliers consultables ici.

L’intérim ne doit en aucun cas être une manière de pourvoir à l’activité permanente de l’entreprise.

En outre, le recours à l’intérim est interdit dans les six mois qui suivent un licenciement pour motif économique.

5. Le contrat de travail intermittent (CDII)

Le Contrat à Durée Indéterminée Intermittent (CDII) est autorisé par le Code du travail uniquement pour certaines activités de formation, activités saisonnières, secteur du spectacle ou autres activités touristiques.

Il est valable pour un emploi permanent mais où les périodes d’activité et les périodes chômées fluctuent au cours du temps, et permet d’éviter le recours à une succession de CDD.

Il s’agit d’un type de contrat de travail CDI avec certaines clauses obligatoires spécifiques : durée annuelle minimale de travail, périodes travaillées, rémunération, qualification requise et heures de travail.

Attention : l’employeur ne peut recourir à ce type de contrat de travail que si un accord collectif ou une convention le lui permet.

Enfin, ce type de contrat de travail doit bien être distingué du CDD dit « d’usage », réservé aux intermittents du spectacle.

N’hésitez pas à faire appel à un professionnel pour faire un bon suivi des contrats.

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12 indicateurs de performance que chaque PME devrait surveiller de près

Top 12 Indicateurs de performance PME

A quoi sert un Indicateur de Performance d’entreprise ?

Afin de piloter efficacement votre entreprise et suivre votre développement avec précision, votre Expert-Comptable en Ligne SBA Compta vous recommande de mettre en place des Indicateurs de performance d’entreprise.

Ces indicateurs de performance, encore appelés Key Performance Indicators (KPIs), regroupent des informations précises qui doivent permettre d’évaluer votre marge de manœuvre et de gérer votre activité au quotidien.

S’ils sont bien utilisés, ce sont des outils très efficaces pour :

  • mesurer le progrès de votre entreprise vers vos objectifs,
  • orienter votre stratégie
  • et évaluer la création de valeur de votre PME.

Ils facilitent la prise de décision grâce à une meilleure visibilité de vos points forts et en fonction de vos buts.

Qu’est-ce qu’un bon indicateur de performance d’une entreprise ?

Quels indicateurs de performance choisir pour votre entreprise ?

Qu’est-ce qu’un bon indicateur de performance (KPI) d’entreprise?

Choisir de mauvais indicateurs de performance d’entreprise, c’est un peu comme passer par le mauvais chemin : quelle que soit la durée de votre trajet, vous n’arriverez pas à destination !

Pour qu’un indicateur de performance d’entreprise soit utile, ce qui est le but au final, il doit répondre aux caractéristiques suivantes :

  • Simple : votre choix doit se porter sur plutôt sur des indicateurs de gestion simples à concevoir, clairs et compréhensibles par tous.
  • Mesurable : en quantité et laps de temps : même dans le cas d’indicateurs de performance d’entreprise qualitatifs, mieux vaut privilégier des façons de standardiser la collecte d’informations, afin de pouvoir établir des comparaisons entre plusieurs période, et mesurer des progrès tangibles.
  • Concret : (“actionnable”) et utilisable tout de suite par le décideur.
  • Disponible : on privilégiera les indicateurs en temps réel au indicateurs liés au Bilan Comptable calculés sur l’exercice N-1.
  • Pertinent : il doit absolument s’inscrire dans votre stratégie entrepreneuriale et vos objectifs annuels.

Comment choisir ses indicateurs de performance d’entreprise?

SBA Compta, expert comptable en ligne, vous aide à choisir les indicateurs qu’il vous faut pour mesurer la performance de votre entreprise dans les meilleures conditions. Pour cela, réfléchissez bien à aux critères suivants :

  • Clarifiez vos objectifs stratégiques

Utiliser des indicateurs de performance n’a pas d’intérêt si vous n’avez pas clarifié les objectifs stratégiques que vous souhaitez atteindre, comme par exemple améliorer vos ventes, fidéliser votre clientèle, proposer des solutions innovantes, diversifier votre offre, créer davantage de valeur ajoutée…

Réfléchir à votre stratégie entrepreneuriale et vous fixer des objectifs clairs est donc la toute première étape à laquelle vous devez penser.

  • Étudiez bien votre business

Les paramètres varient d’une entreprise à l’autre et dépendent de la nature de votre activité. Il n’y a pas une liste figée d’indicateurs de performance parfaits qui fonctionneraient pour toutes les entreprises : le choix doit être fait en fonction de votre secteur économique et de votre Business Model.

Effectuez des recherches approfondies afin de mieux comprendre les besoins spécifiques de votre secteur d’activité.

  • Restez concentré !

Avoir beaucoup d’indicateurs de performances d’entreprise peut vous distraire. Concentrez-vous seulement sur les KPIs les plus pertinents pour votre entreprise.

  • Choisissez des indicateurs de performance d’entreprise quantitatifs et qualificatifs

Les indicateurs de performance d’entreprise quantitatifs sont importants et faciles à mesurer, mais les KPIs qualitatifs donnent une autre image plus vivante et plus précise de votre activité.

Alors ne vous concentrez pas seulement sur les mesures quantitatives et donnez une chance aux qualitatives, qui peuvent vous fournir des informations plus utiles!

Les indicateurs quantitatifs et qualificatifs à surveiller de près

Les 12 exemples de d’indicateurs de performance d’entreprise (KPI) à surveiller de près

Pour les petites entreprises ou celles qui viennent de démarrer, la croissance est LA grande priorité.

SBA COMPTA accompagne le quotidien de centaines d’entreprises. Parmi toutes les métriques que vous devriez garder à l’œil, certaines sont plus pertinentes que d’autres pour les TPE et PME.

Des exemples d’indicateurs de performance tels les outils de mesure de qualité, de process ou encore de Ressources Humaines sont importants, mais le fait de gérer une petite structure permet de garder un certain contrôle sur ces facteurs.

Ce qui compte si vous êtes dirigeant d’une PME, c’est avant tout de bien mesurer vos performances financières et commerciales.

Alors quels sont les indicateurs de performance les plus utiles aux petites entreprises ?

Votre Cabinet de Comptabilité PME SBA Compta vous présente les 12 indicateurs de performance les plus importants à suivre de près :

1. Le Coût d’Acquisition Clients (CAC)

Il s’agit d’un exemple d’indicateur de performance critique à ce stade de croissance de votre activité. Vous avez besoin de clients et pour les acquérir, vous devez investir des ressources dans votre stratégie marketing.

Le Coût d’Acquisition Client est le montant total que vous devez dépenser pour attirer un nouveau client.

Il est simple à calculer, vous avez besoin de 2 chiffres :

  • Le montant total que votre entreprise a dépensé sur une période donnée pour générer des prospects (marketing, communication, service commercial…)
  • Ainsi que le nombre de clients que vous avez retenus au cours de la même période.

Le Coût d’Acquisition Client est égal au montant dépensé, divisé par le nombre de clients. Le résultat offert par cet indicateur est le coût d’un client unique à gagner.

Calcul de coût d’Acquisition Client = Montant dépensé / nombre de clients

Si votre coût d’acquisition clients est trop élevé, examinez vos dépenses, réduisez les zones non performantes et essayez de les optimiser.

Commencez par examiner le site web de votre entreprise, car il est fréquent d’investir beaucoup d’argent dans un site web sans pour autant optimiser son taux de conversion.

2. Le Taux de fidélisation de la clientèle

Nous sommes bien d’accord avec le fait que l’acquisition de nouveaux clients est incroyablement importante, mais un point est encore plus critique : comment garder vos clients près de vous?

Certaines entreprises échouent parce qu’elles mettent toutes leurs dépenses, leurs énergies et leurs efforts dans l’obtention de nouveaux clients, et oublient de retenir ses clients existants.

Alors vérifiez combien de temps vos clients vous restent fidèles. Ont-ils tendance à interrompre leur contrat en cours de route ? Ou au contraire sont-il un grand pourcentage à revenir vers vous pour d’autres achats ?

Nous ne nions pas la valeur précieuse d’acquisition de nouveaux clients, mais le coût pour obtenir un nouveau client est bien plus élevé que la commercialisation de produits et services auprès d’un client acquis.

Vos obligations envers vos clients actuels ne s’arrête pas lorsqu’ils consomment le service ou le produit que vous offrez :

  • Par exemple, les clients adorent donner leur avis. Pensez à leur poser des questions simples afin qu’ils puissent partager leur opinion à propos de leur expérience produit.
  • Ou encore, pour les clients inactifs, pensez à leur demander ce qui les retient.

Avec cet indicateur de performance d’entreprise, vous récolterez plein d’informations utiles, permettant de résoudre les problèmes et d’augmenter leur rétention avec un minimum d’effort et un coût proche de zéro.

Taux de fidélisation de la clientèle

3. Le Taux de perte client (attrition)

Le troisième exemple d’indicateur de performance est l’attrition. Perdre des clients est un fait naturel, c’est ce qu’on appelle “l’attrition” ou encore « churn rate ». Cependant, c’est un phénomène que vous devez garder sous contrôle.

Pour calculer le taux d’attrition de votre base client, prenez la mesure du nombre de clients pour une période bien déterminée, par exemple séquence de 30 jours. Cela vous donne une idée sur les clients qui ont abandonné votre produit sur une courte durée (cela dit, ils peuvent y revenir plus tard).

Une séquence de 90 jours vous donne une meilleure visibilité sur vos clients inactifs ou qui se sont détournés de votre offre.

Votre mission est de les contacter tous, afin d’identifier les raisons de leur départ et voir si vous pouvez corriger cette tendance.

4. La Valeur Vie Client (Customer Lifetime Value)

Alors que le Coût d’Acquisition Client est une estimation du coût d’acquisition de chaque nouveau client, la Valeur Vie Client se réfère au revenu total qu’un client peut générer tout au long de sa relation avec votre entreprise.

C’est une forme d’estimation de la durée d’utilisation de vos produits.

Pour que cet indicateur de performance d’entreprise soit vraiment utile, le mieux est de la comparer à votre Coût d’Acquisition Client : si sa valeur est inférieure à votre Coût d’Acquisition Client, cela signifie que vous dépensez trop de ressources pour des clients qui ne restent pas suffisamment longtemps.

Donc vous devez agir pour inverser cette tendance.

5. Le Taux de conversion

Appelé également taux d’activation, c’est une mesure du nombre de visiteurs réels ou virtuels qui se convertissent en clients réels.

Vous devez surveiller comment cet indicateur de performance d’entreprise évolue avec le temps. Si cette valeur est élevée, vous faites un excellent travail, les utilisateurs aiment ce que vous offrez et sont facilement convaincus de l’intérêt de devenir des clients actifs.

Par contre si cette valeur est faible, il y a un défaut ou un manque d’utilité, ce qui repousse les clients.

Pensez à poser des questions à ces prospects, c’est un bon moyen pour connaître ce que vous devez améliorer.

6. Le Taux de référence

Le taux de référence est une mesure estimée d’attraction de nouveaux clients à travers vos clients réels. Et la clé pour trouver cette valeur est de demander à vos clients comment ils ont découvert votre produit.

Les références sont utiles pour réduire votre CAC lorsque vos propres clients apportent des clients potentiels ! Et si vous dépensez moins pour acquérir de nouveaux clients, vous générez davantage de revenus.

Le taux de référence est une mesure estimée d’attraction de nouveaux clients à travers vos clients réels.

Les indicateurs financiers d’entreprise à suivre absolument

Pour bien mesurer les performances financières de votre business, il est essentiel d’utiliser des outils de mesure adaptés.

L’entrepreneur qui maîtrise bien ses flux financiers est apte à prendre des décisions optimales et peut passer plus de temps sur les activités qui génèrent du chiffre d’affaires.

7. Le Chiffre d’affaires

Est-ce que votre entreprise génère des revenus ?

Le chiffre d’affaires est l’indicateur de gestion le plus évident. Pour bien situer votre efficacité, vous devez comparer d’une part votre revenu effectif, et d’autre part votre revenu prévisionnel.

En effet, l’entrepreneur doit comparer régulièrement ses performances réelles avec celles prévues initialement pour adapter sa stratégie et vérifier qu’il maîtrise bien ses coûts.

Votre écart sur Chiffre d’Affaires vous permet de vérifier au fur et à mesure de vos ventes et achats si vos objectifs sont bien atteints.

Votre Expert Comptable Online SBA Compta réalise pour vous :

  • un récapitulatif de vos objectifs de recettes et dépenses mensualisées,
  • vos flux financiers réels, en montant et pourcentage.

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La comparaison mensuelle des prévisions et des ventes réelles permet de mettre en place des actions correctives AVANT qu’il ne soit trop tard et d’anticiper vos besoins par des solutions de financements adaptées.

Ainsi, vous réalisez votre contrôle budgétaire de manière périodique et vous êtes en capacité d’analyser l’évolution de votre activité.

Enfin cela vous permet d’ajuster au fur et à mesure vos objectifs commerciaux annuels.

8. Le Revenu moyen par client

Au cours de votre processus de production / livraison / maintenance, quel est le revenu total que vous apporte un client?

Vous pouvez calculer cet indicateur de performance d’entreprise de la manière suivante : votre Revenu par Client est égal à votre Chiffre d’affaires total sur une période divisé par le Nombre de clients au cours de la même période.

Calcul de revenu par Client = Chiffre d’affaires total sur une période / Nombre de clients au cours de la même période

Le Revenu par Client est un indicateur de performance d’entreprise très important, car il vous permet de déterminer 2 éléments :

  • Quels sont les clients qui vous rapportent le plus, et donc ceux pour lesquels vous devez passer le plus de temps / d’efforts.
  • Quel niveau de tarifs vous devez afficher, afin de vous assurer une marge suffisante pour vivre.

On l’appelle parfois ARPU, qui est l’acronyme anglophone de Average Revenue Per User.

9. Les Flux de trésorerie

Votre trésorerie, c’est le solde entre vos recettes (opérations d’encaissements) et vos dépenses (opérations de décaissements).

Bien gérer ses finances et maîtriser ses flux de trésorerie, c’est vous assurer de votre solvabilité et de vos liquidités disponibles à court et moyen termes.

Pour bien gérer cet indicateur de performance financière, la 1ère étape est de suivre ses dépenses au quotidien!

Rien de plus facile avec SBA Compta ! Notre Appli de Gestion en Ligne vous fournit le solde bancaire de tous vos comptes en 1 clic. Chez SBA Compta, vous disposez d’une vue d’ensemble sur votre trésorerie. Nous traitons toutes vos pièces comptables au fur et à mesure, et faisons pour vous les rapprochements bancaires.

Cela nous permet une restitution de votre trésorerie réelle et engagée au fil de l’eau.

Gestion de trésorerie : Suivez vos dépenses au quotidien !

Grâce à notre application mobile de gestion, vous contrôlez facilement vos entrées et sorties d’argent.

Vous consultez en 1 clic votre solde engagé, vous prenez vos décisions au jour le jour en étant informé de votre situation financière réelle.

Restez ZEN et développez votre business !

SBA s’occupe du reste !

Votre 2ème étape pour bien gérer vos flux de trésorerie, c’est construire et mettre à jour régulièrement un Tableau de Budget prévisionnel.

Pour cela, vous pouvez faire appel à votre Business Coach SBA Compta pour le faire à votre place, ou bien vous pouvez remplir un tableau excel avec vos principaux postes de dépenses et recettes : montants prévisionnels de commandes, achats de prestations de services, charges fixes, coûts variables (par exemple : achats de fournitures) …

Planifiez vos dépenses et veillez à équilibrer votre budget au maximum : vos dépenses doivent rester autant que possible inférieures à vos recettes, afin de garantir votre rentabilité.

Si nécessaire, réduisez au maximum vos postes de dépenses : passage en livraisons “juste-à-temps”, réduction des stocks, chasse aux frais inutiles, aux temps morts, aux factures clients impayées…

Dès que l’occasion se présente, pensez à mettre une petite somme d’argent de côté que vous réserverez pour les “cas d’urgence”, éventuellement sur un compte bancaire séparé du compte courant de votre entreprise.

10. Taux de créances et dettes exigibles

Afin de connaître votre marge de manœuvre, vous devez déterminer votre solde engagé, c’est-à-dire prendre en compte vos opérations de trésorerie effectives (c’est-à-dire règlements déjà encaissés et paiements effectuées) et vos créances et dettes engagées (c’est-à-dire en attente de paiement).

Connaître votre solde engagé vous permet d’avoir une image fidèle de l’activité de votre entreprise et un suivi optimal de vos flux financiers.

Lorsque vous connaissez l’ensemble de vos paiements échus, vous avez une vision juste de votre situation financière et vous pouvez hiérarchiser vos priorités.

Afin de bien connaître votre situation financière réelle, mettez au point un échéancier récapitulant vos données, un tableau qui vous permettra un bon suivi de vos règlements clients, en compilant toutes vos échéances dans un seul fichier.

Épargnez vous ce travail fastidieux et gagnez du temps !

SBA Compta, Expert Comptable en Ligne et solution de Pilotage d’entreprise, réalise vos échéanciers à votre place !

Recettes à venir : Suivez vos flux financiers, vos règlements clients, vos échéances...

Nous calculons pour vous vos encours clients et fournisseurs :

  • Un signal « retard » apparaît lorsque la date de règlement de la facture est échue : vous ne passez plus à côté d’une info.
  • Vous surveillez de près vos factures impayées.
  • Vous hiérarchisez vos priorités sans difficulté.

Et en plus, à partir de votre application SBA Compta, vous contactez vos fournisseurs et vous relancez vos clients en un clic !

La relance des créances clients devient une simple formalité.

Enfin, quand vous connaissez vos engagements et retards de paiements, vous avez suffisamment de visibilité pour réfléchir aux différentes manières d’optimiser la gestion de vos comptes clients.

Par exemple, pour diminuer le temps de règlement de vos factures, facilitez l’expérience client en proposant des possibilités de paiement en ligne, avec des solutions type Paypal.

Essayez de jouer sur les délais d’encaissements en négociant des délais de paiements plus courts avec vos clients, et bien sûr plus longs avec vos fournisseurs, afin de réduire votre besoin de fonds de roulement. Evidemment il s’agit de trouver un équilibre entre vos besoins de trésorerie et la volonté de votre partenaire commercial.

Surtout mettez en place une politique de relance clients, afin de faire des relances régulières en cas de dépassements.

Plus on s’y prend tôt, plus c’est efficace ! C’est pour cela que l’application SBA Compta vous permet de contacter vos clients directement à partir de votre échéancier de retards clients !

Enfin, en cas de dépassement exagéré, penchez-vous sur les solutions intermédiaires, comme négocier un échelonnement, ou l’application de pénalités financières.

11. L’Excédent Brut d’Exploitation (EBE)

Que vous reste-t-il une fois que vous avez payé vos impôts et vos salaires ?

Votre Excédent Brut d’Exploitation est un indicateur financier qui vous donne la rentabilité de votre cycle d’exploitation.

On se concentre uniquement sur l’exploitation opérationnelle dans le calcul de ce solde intermédiaire de gestion : on ne prend pas en compte les charges et produits financiers, la politique d’amortissements de l’entreprise, ou encore les charges et produits exceptionnels).

L’une des méthodes de calcul de l’Excédent Brut d’Exploitation est de soustraire vos charges opérationnelles et charges de personnel à votre Revenu :

Excédent Brut d'Exploitation (EBE) = Valeur Ajoutée + Subventions d'exploitation - Impôts et taxes - Charges de Personnel

L’EBE permet de vérifier l’équilibre financier de votre entreprise à moyen et long termes.

12. Le Point Mort de l’entreprise

Cet indicateur de performance d’entreprise vous permet de connaître le niveau de chiffre d’affaires minimum que votre entreprise doit générer pour couvrir l’ensemble de vos charges et atteindre son seuil de rentabilité.

C’est-à-dire qu’une fois que vous l’avez atteint, vous arrêtez de creuser le déficit, et c’est déjà une première victoire quand on lance son business. Eh oui, tant que ce seuil n’est pas atteint, votre entreprise n’est pas sécurisée du point de vue financier !

Seuil de rentabilité : Pertes, charges fixes, charges variables, chiffres d'affaires ....

Votre Point Mort se calcule à partir de vos charges fixes et variables, en plusieurs étapes :

Tout d’abord, à partir de vos charges variables, vous calculez votre Marge sur coûts variables, c’est-à-dire votre Chiffre d’Affaires moins vos Charges variables :

Marge sur coûts variables = Chiffre d'Affaires- Charges variables

Ensuite vous calculez votre Taux de marge sur coûts variables (TMCV), qui est tout simplement votre marge rapportée à votre Chiffre d’Affaires :

Calcul de Taux de marge sur coûts variables (TMCV) = Marge sur coûts variables / Chiffre d'Affaires :

Une fois que vous avez défini ces montants, vous rapportez vos Coûts Fixes sur votre Taux de marge sur coûts variables pour obtenir votre Seuil de rentabilité :

Calcul de Seuil de rentabilité = Coûts Fixes / Taux de marge sur coûts variables TMCV

Enfin votre Point mort se calcule en ramenant votre seuil de rentabilité sur votre Chiffre d’Affaires annuel et en multipliant le résultat par 360 jours :

Calcul de Point mort = Seuil de rentabilité / Chiffre d'Affaires annuel * 360 jours

Le seuil de rentabilité est un indice important à la fois pour la gestion de votre activité quotidienne, pour démarcher de nouveaux investisseurs et pour contrôler l’évolution de vos objectifs.

Ce calcul vous permet de prévoir à quelle date vous atteindrez l’autonomie opérationnelle, et d’évaluer précisément votre besoin en financement.

Commencez à utiliser vos indicateurs de performances dès les démarrages de votre activité.

Commencez à utiliser vos indicateurs de performances dès les démarrages de votre activité.

Ce sont des outils très efficaces pour mesurer le progrès de votre entreprise vers vos objectifs et vos stratégies surtout si vous pouvez vous baser sur un historique. Et cela ne manquera pas de se produire si vous les mettez en place dès votre lancement.

Pensez à les rassembler dans un Tableau de bord de gestion clair et synthétique. Cela vous permettra de prendre vos décisions en étant suffisamment informé, et peut aussi se révéler un outil de communication efficace pour rassurer vos banquiers et investisseurs.

Pilotez votre entreprise grâce à notre Tableau de bord en temps réel !

Chez SBA Compta, nos Comptables et nos Business Coachs traitent au fil de l’eau l’ensemble de vos données, afin de vous restituer des indicateurs de gestion fiables dans un tableau de bord complet accessible partout, en 1 clic.

Avec SBA Compta, entreprendre devient facile !

Growth Hacking : comment l’utiliser pour booster ses ventes ?

Growth Hacking: Comment l’utiliser pour booster ses ventes?

Dans un paysage numérique qui évolue à une allure stupéfiante, les entrepreneurs sont confrontés à une multitude de nouveaux concepts, dont le fameux Growth Hacking.

Ceci est un véritable buzzword chez les startups : de nombreux entrepreneurs cherchent le “Growth Hacker” qui va booster la croissance de leurs business d’une façon phénoménale.

Afin de bien comprendre ce concept, votre comptable online SBA Compta vous propose un guide complet pour l’adopter dans votre stratégie de croissance.

1. Le Growth Hacking, c’est quoi ?

Growth quoi? Traduction s’il-vous-plaît…

Growth Hacking, définition : en bon français, growth hacking veut dire “piratage de croissance”. Il s’agit d’un ensemble de procédés marketing utilisés par les startups et qui vise la recherche rapide de la croissance avec le moindre coût et dans les plus brefs délais.

Comme la croissance est la métrique décisive des startups (soit elles se développent assez vite, soit elles plient boutique), c’est la seule mesure dont un Growth Hacker se soucie.

Selon plusieurs experts du domaine :

  • “un Growth Hacker est une personne dont le vrai nord est la croissance” (Sean Ellis, considéré comme le pape de ce concept)
  • “le Growth Hacking n’est pas une discipline, c’est un état d’esprit” (Brice Maurin, Deux.Io)
  • “Expérimentation, Analyse et Focus” (Julien Le Coupanec, Hackisition)

2. Quelles sont les qualifications d’un Growth Hacker?

On dit souvent qu’un Growth Hacker est à la fois un ingénieur en informatique et un responsable marketing, mais l’essentiel c’est qu’il utilise des méthodes analytiques peu coûteuses, créatives et novatrices pour augmenter exponentiellement la base de clientèle de son entreprise.

En tant que pirate de croissance, chaque stratégie que vous exécutez, chaque outil que vous mettez en œuvre et chaque technique que vous développez devrait être justifiée par votre désir de croissance.

Il peut sembler évident que l’objectif principal du Growth Hacking est la croissance, mais ce qui est beau dans tout ça, c’est la flexibilité ! Quelle que soit votre stratégie, vos outils ou votre approche, l’essentiel est le résultat.

Ce n’est pas grave si vous êtes une start-up, un auto entrepreneur ou une SARL bien établie, le piratage de la croissance ne fait aucune discrimination et n’importe qui peut l’exploiter et en tirer profit.

3. Growth Hacking et Digital Marketing

La digitalisation est un champ de bataille sur lequel les commerçants et les prestataires de services se battent pour prendre l’avantage sur leurs concurrents.

Dans un contexte où les outils et les plateformes sont continuellement en progression, il peut y avoir :

  • des cibles diversifiées,
  • des budgets contraignants,
  • des ressources limitées,
  • un surplus de concurrents…

Une approche conventionnelle du marketing ne suffit plus. La seule façon de survivre est de s’adapter.

Contrairement à ce que l’on croit, le Growth Hacking ne remplace pas le Digital Marketing. Dans les startups, le piratage de croissance est une discipline qui peut être cultivée au sein d’une équipe marketing.

En effet, loin d’être des entités distinctes, le piratage de la croissance et le marketing digital sont intimement liés. Les deux misent sur l’expérimentation, la créativité et la mesure des indicateurs de performance clé afin d’atteindre leurs objectifs.

Le piratage de la croissance et le marketing partagent les mêmes principes fondamentaux et peuvent même partager les mêmes indicateurs de performance, comme :

  • le taux engagement,
  • le taux de conversions,
  • la rétention accrue…

Votre Expert Comptable en Ligne SBA Compta vous explique la principale différence entre les deux : il s’agit de la portée de leurs objectifs.

Un marketer peut par exemple utiliser le taux d’engagement client pour analyser un objectif global de sensibilisation pour la marque. Un growth hacker, en comparaison, pourrait se fixer comme objectif d’augmenter le partage des publications sur les réseaux sociaux de 50%.

Pour simplifier les choses, les activités du marketing peuvent avoir une large portée qui englobe n’importe quelle partie de l’entonnoir de vente, tandis que le piratage informatique de croissance dépend de l’arrangement de buts clairement chiffrés, réalisables pour atteindre un résultat spécifique … la croissance !

Growth Hacking:bien choisir ses indicateurs avec la méthode AARRR

4. Bien choisir ses indicateurs avec la méthode AARRR

Le framework AARRR est devenu très populaire grâce au célèbre Startuper Dave McClure.

Cette abréviation reprend les 5 piliers du terme « Pirate Metrics », les KPI des pirates de croissance, inventés par McClure : Acquisition, Activation, Rétention, Revenu et Recommandation.

Il s’agit d’une méthode qui permet de choisir des indicateurs de performance pertinents pour le développement / cycle de croissance de votre Startup.

4.1. Acquisition : comment attirer des visiteurs ?

Acquisition, le premier A du cadre AARRR, décrit comment les gens vous trouvent et éventuellement comment les convertir en clients.

L’acquisition est la première étape du processus Pirate Metrics. Il s’agit généralement du premier (et unique) élément ciblé par les spécialistes du marketing traditionnel. Ces efforts d’acquisition de nouveaux clients ont tendance à se faire par le biais de canaux tels que :

  • la recherche organique,
  • les bannières publicitaires,
  • les sociétés affiliées,
  • la publicité télévisée,
  • les médias sociaux,
  • le référencement,
  • etc.

En règle générale, tout moyen par lequel une personne peut potentiellement trouver votre entreprise peut être considéré comme un canal d’acquisition.

En plus de l’exécution de diverses campagnes marketing Inbound et Outbound pour générer du trafic (vers votre site Web, votre page de destination ou votre produit), vos efforts d’acquisition doivent également inclure des métriques de conversion de haut niveau basées sur chaque canal.

Les métriques d’acquisition peuvent se concentrer sur des éléments tels que les visites de page, les micro-conversions (regarder une vidéo, cliquer sur la page du produit, etc.) ou le taux de rebond.

Ces métriques permettent de mesurer la qualité du trafic et les flux comportementaux des utilisateurs. Elles peuvent être suivies dans un tableau de bord Google Analytics.

4.2. Activation : comment faire interagir un visiteur avec ma solution ?

L’acquisition consiste essentiellement à sensibiliser et à amener les bonnes personnes sur votre site web ou votre produit, à l’aide de quelques métriques simples permettant de suivre les actions les plus élémentaires des utilisateurs.

L’activation va un peu plus loin. Ici, l’accent est mis sur les conversions de prospects.

Plus concrètement, vous allez tenir compte des métriques de conversion de base qui déterminent le succès de certains canaux et de certaines campagnes.

Vous pouvez utiliser la conversion de la page d’accueil comme page d’inscription comme point de départ, mais vous devez également créer votre entonnoir de conversion dans votre outil d’analyse.

Un utilisateur actif :

  • Accède d’abord à votre site Web grâce à vos efforts d’acquisition.
  • Ensuite, il indique qu’il voit la valeur de votre produit ou service et souhaite recevoir plus d’informations.
  • Enfin, il essaye votre produit ou parle à quelqu’un de votre entreprise.

Ceci est considéré comme conversion d’activation.

C’est aussi le début de votre relation avec le client. Mais avant cela, le client effectuera une recherche anonyme sur votre entreprise et vos concurrents avant de prendre toute mesure spécifique vous permettant de nouer un dialogue direct avec lui.

L’activation doit être mesurée en fonction du nombre de visiteurs qui effectuent une action souhaitée, telle que l’inscription à votre newsletter ou la demande d’un essai.

Vous pouvez déterminer le taux de conversion en utilisant une formule de conversion simple : diviser le nombre d’utilisateurs actifs par le nombre de visiteurs qui sont venus sur votre site.

Calcul de taux de conversion = le nombre d’utilisateurs actifs / le nombre total de visiteurs

Exemple d’activation en growth hacking

Exemple d’activation en Growth Hacking (Google Analytics)

Growth Hacking Exemple Activation (Google Analytics)

Dans la colonne de gauche, vous pouvez voir quels canaux génèrent le plus de trafic sur votre site. Dans cette capture d’écran, il s’agit d’une recherche organique.

Dans la partie centrale, vous verrez les données de comportement des utilisateurs, telles que le taux de rebond, les pages par session et la durée moyenne de la session, pour chaque canal.

Enfin, dans la colonne de droite, vous pouvez voir quels canaux génèrent le plus de conversions pour votre site.

4.3. Rétention : comment faire revenir un prospect ?

Comme vous l’avez probablement entendu dire, à moins de vendre un article coûteux, vous ne pouvez pas créer un modèle d’entreprise rentable et durable en acquérant uniquement de nouveaux clients qui ne font qu’un seul achat.

C’est pourquoi la rétention est extrêmement importante.

En fait, la rétention est reine !

Cependant, le suivi de la rétention est différent pour chaque entreprise.

Si vous êtes une entreprise d’applications mobiles qui propose un jeu gratuit et qui s’appuie sur les revenus publicitaires, vous devez suivre le nombre d’utilisateurs qui reviennent et re-utilisent l’application dès le lendemain.

Cet indicateur est essentiel car les revenus publicitaires augmentent avec le volume du nombre d’utilisateurs actifs. Par exemple, acquérir des utilisateurs qui deviennent «collants» est le seul moyen durable de développer une application gratuite.

Si vous êtes une entreprise d’e-commerce spécialisée dans la vente de vêtements d’hiver, vous devez mesurer le nombre de clients qui reviennent chaque hiver pour acheter de nouveaux articles, tels que les bottes ou les manteaux.

Si vous êtes une entreprise SaaS, vous devez mesurer le taux de désabonnement. Le taux de désabonnement est le moment où un client se rétracte ou quitte, ce qui en fait facilement l’un des indicateurs les plus importants à mesurer en SaaS.

Réduire le taux de désabonnement devrait toujours être une priorité absolue.

Comment mesurer le taux de désabonnement?

Il y a différentes façons de mesurer le taux de désabonnement. Le moyen le plus simple serait probablement une analyse en cohorte (une cohorte est un sous-ensemble d’utilisateurs regroupés par caractéristiques communes).

Google Analytics a même lancé son propre outil de reporting de cohorte, mais pour notre exemple, nous allons utiliser (image ci-dessous) un exemple de rapport de cohorte de Amplitude.

Disons que vous avez une application de musique. Vous savez que vous avez un problème de désabonnement, mais c’est à peu près tout. Vous observez vos chiffres, et vous voyez environ 10% de vos utilisateurs se désabonner chaque jour.

 Exemple rapport de Cahorte - Growth Hacking

Exemple rapport de Cahorte – Growth Hacking

Dans le tableau de rétention ci-dessus, les utilisateurs sont divisés en cohortes quotidiennes (les utilisateurs qui se sont inscrits le même jour). Vous pouvez constater que 13 473 utilisateurs se sont inscrits pour votre application musicale le 27 octobre.

La rétention au jour 1 était de 57,9%, la rétention au jour 7 était de 19,9% et la rétention au jour 10 était de 14,1%. Ainsi, le septième jour après la première utilisation de l’application, 1 utilisateur sur 5 ayant souscrit le 27 octobre était toujours actif dans l’application.

Sur l’ensemble de vos nouveaux utilisateurs au cours de cette période (322 902 utilisateurs), 49,8% sont conservés le jour 1, 15,8% sont conservés le jour 7 et 4,7% sont conservés le jour 30.

Le meilleur moyen de visualiser ces informations est de les transformer en une courbe de rétention, qui montre votre rétention pour ces cohortes au fil du temps.

Lorsque vous tracez vos données de cette manière, il est extrêmement facile de voir quand les utilisateurs quittent votre produit.

Exemple Courbe de rétention

Exemple Courbe de rétention

Cette courbe de rétention vous indique immédiatement quelque chose de très important: la moitié des utilisateurs cessent d’utiliser l’application après le premier jour.

Après cette forte chute initiale, une deuxième chute rapide est apparue, sous les 20%, avant que la courbe ne se stabilise au bout d’une semaine, laissant environ 5% des utilisateurs d’origine toujours actifs dans l’application au jour 30.

C’est peu (mais c’est courant, certaines données montrent que l’application moyenne perd 90% de ses utilisateurs dans les 30 jours).

La rétention précoce est un problème important. Une courbe comme celle-ci indique que les utilisateurs ne retirent pas assez rapidement la valeur principale de l’application et partent.

Vous savez maintenant que vous devez améliorer la première expérience de l’application pour amener l’utilisateur à atteindre votre valeur fondamentale ou Proposition Unique de Vente le plus rapidement possible.

4.4. Revenus : comment convertir un prospect ?

À moins que vous ne soyez une start-up financée par le capital-risque qui se concentre uniquement sur le produit et la croissance, vous avez besoin de bonnes techniques de vente et d’outils marketing traditionnels et efficaces pour générer des revenus.

Cependant, tous les revenus ne sont pas évalués de la même manière. La plupart des entreprises ne font que suivre les recettes dans leur ensemble, plutôt que de ventiler les recettes par client ou de découvrir quels clients ont atteint le seuil de rentabilité en termes de coût d’acquisition, et lesquels ne l’ont pas atteint.

Toutes ces mesures permettent aux entreprises d’envoyer à chaque client les messages appropriés pour augmenter leur chiffre d’affaires et réduire les opportunités de vente perdues.

En outre, les entreprises avisées en matière d’analyse peuvent créer un véritable entonnoir de marketing et de vente leur permettant de suivre les dépenses et la rentabilité par canal, plutôt que de s’appuyer sur des mesures de base du coût par prospect ou du coût par acquisition.

Si vous négligez de mesurer vos revenus par client et par canal, vous ne pourrez jamais allouer efficacement votre budget marketing.

Dans l’exemple ci-dessous, nous montrons un exemple de rapport sur les performances des ventes de Google Analytics, avec des informations sur vos statistiques de vente.

Growth Hacking:Exemple rapport sur les performances des ventes de Google Analytics

Exemple rapport sur les performances des ventes de Google Analytics

L’onglet Total des revenus affiche les montants des revenus totaux par date pour la plage de dates sélectionnée.

Par exemple, si vous regardez la figure ci-dessus, vous pouvez voir que le 1er mars 2015 (20150301) a généré environ 6% du total des revenus pour la période sélectionnée du 1 au 31 mars.

En conclusion, le rapport sur les performances des ventes/revenus vous aide à comprendre quels produits sont en cours de conversion et, par déduction, quels produits conviennent le mieux à votre clientèle et lesquels sont pris en charge par vos efforts marketing.

Il est donc essentiel de mesurer vos revenus par client et par canal.

Même si vous faites partie des rares sociétés financées par du capital de risque, ces indicateurs vous permettront de mobiliser davantage de capitaux dans le futur.

La compréhension de vos indicateurs les plus importants vous permettra de continuer à évoluer et à vous libérer des fonds de roulement une fois que vous aurez dépassé la phase de démarrage.

4.5. Recommandation : Comment transformer des clients en ambassadeurs ?

Faire en sorte que vos clients ou utilisateurs vous recommandent est le rêve de tout entrepreneur. C’est le moyen le plus authentique et le moins cher d’acquérir des clients.

Cela s’acquiert par une expérience client réussie : un client heureux (pas seulement au niveau de la vente, mais au niveau de tous les points de contacts entre vous et votre client) a toutes les chances de devenir un client satisfait qui vous recommande sur les réseaux sociaux ou aux personnes qui lui sont proches.

Bien que ces références de clients soient idéales, la plupart des équipes marketing estiment que la mesure de ces références est un processus flou. Configurer des analyses pour suivre les renvois et les conversions, tout en donnant crédit pour les renvois peut être difficile. Même avec la bonne analyse en place, cette métrique est souvent imparfaite.

Prenons l’exemple d’Uber.

Uber est l’une des start-up qui a connu une des croissances les plus rapides et qu’on évalue aujourd’hui à plus de 40 milliards de dollars. Leur programme de référence rend leur croissance agressive, la mesure est donc de rigueur.

Chaque utilisateur se voit attribuer un code de parrainage unique, qu’Uber utilise ensuite pour suivre le nombre d’utilisateurs ayant réussi à envoyer un code de parrainage et le nombre de nouveaux utilisateurs que chaque utilisateur introduit. Ils utilisent ces données pour créer un coefficient viral.

Un coefficient viral est le nombre d’invitations (ou de codes de parrainage) envoyées multiplié par le nombre d’invitations (ou de codes de parrainage) acceptées.

Calcul de coefficient viral = Nombre d’invitations envoyées × le nombre d’invitations acceptées

Exemple de calcul de coefficient viral :

Si vous avez 1 000 utilisateurs et que votre communauté envoie 400 invitations ou parrainages, votre taux d’invitation est de (1000/400) = 2,5.

Si, sur les 400 invitations envoyées, 120 sont acceptées, votre taux d’acceptation est de (120/400) = 0,3.

Lorsque vous multipliez votre taux d’invitation et votre taux d’acceptation (2,5 * 0,3), vous obtenez votre coefficient viral, qui dans ce cas serait de 0,75.

Pour le contexte, un coefficient viral de 1 signifie que chaque utilisateur ou client que vous générez renvoie en moyenne à un autre utilisateur ou client.

Bien que cette réalisation représente un défi, des entreprises comme Uber et Facebook ont ​​été en mesure de résoudre ce problème pendant de courtes périodes. Mais cela n’est généralement pas durable, même pour les entreprises les plus virales.

En général, chaque fois que votre communauté parle de votre entreprise est une bonne chose, et il y a beaucoup de place pour l’optimisation.

Lorsque vous déterminez en moyenne le nombre des nouveaux clients que chaque ancien client peut générer et sur quelle période, vous visualisez un levier de croissance phénoménal pour booster vos ventes !

Si vous utilisez l’outil Google Analytics Funnel (Entonnoirs de conversion personnalisés), vous pouvez créer cette équation et suivre votre coefficient viral au fil du temps.

Comment implémenter le Growth Hacking dans le développement de votre entreprise ?

5. Comment implémenter le Growth Hacking dans le développement de votre entreprise ?

Derrière toute opération de piratage de croissance efficace, il existe un processus rigoureux et structuré qui repose sur 2 principes :

  • l’itération
  • l’actualisation

Que vous soyez une startup ou une grande entreprise, ce processus peut être personnalisé et intégré dans une stratégie de croissance gagnante.

5.1. Perfectionnez votre produit

Analysez les besoins et les préférences de votre marché cible et utilisez ces données pour améliorer votre produit.

Les growth hackers appellent ça l’«ajustement de produit-marché ».

Inutile de rappeler que peu importe l’approche marketing que vous avez utilisée ou le budget de publicité que vous avez alloué, si votre produit est de mauvaise qualité, vous ne pourrez pas réussir.

5.2. Fixez des objectifs mesurables

Le succès d’une opération de Growth Hacking se trouve dans la définition de buts précis. Procédez par étapes et mesurez l’impact de chaque action que vous avez mené.

Cela vous épargnera l’effort d’élargir votre champ d’action et maximisera le temps que vous pouvez consacrer pour tester et affiner votre approche.

5.3. Testez votre approche

Le piratage de croissance repose sur la créativité et l’expérimentation. Les tests sont essentiels pour évaluer ce qui fonctionnera et ne fonctionnera pas pour vous.

Faites des tests simples avec des objectifs précis, et enregistrez les données afin que vous puissiez mettre en œuvre les meilleures combinaisons pour améliorer votre croissance.

5.4. Analysez les performances réalisées

Les analyses sont essentielles pour suivre l’état d’avancement de vos objectifs. Surveillez de près vos KPI (indicateurs clés de performance).

Au fur et à mesure que vous progressez, ces données peuvent également être utilisées pour ajuster et adapter d’autres domaines du processus, y compris votre produit et vos objectifs.

5.5. Optimisez et actualisez

Qu’il s’agisse de mettre en œuvre une approche entièrement nouvelle ou d’affiner une approche antérieure, le concept du “learning-by-doing” (apprentissage par la pratique) a toujours de la valeur et ça ne peut être que bénéfique.

Le succès, comme la plupart des choses, viendra avec un peu de patience et beaucoup de pratique.

Le Growth Hacking est un domaine caractérisé par la flexibilité et la créativité. Quelque soit votre approche, vos outils ou votre stratégie marketing, l’essentiel c’est la croissance.

Votre expert comptable en ligne SBA Compta ne cesse de vous fournir les astuces nécessaires pour la croissance de votre entreprise.

Les dirigeants d’entreprises ne manquent pas de défis à surmonter ! Nous espérons que cet article vous donnera de l’inspiration pour développer votre projet d’entreprise !

10 exemples de Growth Hacking dont vous pouvez vous inspirer

Pour vous aider à vous inspirer, voici quelques exemples de stratégies efficaces de growth hacking. Ces entreprises ont utilisé avec succès des techniques de promotion peu coûteuses pour générer une croissance incroyable.

Bien que chaque entreprise soit unique, ces idées de growth hacking peuvent inspirer votre propre créativité, afin que votre entreprise puisse élargir sa base de prospects et augmenter ses bénéfices.

Puma

Le terme « growth hacking » n’a même pas été inventé lorsque Puma a fait preuve de son génie marketing lors de la finale de la Coupe du monde 1970.

Ils ont demandé à Pelé de lacer ses chaussures avant le coup d’envoi et Pelé l’a fait. Comme prévu, les caméras se sont concentrées sur Pelé et ses Puma et les gens ont réalisé que le meilleur footballeur du monde portait une Puma.

Selon le livre « Three Stripes Versus Puma », Pelé a été payé 120 000 dollars pour s’accroupir et lacer ses chaussures. C’est peut-être le meilleur cas de marketing d’influence jusqu’à ce jour.

AirBnB

AirBnB est un site web qui permet aux gens de louer leurs chambres vides à de parfaits inconnus en publiant une annonce sur leur site. L’approche audacieuse de growth hacking mise en œuvre par Airbnb est à l’origine de son succès. Airbnb a utilisé la base de clientèle de Craigslist comme tremplin vers le succès grâce à une combinaison d’ingénierie inverse qui a fusionné la base de clientèle et créé une croissance exponentielle en ligne, Airbnb devenant une marque leader en matière d’annonces de propriétés.

À ce stade, la question qui se pose est de savoir pourquoi d’autres entreprises n’ont pas exploité cette voie avant Airbnb. Craigslist disposait d’un mécanisme préventif complet qui rendait l’accès et l’intégration très difficiles pour les autres entreprises. Cependant, Airbnb a réussi à manœuvrer l’ensemble du processus sans accéder à la base de code de Craigslist. Ce geste ingénieux et audacieux de la part d’Airbnb en a fait un géant avec une augmentation spectaculaire du trafic et de la clientèle.

Remarque : ce que les gens oublient souvent lorsqu’ils mentionnent l’exemple de growth hacking d’AirBnB, c’est qu’AirBnB a beaucoup expérimenté, notamment en distribuant des prospectus ou en faisant du porte-à-porte, avant de trouver ce growth hack CraigList.

Uber

Comment une marque peut-elle, à elle seule, faire sombrer le secteur traditionnel des taxis ? En connaissant le concuurent et le client.

Appeler un taxi après une soirée est une véritable galère, tout comme lorsque les conditions météorologiques sont mauvaises. Uber le savait, et au début, ils se sont concentrés sur ces événements clés.

Ils ont également mené une lutte subtile contre les taxis jaunes en soulignant les domaines dans lesquels Uber excelle, comme la facilité de paiement, les prix plus bas et la fin du taxi.

Les personnes qui utilisaient le service revenaient. Ils ont alors offert une course gratuite de 20 $ aux nouveaux utilisateurs pour les attirer. Après cela, les choses sont allées très vite, maintenant nous regardons les taxis comme s’il s’agissait d’un animal en voie de disparition.

TESLA

Tesla, telle que vous la connaissez, a produit plus de 600.000 voitures depuis sa création. Des chiffres plutôt élevés pour une marque de voitures de luxe. Comment ont-ils pu atteindre des chiffres aussi incroyables avec une stratégie marketing à 0$ ?

Quand les autres marques automobiles se tournaient vers les publicités télévisées et les panneaux d’affichage, Tesla ne pratiquait pas de marketing traditionnel. Au lieu de cela, elle a transformé ses clients en spécialistes du marketing en utilisant des notions telles que :

  • La rareté
  • L’exclusivité
  • L’approche personnelle
  • Les programmes de parrainage
  • La vente d’un style de vie, pas d’un produit

Dropbox

Dropbox est un service d’hébergement de fichiers en cloud qui a connu une croissance virale grâce à sa stratégie de parrainage. Les stratégies de marketing de recommandation peuvent être très puissantes pour la croissance des entreprises lorsqu’elles sont bien menées et Dropbox l’a très bien fait.

Comme toute autre entreprise, Dropbox a commencé à explorer la publicité, avec peu ou pas d’impact. En fait, le nombre de nouvelles inscriptions était bien inférieur au coût de la publicité. Il était clair que la publicité ne fonctionnait pas. En mettant en place un système de recommandation, Dropbox a été en mesure de stimuler un trafic massif, car les gens s’habituent généralement aux recommandations, qu’ils jugent beaucoup plus crédibles que les publicités.

L’entreprise a connu une croissance exponentielle avec plus de 200 000 entreprises sur Dropbox. Dropbox a pu se forger une réputation inattaquable tout en augmentant considérablement sa clientèle.

En exploitant les avantages du marketing de croissance, Dropbox a pu amener ses clients existants à assumer la responsabilité du marketing auprès des clients potentiels, moyennant une petite incitation. En utilisant le système de recommandation, Dropbox a surmonté un défi apparemment insurmontable tout en renforçant la notoriété de la marque et en augmentant la base de clients et le soutien.

Facebook

Facebook est le plus grand réseau social du monde avec environ 2 milliards d’utilisateurs actifs mensuels. Nul ne peut nier que la stratégie de growth hacking de Facebook a été un succès. Bien que cela puisse surprendre certaines personnes, la plus grande plateforme de réseau social a utilisé le growth hacking pour mettre en œuvre son programme et se targue actuellement du plus grand trafic avec environ 2 milliards d’abonnés.

Grâce à l’utilisation de mécanismes de notification par e-mail, ils ont pu susciter un niveau de participation inégalé. Les gens ont commencé à recevoir des courriels les informant qu’ils étaient identifiés sur Facebook. Cette approche ingénieuse a permis de stimuler un afflux accru, faisant de Facebook le plus grand succès en ligne grâce au growth hacking.

Linkedin

En plus d’offrir un excellent produit pour le réseautage et la recherche immédiate d’emplois en adéquation avec les professionnels, LinkedIn a permis aux utilisateurs de créer des profils publics qui seraient indexés par les moteurs de recherche.

En d’autres termes, les utilisateurs apparaissaient organiquement dans les résultats de recherche et pouvaient figurer en première page de Google sans avoir à payer pour cela.

Comme cela augmente la visibilité potentielle des utilisateurs au-delà de la plateforme, c’était et c’est toujours une excellente raison pour les gens de s’inscrire sur la plateforme. Grâce à ce hack, LinkedIn a pu faire passer le nombre de ses utilisateurs de 2 millions à 200 millions en quelques années.

Ensuite, LinkedIn a commencé à monétiser ce qu’il faisait bien, en encourageant les utilisateurs à s’abonner pour un accès plus rapide à des connexions potentiellement utiles (via InMail), un moteur de recherche plus avancé.

Instagram

Instagram est un exemple suprême de ce que les growth hackers aiment appeler l’adéquation produit-marché (ou PMF). Ce n’est pas exactement un hack, mais c’est vital pour le succès. Ils ont créé leur offre au bon moment, au bon endroit et dans les bonnes circonstances. Les désirs et les besoins du marché étaient parfaitement alignés, c’est un scénario de rêve !

Ils ont offert aux clients quelque chose qu’ils recherchaient déjà inconsciemment : une interaction sociale et un endroit où partager leurs photos plutôt que des tweets astucieux.

Pour la première fois depuis l’apparition des smartphones, tout le monde avait un appareil photo numérique décent dans sa poche, et les outils pour devenir un maître de la photographie. Avec l’émergence du Web 2.0. est apparue l’envie croissante de partager sa vie et ses expériences.

L’avantage d’Instagram, c’est qu’il s’agit d’un produit qui s’améliore grâce à l’interaction sociale, ce qui signifie que les gens ont envie de le faire connaître. Le plaisir était dans la capacité des gens à voir et à interagir avec vos photos. Plus tard, de nouvelles intégrations ont permis aux utilisateurs de pousser leurs photos vers Facebook et Twitter, augmentant ainsi leur portée.

Ironiquement, le marketing d’influence est également devenu un outil fiable pour les fondateurs d’Instagram. En envoyant leur application à des journalistes et à des passionnés de technologie qu’ils connaissaient, ils ont accumulé les critiques positives dans divers organes d’information, ce qui a permis à leur application de devenir virale.

Netflix

Il n’existe pas d’exemple de growth hacking plus transformateur que celui de Netflix, qui a débuté en tant que société de location de DVD en 1997. Comme l’a révélé le cofondateur de l’entreprise, Reed Hastings, devenir le principal acteur du streaming vidéo en ligne a toujours été dans les plans, d’où le nom de l’entreprise.

L’USP de Netflix était de permettre aux gens de regarder ce qu’ils voulaient, quand ils le voulaient, et c’est toujours une composante essentielle de son succès.

L’une des techniques utilisées par l’entreprise a consisté à se scinder en deux activités, celle des DVD et celle du streaming en ligne, et à utiliser les bénéfices de l’une pour financer l’expansion de l’autre.

D’autres techniques de growth hack utilisées par Netflix sont les suivantes :

  • L’acquisition et la diffusion en continu d’émissions de télévision populaires afin que le public s’abonne pour les regarder.
  • L’établissement d’une forte présence sur les médias sociaux pour se connecter avec ceux qui aiment le divertissement.
  • Plus récemment, le recrutement des meilleurs talents pour créer un contenu de qualité qui encourage les gens à s’abonner.

L’entreprise compte aujourd’hui plus de 117 millions d’abonnés au streaming.

Paypal

PayPal est un système de paiement en ligne et la stratégie de growth hacking de PayPal est l’une des plus réussies. La réputation de PayPal en tant qu’option de paiement en ligne préférée a commencé après que l’entreprise ait réussi à pénétrer le plus grand marché en ligne du monde.

Lorsque PayPal a commencé ses activités, il n’était pas répertorié sur Ebay comme une alternative de paiement. Cette situation précaire était très préjudiciable à la réputation de PayPal et affectait également sa clientèle, car la plupart des gens étaient susceptibles d’utiliser un système de paiement accepté sur Ebay.

Paypal a eu recours à un système de growth hacking qui impliquait la création de milliers de faux comptes dans l’intention spécifique de prétendre utiliser et préférer une option de paiement PayPal sur Ebay.

Les résultats de ce stratagème ont été remarquables : PayPal a pu pénétrer dans la base de clients d’Ebay, qui n’avait d’autre choix que d’accepter de référencer PayPal en raison de la demande croissante d’options de paiement PayPal.

Ce growth hack a donné à PayPal un énorme coup de pouce en lui permettant d’obtenir une grande part de la base de clients d’Ebay. Ebay étant classé parmi les géants existants tels que Visa et MasterCard, sa crédibilité est montée en flèche, avec d’énormes avantages concomitants.

Dans le but d’intensifier ses efforts, PayPal a lancé un système de parrainage avec une incitation financière pour les deux parties, à savoir le client existant et le nouveau client. Ce système de recommandation amplifié a provoqué un afflux massif de clients et une progression rapide pour devenir l’une des plus grandes options de paiement en ligne.

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Réussir son recrutement : 20 conseils pour conduire un entretien d’embauche comme un pro

Les règles à suivre pour bien mener un entretien d’embauche

Votre entreprise se développe avec succès et bientôt vous allez recruter votre premier salarié. Vous avez attiré de bons candidats grâce à une offre d’emploi bien rédigée et super efficace, vous avez programmé plusieurs entretiens avec des candidats dont les profils vous semblent parfaits pour le poste à pourvoir.

Comment trouver la perle rare et éviter une erreur de casting pénible ?

Quelles questions faut-il poser pour ne pas passer à côté d’une info importante ? Quels sont les pièges à éviter lorsqu’on fait passer un entretien d’embauche ?

Pour vous accompagner dans cette étape déterminante, votre Expert Comptable en Ligne SBA Compta a listé pour vous 20 règles à suivre pour réussir votre premier recrutement et bien mener un entretien d’embauche.

Recruteurs, préparez l’entretien d’embauche

1. Bien définir le poste à pourvoir

Avant de vous lancer dans une procédure de recrutement, réfléchissez bien au poste que vous souhaitez créer.

Définissez les contours du poste :

  • Quelles seront les tâches de la nouvelle recrue ?
  • Ses responsabilités ?
  • Recherchez-vous un profil junior / senior ?

Cela vous permettra de cerner le profil type de votre futur collaborateur et vous aidera à faire le tri entre les différentes candidatures reçues.

Et surtout, plus vous déterminerez précisément les limites du poste à créer, plus vous attirerez des CV qualifiés et motivés.

Au moment de faire passer l’entretien d’embauche, rappelez bien les tâches essentielles de la fonction et vérifiez-les point par point.

2. Filtrer les CV

Vous avez reçu plusieurs dizaines de candidatures, maintenant triez-les de manière à ne garder que les plus pertinentes.

En effet, pas la peine de recevoir autant de candidats en entretien : vous gaspilleriez votre temps et perdriez de vue vos critères de recherche.

Pour faciliter l’analyse des CV, dressez une liste de critères de sélection que vous jugez indispensables pour le poste et hiérarchisez-les. Puis « scannez » les CV en fonction de cette grille de lecture.

Enfin, classez les profils en 3 catégories :

  • Les candidatures qui conviennent tout-à-fait,
  • Les candidatures qui sont à peu près ciblées,
  • Les candidatures qui ne conviennent pas du tout.

Et bien entendu, voyez en priorité les candidats de la première catégorie.

3. Préparer des questions pertinentes

Une grande partie de votre travail préparatoire consiste à décider quelles questions poser aux candidats. En posant des questions pertinentes aux candidats et en analysant leurs réponses, vous êtes certain d’obtenir de précieuses informations pour les évaluer.

Recruteur, quelles sont les questions les plus pertinentes à poser en entretien d’embauche ?

Concentrez-vous sur des sujets comportementaux et situationnels. Voici quelques exemples de questions :

  • Pourquoi avez-vous quitté votre poste précédent ?
  • Que savez-vous sur notre activité ?
  • Pourquoi devrions-nous vous embaucher ?
  • Qu’est-ce qui vous motive pour ce poste ?
  • Vous considérez-vous comme quelqu’un qui réussit ?
  • Quels sont vos points forts ?
  • Que pensent vos collègues de vous?
  • Que disait de vous votre supérieur hiérarchique ?
  • Savez-vous travailler sous pression ?
  • Êtes-vous prêt à faire passer les intérêts de l’entreprise avant les vôtres ?
  • Comment motiveriez-vous un collaborateur qui connaît une baisse de moral ?
  • Comment géreriez vous un client mécontent ?
  • Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
  • Qu’attendez-vous de ce poste ?
  • Pourquoi pensez-vous réussir à ce poste ?

Développez vos questions à partir des critères d’embauche qui méritent le plus d’attention. Ces questions vous permettront de :

  • Faire connaissance avec le candidat,
  • Évaluer les connaissances et le niveau de compréhension des candidats,
  • Évaluer l’adéquation des candidats,
  • Évaluer les intentions des candidats.

Trouvez des solutions de rechange aux questions clichées pour éviter les réponses pré-enregistrées.

Recruteur, essayez de mémoriser vos questions à poser pendant l’entretien d’embauche, sinon préparez une fiche concise à placer devant vous.

En effet, s’il est utile d’avoir une liste de questions sous vos yeux pendant le face-à-face, veillez à maintenir un contact visuel avec le candidat lors de la conversation.

4. Demander conseil à des professionnels

L’embauche n’est pas nécessairement un chemin solitaire. Les cabinets de recrutement peuvent être de grands alliés pour apprendre à mener un entretien d’embauche.

Si vous décidez d’externaliser votre processus de recrutement, pensez à consulter les conseils de votre Expert-Comptables en Ligne pour choisir la bonne agence de recrutement.

Demandez-leur conseil pour réviser vos questions ou procéder à des simulations pour améliorer votre conduite d’entretien d’embauche.

Des recruteurs professionnels pourront également vous aider à préserver la légalité d’un entretien. Par exemple, il est illégal de demander à une personne interrogée si elle envisage d’avoir des enfants. Un bon recruteur déconseillera de poser cette question.

Bien conduire un entretien d’embauche

Hé oui, bien des fois, ce ne sont pas les candidats qui redoutent le plus les entretiens… ce sont les chefs d’entreprise !

Les entrepreneurs sont confrontés à de multiples défis et le volet Ressources Humaines est l’un d’eux.

Embaucher ne serait-ce qu’un seul collaborateur prend tellement de temps!

Vous devez parcourir des centaines de curriculum vitae et procéder à de nombreux entretiens pour identifier la perle rare.

Votre Cabinet Comptable en Ligne SBA Compta vous propose des solutions concrètes pour bien gérer l’étape capitale du processus de recrutement, le face-à-face avec les candidats.

5. Réduisez le stress du candidat et détendez-vous

Ça y est, c’est l’heure de mener l’entretien d’embauche. C’est vous qui allez guider ce moment.

Pensez à mettre le candidat à l’aise.

Les candidats trouvent les entretiens stressants car ils sont confrontés à l’inconnu :

  • À quoi ressemblera mon recruteur ?
  • Quel genre de questions va-t-il poser ?
  • Comment puis-je intégrer cette réunion dans ma journée de travail ?
  • Et bien sûr : quelle tenue convient-il de porter ?

Bien que la phase préparatoire soit importante, ne menez pas vos entretiens d’embauche mécaniquement au point de paraître robotique.

Détendez-vous et encouragez une conversation naturelle : gardez en tête que la plupart des gens peuvent sentir si quelqu’un est un faux.

Par ailleurs, en situation stressante, nos performances sont moins bonnes. Un candidat s’exprimera mieux si vous conduisez l’entretien d’embauche dans une atmosphère plus détendue.

Afin de baisser le taux de stress du candidat :

  • Informez-le à l’avance des sujets que vous souhaitez discuter afin qu’il puisse se préparer.
  • Soyez prêt à le rencontrer à un moment qui lui convient.
  • Et précisez le code vestimentaire de votre entreprise.

Votre objectif est de le mettre à l’aise pour que l’entretien soit productif et professionnel.

6. Impliquer d’autres personnes dans le processus de recrutement

Impliquez d’autres managers dans le processus de recrutement.

Par exemple, si vous gérez les Ressources humaines, vous pouvez conduire l’entretien d’embauche dans un premier temps. Le suivant serait le responsable potentiel du candidat, puis l’un des principaux collaborateurs.

  • Pensez à apporter une copie des curriculum vitae à tous les intervieweurs.
  • Expliquez-leur les critères essentiels de pertinence des profils par rapport au poste à pourvoir.
  • Allouez le temps nécessaire au candidat pour qu’il puisse échanger avec chaque personne.

Le fait de réunir plusieurs recruteurs offre différentes perspectives sur les candidats.

Mettre le candidat en situation pour évaluer ses réflexes et ses compétences

7. Refrénez vos idées reçues

L’objectif de chaque recruteur est de sélectionner les meilleurs employés possible.

Cependant, nos décisions en matière de recrutement peuvent être (et sont souvent) influencées par nos préjugés et stéréotypes inconscients.

Ces préjugés sont difficiles à déceler. Ils entraînent des déséquilibres dans le process de recrutement, qui se traduit par une uniformité du milieu de travail plutôt que par la diversité. Cependant :

Voilà qui devrait vous convaincre de combattre vos préjugés inconscients à l’embauche !

Et pour preuve, selon le cabinet de conseil McKinsey :

  • les entreprises paritaires sont 15 % plus susceptibles de surpasser les autres,
  • les entreprises diversifiées sur le plan ethnique ont 35 % de chances de plus de devancer celles qui ne le sont pas.

Au moment de conduire un entretien d’embauche, remettez toujours en question votre propre jugement et prenez conscience de vos idées reçues.  

Et pourquoi ne pas passer par une plateforme spécialisée telle que diversifiezvostalents.com, dont le but est de faire ressortir les aptitudes des candidats en gommant les aspects potentiellement source de discrimination.

8. Mettre le candidat en situation

Rien de mieux pour évaluer un candidat que de le mettre en situation.

Pensez à un petit scénario dans lequel vous pourrez tester ses réactions face à des problématiques concrètes.

Optez pour un cas pratique portant sur des tâches et décisions qu’il pourrait être amené à prendre.

Une mise en situation vous permettra :

  • d’évaluer les réactions du candidat,
  • de savoir si le candidat répond à vos critères,
  • de vérifier qu’il partage les valeurs essentielles de votre entreprise.

9. Laisser le candidat s’exprimer

Commencez par poser des questions ouvertes, par exemple :

  • Racontez-moi votre parcours
  • Que venez-vous chercher chez nous ?

Ces questions donnent au candidat l’occasion de s’exprimer librement et prendre ses marques.

De votre côté, vous évaluez son esprit de synthèse, son élocution, sa façon de gérer le stress…

Ces questions vous donnent des éléments clefs pour dessiner les contours de la personnalité du candidat.

10. Donner au candidat une chance de poser des questions

Au moment de faire passer un entretien d’embauche, vous devez laisser au candidat la possibilité de poser ses propres questions. Ainsi il sera en mesure de déterminer si le poste lui convient.

Afin de répondre à toutes ses interrogations, assurez-vous de :

  • Connaître tous les aspects du poste,
  • Clarifier vos attentes,
  • Indiquer les avantages de travailler pour votre entreprise.

Ces questions vous aideront à vérifier que le candidat est bien préparé pour l’entretien d’embauche et qu’il s’intéresse véritablement au poste.

La règle des 80/20 est une stratégie efficace en entretien : vous écoutez 80% du temps, et vous parlez 20%.

11. Vérifier les motivations du candidat

Pourquoi le candidat a-t-il répondu à votre offre d’emploi ?

Quelles sont ses motivations ?

En posant ces questions aux potentielles recrues, vous évaluerez leur enthousiasme et confirmer qu’ils ont bien compris ce que votre entreprise attend d’eux.

12. Ne pas hésiter à demander des références

Malgré les questions posées au cours de l’entretien d’embauche, des doutes subsistent sur un candidat ?

Demandez à celui-ci de vous fournir des références.

En contactant les dernières entreprises dans lesquelles il a travaillé, vous pourrez éclaircir les incertitudes et confirmer la véracité des informations données par le candidat.

Attention : aucune information concernant personnellement un candidat ne peut être collectée par un dispositif qui n’a pas été porté préalablement à sa connaissance (art. L1221-9 du Code du Travail).

En effet, avant de vérifier les références d’un candidat, vous avez l’obligation de lui demander son autorisation.

Utilisez une autorisation écrite, ainsi vous serez certain d’être protégé vis-à-vis de la loi.

Vous pouvez trouver sur le web des modèles de formulaires de consentement pour prise de références à faire signer par le candidat.  

13. Donner une image positive de votre entreprise

Mener un entretien de recrutement, c’est aussi séduire un candidat. Les meilleurs profils sont généralement chassés par plusieurs entreprises.

Donc transmettez une image positive qui inspire confiance en votre entreprise. Présentez les avantages du poste, les possibilités d’évolution.

Votre attitude durant l’entretien est un facteur déterminant pour séduire le candidat qu’il vous faut.

Soyez à son écoute, répondez à ses doutes et questions. Et gardez en tête qu’un recrutement réussi est le fruit d’un engagement mutuel entre vous et le candidat.

14. Organiser un entretien comportemental

Un entretien comportemental consiste à poser une question ouverte invitant le candidat à décrire de manière concrète une situation critique à laquelle il a dû faire face.

Faire passer un entretien comportemental permet de comprendre de quelle façon un candidat a réagi face à telle ou telle circonstance dans le passé.

C’est un excellent outil pour vérifier si la personne présente l’attitude nécessaire pour le poste à pourvoir.

Exemples de question comportementale :

  • Comment avez-vous tenu bon en mettant en place telle décision impopulaire?
  • Comment avez-vous fait face à telle problématique complexe?

Dans les meilleurs entretiens comportementaux, le candidat ne s’aperçoit pas forcément le type d’attitude que le recruteur examine.

Observez également la gestuelle et la manière d’interagir du candidat. Voilà un moyen efficace de connaître une personne et ses réactions.

15. Écouter et prendre des notes pendant l’entretien d’embauche

Inutile de poser de bonnes questions en entretien d’embauche si vous n’écoutez pas les réponses des candidats.

Vous ne vous souviendrez pas de tout ce qu’un candidat a dit lorsque vous menez un entretien de recrutement, donc prenez des notes.

En particulier si certains candidats démontrent des aptitudes supérieures en matière de communication ou font preuve d’enthousiasme en répondant aux questions.

Réussir l’entretien d’embauche et choisir le bon candidat

16. Checklist pour entretiens d’embauche en visioconférence

Grâce à l’utilisation d’outils de type Skype, les entrepreneurs peuvent désormais recruter un candidat à l’autre bout de la planète.

Avant de faire passer un entretien d’embauche à distance, examinez cette checklist :

  • Trouvez un endroit tranquille, privé et bien éclairé, où vous ne serez pas interrompu.
  • Assurez-vous que votre connexion internet est stable.
  • Vérifiez que le son et le micro fonctionnent.
  • Testez la webcam de votre ordinateur.
  • Fermez tous les onglets et applications de navigateur web inutiles.
  • Ayez un stylo, un bloc-notes et une copie du CV du candidat sur votre bureau.
  • Placez votre téléphone en mode silencieux.

Les erreurs à éviter pendant l’entretien de recrutement

17. Mal gérer son temps

Conduire un entretien d’embauche prend généralement 45 minutes à 1 heure.

C’est à vous de veiller au bon déroulement de l’entretien, donc préparez une liste précise des points à aborder avec le candidat, laissez-le s’exprimer tout en tentant de contrôler les candidats un peu trop bavards.

Pensez à établir un guide d’entretien dans lequel vous allez répertorier les étapes de votre processus de recrutement :

  • les données les plus importantes sur les CV,
  • les informations que vous souhaitez donner aux candidats sur le poste,
  • l’atmosphère de votre entreprise…

Avant de clore l’entretien, n’oubliez pas de demander aux interviewés s’ils ont des questions.

18. Poser des questions illégales

Gardez en tête que certaine questions ne doivent pas et ne peuvent pas être posées au candidat.

Le Code du Travail précise que les informations demandées ne peuvent avoir comme finalité que d’apprécier la capacité des futures recrues à occuper l’emploi proposé (article L1221-6).

Concrètement, pour mener un entretien d’embauche conforme à la loi, vous ne pouvez pas vous renseigner sur :

  • la vie privée (célibataire, marié…),
  • la santé,
  • la religion,
  • les idées politiques,
  • l’appartenance à un syndicat,
  • l’orientation sexuelle…

Si un candidat estime être victime d’une discrimination à l’embauche, il peut saisir le Conseil des prud’hommes ou encore porter plainte auprès du procureur de la République, de l’inspection du travail ainsi qu’au Défenseur des droits et à la Cnil.

Par ailleurs, sachez que si vous comptez faire passer des tests d’aptitude ou de personnalité à vos candidats, vous devez les avoir prévenus avant l’entretien.

19. Monopoliser la parole pendant l’entretien de recrutement

Prenez garde à ne pas monopoliser la parole au cours de l’entretien d’embauche.

Le candidat a besoin d’informations de votre part concernant l’emploi et l’entreprise.

Mais il doit aussi pouvoir présenter lui-même ses qualifications et démontrer en quoi elles constituent des arguments pour le poste.

Le ratio de parole devrait donc être : 80% le candidat, 20% le recruteur.

20. Se laisser influencer par ses préjugés

Nous sommes tous influencés par nos réflexes inconscients, et ils peuvent nous faire prendre de mauvaises décisions.

Voici quelques conseils pour conduire un entretien d’embauche non discriminatoire :

  • Identifiez vos propres préjugés : malgré les meilleures intentions, les préjugés peuvent nuire à votre processus d’embauche (a priori sociaux, ethniques, religieux…).
  • Demandez-vous quelles caractéristiques affectent réellement les performances professionnelles du candidat.
    Par exemple, la tenue vestimentaire des candidats peut intéresser les directeurs commerciaux, mais pas tellement les développeurs.
  • Ralentissez votre prise de décision : les recruteurs prennent souvent des décisions un peu rapides concernant un candidat. Prenez votre temps et consultez ensuite vos notes pour vous forger une opinion sur les candidats.
  • Concentrez-vous sur les caractéristiques liées à l’emploi. Si vous souhaitez évaluer des compétences, utilisez des tests concrets. Savoir dans quelle université ils ont obtenu leur diplôme ne vous renseigne pas forcément en terme de compétences.
  • Résistez à l’embauche à votre propre image : nous finissons souvent par embaucher des « mini-moi » au profil proche du nôtre. Rappelez-vous que ce n’est pas dans l’intérêt de votre entreprise.

Une fois que vous avez trouvé la perle rare, vérifiez bien toutes les aides à l’embauche et les formalités préalables afin d’être conforme à la loi.

Pensez également à vous protéger avec un cadre juridique adéquat. En particulier, faites attention à rédiger un contrat de travail dans les règles de l’art, afin de définir clairement les termes de base de la relation employé-employeur.

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