Réussir son entreprise : 11 compétences à développer

11 secrets des entrepreneurs qui réussissent

11 secrets des entrepreneurs qui réussissent

Les entrepreneurs qui réussissent apprennent à saisir les opportunités quand elles se présentent, éviter les pièges qui jalonnent leur parcours et inciter les collaborateurs à s’impliquer pour atteindre les objectifs de leur entreprise.

Apparemment, certaines personnes possèdent naturellement ces compétences, mais en réalité, la plupart des méthodes qui mènent au succès peuvent être acquises et développées avec le temps et la pratique.

Comment réussir son entreprise ?

Votre cabinet de comptabilité en ligne SBA Compta vous propose de commencer à bâtir votre succès entrepreneurial dès aujourd’hui, en développant ces 11 compétences essentielles pour réussir son entreprise !

1. Se fixer des objectifs et persévérer

Comment devenir un bon entrepreneur ? Voici la version courte : fixez des objectifs clairs et soyez déterminés à les atteindre.

Le fait d’écrire une liste d’objectifs que vous reverrez régulièrement est l’une des clés de la réussite de votre entreprise. Mettre en place une feuille de route claire et détaillée facilitera la mise en place de vos objectifs.

N’hésitez pas à mettre en place des méthodes de management de projet carrées et strictes afin que les compétences, les outils et les techniques à votre disposition soient bien orientés dans le même sens et puissent répondre aux exigences de votre entreprise.

Basez vous sur ces méthodes pour établir votre check-list personnelle et revoyez-la au minimum chaque semaine.

Par-dessus tout, ayez une confiance inébranlable en votre projet. Si vous vous montrez enthousiastes et êtes vraiment excité par ce que vous faites, les gens seront naturellement enclins à vous suivre! La réalisation de ces objectifs prend du temps et de l’énergie!

Pour réussir votre entreprise, vous devez être disposé à continuer à avancer quand les autres sont tentés de jeter l’éponge. Si vous abandonnez, tout le monde autour de vous abandonnera aussi. Gardez la tête froide pour faire face en cas de coup dur et rester motivé en période difficile.

2. S’organiser et bien gérer son temps

Il est difficile de gérer les autres de manière efficace si l’on est incapable de se gérer soi-même. Pour un entrepreneur, acquérir une autonomie de gestion signifie prioriser ses propres objectifs et être responsable de leur réalisation.

Pour gagner en efficacité, prenez l’habitude d’apprendre à bien gérer votre temps et votre attention tout en restant conscient de vos forces et de vos faiblesses.

Bien gérer son temps, c’est gagner de l’argent ! Pour réussir votre projet d’entreprise et gagner en productivité, voici une méthode simple :

  • Créez une liste d’objectifs, à commencer par vos objectifs à long terme jusqu’à vos tâches quotidiennes les plus précises.
  • Repérez les tâches essentielles à votre développement stratégique : acquisition de clientèles, développement des ventes, qualité, production… c’est sur celles-là que vous devez investir le plus d’énergie et d’efforts.
  • Éliminez les tâches qui ne correspondent pas à vos objectifs.
  • Déléguez les tâches qui ne doivent pas impérativement être faites par vous.

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3. Adapter sa stratégie en cas d’imprévu

De nos jours, les chefs d’entreprise qui réussissent sont ceux qui favorisent une approche avant-gardiste et ouverte d’esprit.

Selon un rapport de Harvard Business Publishing intitulé Leading Now: Critical Capabilities for a Complex World : «Les dirigeants doivent toujours être prêts à adapter leurs stratégies pour saisir les opportunités émergentes ou relever des défis imprévus».

Réfléchir de manière stratégique est un processus continu qui implique l’évaluation de la situation et de l’environnement économique de votre société.

Même les meilleures stratégies ont besoin d’être analysées et mises à jour de temps en temps ! Un nouveau concurrent, une évolution des besoins clients ou encore un nouvel élément technologique…

Tous ces éléments entraînent forcément de nouveaux défis et donc, des modifications de votre vision stratégique.

Ne vous laissez pas envahir par les to-do-list interminables du quotidien !

Prenez un peu de recul de temps en temps, pour vous interroger sur votre démarche, revoir l’ensemble de vos objectifs et vérifier le sens de vos actions.

Vous pouvez développer une réflexion stratégique efficace de l’une des manières suivantes:

  • Identifier vos risques : soyez curieux et restez en alerte concernant l’environnement commercial de votre entreprise, identifiez l’ensemble de vos risques dans une analyse SWOT détaillée, imaginer différents scénarios (y compris les causes et les conséquences) et passez en revue les contraintes du projet.
  • Soyez flexible ! Acceptez le changement plutôt que de vous conformer aux plans initiaux. Vous favorisez votre réussite en restant flexible dans votre façon de penser et en essayant de nouvelles approches et idées,
  • Maintenez une attitude positive! Focalisez-vous sur l’avenir. Gardez vos objectifs en tête et si vous vous sentez découragé, faites appel à d’autres entrepreneurs ou à un Coach de gestion pour vous guider et vous épauler.

Apprendre à bien communiquer

4. Apprendre à bien communiquer

Les meilleurs entrepreneurs savent quand parler et quand écouter. Ce sont des communicants efficaces, capables de tout expliquer en quelques mots à leurs collaborateurs, des objectifs de l’organisation aux tâches plus spécifiques.

Si les collaborateurs ne comprennent pas ou ne sont pas au courant de vos attentes, ils échouent.

Par conséquent, plus vous êtes précis, mieux ce sera !

Pour réussir votre entreprise, vous devez apprendre à communiquer avec vos équipes par téléphone, courrier électronique et médias sociaux, à tous les niveaux :

  • individuellement en entretien 1 à 1,
  • avec tout un département
  • ou encore avec l’ensemble du personnel.

La communication repose sur un flux constant d’échanges d’idées et d’informations verbales et non verbales.

Pour réussir en affaires, vous devez donc être accessible et impliquer des personnes de différents niveaux hiérarchiques.

5. Distinguer autorité et leadership

Tout d’abord, les bons entrepreneurs assument la responsabilité de leurs propres erreurs – et attendent des autres qu’ils fassent de même. Ils sont capables de travailler dans le cadre de procédures bien établies, tout en étant productifs et efficaces dans leurs décisions.

Mais surtout, les entrepreneurs qui réussissent font la différence entre autorité et leadership. Il apprennent à utiliser leur pouvoir et leur autorité de manière appropriée, sans accabler leurs collaborateurs.

Ils savent qu’il est important de soutenir et d’encourager l’individualité tout en comprenant les structures organisationnelles et la nécessité de respecter les règles et les politiques. Ils cherchent à savoir comment une erreur est survenue, plutôt que qui l’a commise.

Les entrepreneurs à succès établissent des normes et des directives, puis ils laissent à leurs employés la marge de manœuvre et l’autonomie nécessaires pour travailler de la manière qui leur convient le mieux, dans le respect de ces directives.

6. Clarifier votre vision

Les entrepreneurs prospères travaillent sur leur vision entrepreneuriale : ils passent du temps à envisager l’avenir de leur entreprise sous tous les angles, et à se fixer des objectifs clairs et concrets liés à cette vision.

Ces objectifs bénéficieront à leur organisation car ils inspirent la confiance, l’optimisme et l’enthousiasme à ceux qui les entourent.

Être visionnaire, c’est gérer le changement, tout en trouvant un équilibre entre stabilité et croissance. Vous devez intégrer de nouvelles approches sans vous laisser distraire des objectifs principaux.

Être visionnaire signifie aussi comprendre que des changements continus se produisent tout autour de vous. Ce qui a fonctionné dans le passé peut ne pas toujours fonctionner maintenant ou dans le futur.

Remettez en question votre approche, vos objectifs, vos habitudes. Exercez-vous à être plus adaptable et flexible lorsque vous mettez en œuvre de nouvelles stratégies et permettez à votre modèle d’entreprise d’évoluer avec le temps.

7. Prendre des décisions rapidement

Les entrepreneurs qui réussissent apprennent à résoudre les problèmes et prendre des décisions dans des circonstances qui changent rapidement. Apprendre à diriger dans un environnement complexe est une compétence essentielle pour tout leader.

Même avant qu’aucune information définitive ne soit disponible, les dirigeants efficaces doivent évaluer la complexité de la situation et choisir des plans d’action appropriés.

Selon un rapport de Harvard Business Publishing, cela signifie pouvoir analyser l’environnement à la recherche de tendances subtiles et d’indicateurs de changement disruptifs et mettre en place des pratiques permettant à votre organisation de réagir rapidement.

En effet : plus vous prenez de temps pour évaluer une situation et vous interroger sur ce qu’il faut faire, plus votre entreprise peut perdre de l’argent.

Parfois, ne rien faire peut coûter très cher !

Les entrepreneurs à succès ne sont pas forcément ceux qui ne font jamais d’erreurs, mais ceux qui prennent des décisions rapides, peuvent évaluer leurs impacts et changer le cap tout aussi rapidement lorsqu’ils constatent qu’ils se sont trompés.

Favoriser la créativité et l'innovation

8. Favoriser la créativité et l’innovation

Pour devenir un bon entrepreneur, risquez l’expérimentation et encouragez la créativité.

Cela favorise l’innovation qui peut orienter votre organisation vers de nouvelles destinations et dans les méandres d’un paysage commercial en mutation.

La clé est de toujours de faire preuve de persévérance dans la poursuite de vos objectifs et d’être ouvert et flexible dans la manière d’y parvenir.

Encouragez les personnes de votre entourage à consacrer au moins 15% de leur temps à explorer de nouvelles idées par des séances de brainstorming et de prototypage.

9. Promouvoir l’esprit d’équipe

Un entrepreneur à succès apprend à se reposer sur les personnes qui l’entourent.

La force d’une entreprise se définit et s’enrichit par les personnes qui y travaillent. Réussir à attirer et entretenir l’enthousiasme de vos collaborateurs est une des clés de votre réussite d’entreprise.

Des employés heureux sont plus efficaces, plus impliqués et plus coopératifs !

Des équipes fortes et un travail d’équipe sont essentiels à la réalisation de nombreux éléments de cette liste, tels que :

  • l’encouragement à l’innovation,
  • une communication efficace,
  • et la réalisation des objectifs de votre organisation.

La constitution d’une équipe confiante et motivée est essentielle pour diriger un groupe unique mais avec des personnalités, des motivations et des compétences distinctes.

Si vous recrutez et développez la bonne équipe, vous créerez une force imparable qui contribuera au succès de votre entreprise.

10. Créer des relations basées sur la confiance

Les entrepreneurs à succès font plus que simplement inspirer les autres à les suivre; Ils inspirent confiance et cela a un impact très fort sur leur réussite.

Lorsqu’on développe la confiance, on crée une image super positive de son entreprise, basée sur des valeurs de crédibilité, sécurité et fiabilité. Cela représente une différentiation et un avantage concurrentiel solide! D’où l’importance de développer la confiance en entreprise.

Placez la confiance au cœur du système de valeurs et de la culture de votre entreprise, et montrez l’exemple. Cela vaut pour :

  • Vos relations clients : en étant honnête, transparent, en tenant ses promesses et en essayant d’assurer la meilleure expérience client possible, vous cultivez la confiance dans vos produits / services, et cela représente une différentiation et un avantage concurrentiel solide !
  • Vos collaborateurs : les entrepreneurs qui réussissent savent comment motiver leurs employés à s’efforcer sans réserve à atteindre les objectifs de leur entreprise. Les employés qui se sentent valorisés et appréciés, qui ont le sentiment que ce qu’ils font fait une différence, seront motivés pour faire plus d’efforts pour le succès de leur entreprise.
  • Votre réseau : les entrepreneurs à succès comprennent également qu’ils doivent être efficaces en termes de networking, non seulement pour faire avancer leur carrière, mais aussi pour le bénéfice de leur organisation. En créant un réseau vaste et varié de personnes basé sur la confiance, les dirigeants d’entreprise établissent des relations percutantes avec leurs clients, partenaires et même leurs concurrents.

11. Apprendre continuellement

Pour devenir un bon entrepreneur, sachez que la force de votre leadership repose sur votre capacité à vous adapter à des circonstances qui changent de manière subite, et à savoir quand et comment saisir les opportunités dans un contexte en pleine mutation.

Faire preuve d’une curiosité insatiable alimentera votre désir d’apprendre et vous développer continuellement.

L’apprentissage repose sur l’acquisition d’aptitudes à la pensée critique, l’acceptation de l’incertitude, l’intelligence sociale et émotionnelle, ainsi que le désir et la détermination de progresser.

Nous espérons que cet article vous donnera de l’inspiration pour réussir votre projet d’entreprise !

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17 stratégies efficaces pour conquérir de nouveaux clients

17 stratégies efficaces pour conquérir de nouveaux clients

Vous avez créé votre entreprise et vous êtes convaincu que votre produit ou service est vraiment le meilleur que vous pouvez offrir à vos clients.

Vous êtes impatient d’étendre et de développer votre activité. Mais la croissance de votre base de clients est beaucoup plus facile à dire qu’à faire.

Ce challenge est une source de stress continu pour tout entrepreneur !

Pour pérenniser son existence, chaque entreprise doit se concentrer sur sa stratégie commerciale, en particulier conquérir de nouveaux clients et remplir votre carnet de commandes.

Comment trouver de nouveaux clients?

Votre cabinet de comptabilité en ligne SBA Compta vous propose ci-après une série de conseils pour développer votre clientèle et booster vos ventes !

1. Créez Buyer Persona et Proposition Unique de Vente

En termes simples, un buyer persona est une description détaillée de votre clientèle cible.

Avoir une compréhension approfondie de vos personnalités d’acheteur est essentiel pour :

  • la création de contenu,
  • le développement de vos produits,
  • le suivi de vos ventes,
  • et tout ce qui touche l’acquisition et la fidélisation de clients.

Des buyer persona (ou personnalités d’acheteur) peuvent être créés par le biais de recherches, d’enquêtes et d’interviews de votre public cible. Cela inclut un mélange de clients, de prospects et de personnes extérieures à votre base de contacts qui pourraient s’aligner sur votre public cible.

Le retour sur investissement est évident: lorsque vous savez comment aider les acheteurs à évaluer votre approche selon leurs propres termes, vous établissez un lien de confiance que vos concurrents ne peuvent égaler.

A partir de votre Buyer Persona, vous pourrez créer efficacement une Proposition Unique de Vente qui explique à vos prospects, en quelques secondes, le bénéfice spécifique apporté par votre produit ou service.

Vous devez vous poser la question : quel problème puis-je résoudre pour mes clients ?

Votre réponse vous servira pour bâtir une Proposition Unique de Vente percutante, un argument de vente qui vous différencie de vos concurrents du point de vue commercial. C’est la première étape à suivre pour attirer de nouveaux clients.

2. Proposez des contenus sur mesure pour votre clientèle cible

Un moyen important de vous connecter avec votre clientèle est de lui proposer des contenus qu’elle trouverait intéressants et qu’elle souhaiterait lire, via des articles, des documents à télécharger, des modèles… qui répondent à ses besoins.

Par exemple, un styliste peut partager son expertise en proposant pour chaque morphologie le style qui lui sied le mieux et qui la mette le plus en valeur.

De la même façon, un webdesigner pourrait proposer des conseils pour mieux exploiter les différentes fonctionnalités de WordPress.

Le but étant de montrer aux membres du groupe l’étendue de votre expertise, de conquérir de nouveaux clients et de les inciter à vous solliciter à l’avenir. 

Vous ne devez forcer la main à personne, mais vous pouvez ajouter un lien vers votre site officiel, pour les personnes qui voudraient en savoir plus.

Proposez des contenus sur mesure pour votre clientèle cible

3. Soyez actif sur les réseaux sociaux

Votre présence sur les réseaux sociaux permet d’établir une relation de confiance avec les personnes qui vous suivent. Cette confiance permet à son tour d’élargir la portée de votre message et d’attirer plus de clients ou de personnes intéressées.

Il s’agit également de garder une dimension humaine dans la mesure où peu de gens apprécient le baratinage commercial.

Vos clients préféreront à cela quelque chose de plus authentique comme les coulisses de votre métier, ou quelques astuces utiles.

Ils doivent pouvoir s’identifier avec ce que vous faites et voir comment cela peut concrètement les aider dans leur quotidien. Ils veulent s’engager professionnellement avec de vraies personnes, des personnes qui souhaitent les aider.

En plus de cela, vous pouvez utiliser les réseaux sociaux afin de faire la promotion de vos services indirectement.

Par exemple un photographe de mariages pourra partager une photo qu’il a prise, en espérant qu’elle plaise à son public et qu’elle provoque le déclic chez certains qui se verraient bien faire appel à ses services.

3.1 Restez actif sur Facebook

Certains affirment que Facebook pour les professionnels n’est plus ce qu’il était car la portée organique du réseau social serait plutôt faible (de l’ordre de 3%).

Ceci dit, Facebook reste un excellent moyen pour attirer de nouveaux clients et développer son projet.

Dans cette optique, vous pouvez rejoindre les groupes où vos clients potentiels sont susceptibles de participer.

Par exemple, un graphiste ira « pêcher » du côté des groupes destinés aux blogueurs ou aux entrepreneurs car ces derniers peuvent être intéressés par ses services.

Plutôt que de faire la promotion de votre produit ou de votre service, veillez plutôt à vous rendre utile et à répondre aux questions que se posent les personnes actives au sein du groupe.

Les membres du groupe prendront connaissance de votre degré d’expertise, et consulteront éventuellement votre page de profil (que vous aurez pris le soin de lier à votre page Facebook professionnelle et à votre site web).

3.2 Répondez aux questions sur Twitter

De nombreuses personnes se tournent vers Twitter pour trouver des conseils et recommandations sur des questions particulières auprès de leurs « followers ».

A vous de chercher parmi ceux-là ceux qui ont besoin de votre aide et pour qui vous pouvez apporter de la valeur ajoutée.

S’ils posent une question sur un sujet qui touche à votre domaine d’expertise, répondez-y. S’ils cherchent à recruter quelqu’un de votre domaine, faites-leur des suggestions.

Et si vous vous demandez comment trouver ces personnes, c’est bien simple : il vous suffit d’utiliser les bons mots clés en effectuant votre recherche.

Être actif sur Facebook

4. Améliorez l’expérience client pour booster le bouche-à-oreille

Prenez un peu de temps pour cartographier votre expérience client, c’est-à-dire toutes les étapes par lesquelles passent vos clients avant de réaliser leur achat.

Soyez concis, rationalisez et uniformisez le processus de sorte à ce que les étapes soient le plus linéaire possible en veillant à ce qu’elles s’enchaînent le plus naturellement du monde.

Faites en sorte que la transition d’une étape à une autre soit la plus « douce » possible et que les directives à suivre soient parfaitement comprises. Cela facilitera la conversion de prospects en clients.

Une transition en douceur permettra également à vos clients d’apprécier le processus client qui leur procure une expérience utilisateur différente (et peut-être même unique) et seront tentés de vous recommander à leurs amis ou collègues.

Moins le processus est confus, plus vos clients apprécieront et en parleront autour d’eux.

5. Travaillez avec des clients qui ont une large audience engagée

C’est plus facile à dire qu’à faire, mais vous impliquer avec des clients avec un carnet d’adresses fourni et qui sont suivis par de nombreuses personnes peut vous aider à enrichir votre propre base de clientèle.

N’attendez pas que ce « gros client » se présente à vous, vous devez le débusquer par vous-mêmes.

Vous pouvez même lui offrir vos services moyennant une remise exceptionnelle (voire même dans certains cas, proposer vos services gratuitement) en échange de la publicité qu’il vous fera (par exemple : l’ajout d’un lien vers votre site web).

6. Créez des études de cas pertinentes

Les études de cas sont des outils marketing puissants, surtout quand elles sont correctement réalisées.

Elles montrent des exemples concrets de la manière dont vous avez pu satisfaire les besoins d’autres clients, et comment vous les avez aidés à atteindre leurs objectifs.

Des prospects qui voient les résultats positifs concrets de l’utilisation de vos produits ou services chez d’autres clients auront tendance à se laisser convaincre beaucoup plus facilement.

En effet, des faits avérés et des témoignages fiables permettent de renforcer votre image, développer un solide argumentaire commercial et séduire de nouveaux clients.

Les études de cas sont incroyablement convaincantes lorsqu’elles sont bien faites. Si vous êtes chanceux, vous raconterez une histoire que les gens pourront répéter sans se lasser !

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7. Relancez les prospects qualifiés qui n’ont jamais acheté

Vous avez sans doute reçu des emails de clients qui ont demandé des informations à propos de vos services mais qui n’ont pas encore fait appel à vous.

Faites un suivi précis de vos prospects pour prendre de leurs nouvelles ou pour leur proposer des produits/services qui correspondent à leurs besoins/attentes.

Si vous vous sentez audacieux et que vous souhaitez vraiment améliorer votre business, vous pouvez même leur demander pourquoi ils n’ont pas souhaité s’engager avec vous afin de mieux cerner leur(s) besoin(s).

Ceci met en valeur votre vulnérabilité, mais c’est très révélateur des dysfonctionnements de votre process d’acquisition clients, et donc l’un des moyens les plus efficaces que vous puissiez faire pour faire avancer les choses.

8. Faites le suivi auprès de vos anciens clients

Avez-vous déjà fait un suivi auprès de vos anciens clients pour savoir s’ils avaient besoin d’aide supplémentaire ? Non ? Faites-le !

Envoyez-leur un email pour leur demander si tout se passe bien ou s’ils auraient besoin d’assistance.

Souvent, les clients n’osent simplement pas le demander et ont besoin de ce coup de pouce.

De même, vous avez peut être un nouveau produit, une nouvelle astuce, et vous savez que cela pourrait aider certains de vos clients et faciliter leur vie, n’hésitez pas à les contacter dans ce cas.

Si vous avez un nouveau plug-in, une application ou un livre blanc qui peut les aider, faites-le savoir !

9. Utilisez les publicités sur Facebook

Les publicités sur Facebook peuvent s’avérer très efficaces pour atteindre votre clientèle cible moyennant un investissement assez modeste (comparé aux autres formes de publicités).

Le ciblage avec Facebook peut être très utile et peut vous permettre de définir avec précision les personnes qui recevront vos annonces :

  • géo-localisation,
  • genre, âge,
  • centres d’intérêts,
  • etc.

Avec un message adéquat, vous pourrez facilement obtenir de nouveaux clients !

Utilisez les publicités sur Facebook

10. Développez votre mailing list et gardez le contact avec vos abonnés

Vous devriez également avoir une liste d’abonnés ou liste de diffusion que vous prendrez le soin d’enrichir de temps à autres.

Cela vous permettra de rester en contact avec ceux qui sont intéressés par vos services et de leur proposer par courriel vos nouveaux produits au fur et à mesure de leur lancement.

De plus, tous vos contacts ne vous suivent pas nécessairement sur les réseaux sociaux. Certains peuvent choisir de ne recevoir vos nouveautés que par email.

Cela vous permettra donc de garder le contact avec eux et leur proposer des offres promotionnelles le cas échéant.

Votre mailing list et votre newsletter sont un excellent moyen de garder votre entreprise au top dans l’esprit des clients.

Si vous accédez à leur boîte de réception chaque semaine avec des conseils utiles, ils se souviendront de vous la prochaine fois qu’ils auront besoin de coopérer avec quelqu’un qui fait ce que vous faites.

11. Faites du Guest Blogging

Le Guest Blogging est une pratique qui consiste à publier un contenu sur le blog d’un “expert”. Bien évidemment, vous devrez chercher à vous faire inviter sur le site d’un blogueur expert dont le public correspond à votre clientèle cible.

Soyez juste authentique et utile et écrivez en pensant à votre public idéal. Votre message devrait renvoyer sur votre site et, idéalement, inclure une biographie de l’auteur mentionnant vos services.

Le Guest blogging est une opportunité pour partager votre expertise et pour augmenter le trafic sur les blogs des deux parties.

C’est également l’une des meilleures stratégies marketing digital : vous gagnerez en référencement, en visibilité, en audience, en engagement et en rentabilité.

12. Ajoutez vos produits aux plateformes de e-commerce

Vous pouvez faire inclure certains de vos produits sur des sites comme Etsy ou encore Amazon.

Ces plateformes de vente e-commerce sont idéales pour ceux qui veulent lancer leur business et attirer de nouveaux clients.

De nombreux visiteurs y atterrissent chaque jour et, qui sait, ils cherchent peut être ce que vous avez à offrir !

13. Boostez votre SEO

C’est surprenant de voir la simplicité avec laquelle on peut trouver ce dont on a besoin aujourd’hui sur Google.

Cependant, il existe une multitude de concurrents qui peuvent vous faire de l’ombre, vous devez donc veiller à ce que votre site soit propulsé en haut des résultats de recherche grâce à une bonne SEO (Search Engine Optimization).

Assurez-vous de bien choisir les mots clés qui permettront à vos clients de vous trouver !

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14. Concentrez votre business sur un public spécifique

Il est difficile de développer quoi que ce soit quand vous vendez pour tout le monde.

Vous développerez plus rapidement votre business et pourrez facturer davantage pour vos services si vous êtes spécialisé dans un domaine ou un créneau spécifique.

Se concentrer sur un public spécifique crée la confiance et développe une image positive de votre entreprise.

Quand les gens voient que vous vous spécialisez dans le service/produit dont ils ont besoin, ils seront plus disposés à croire que vous savez ce que vous faites et que vous comprenez leurs besoins.

15. Organisez des webinaires

Les webinaires sont des vidéos diffusées sur le net en direct dans lesquelles vous donnez une formation ou partagez des informations sur un sujet particulier.

ils sont un moyen très efficace pour attirer de nouveaux clients.

Elles sont généralement suivies de sessions questions-réponses qui permettent à votre public de découvrir votre expertise, de tisser avec ce dernier des liens étroits et éventuellement d’en convertir une bonne partie en clients fidèles !

16. Utilisez des réseaux de référence

Vous utilisez certainement déjà votre réseau de référence, à savoir vos amis et votre famille, en plus de leurs propres amis et contacts, pour faire parler de votre entreprise.

Peut-être que c’est arrivé naturellement, mais ça vaut aussi la peine de réfléchir à la façon dont vous pouvez encourager cette initiative à continuer.

Ne soyez pas timide, demandez à vos amis et à vos anciens clients de transmettre vos coordonnées à leurs contacts.

Pour leur faciliter la tâche, donnez-leur des paquets de cartes visites et demandez-leur de partager votre profil sur leurs pages de réseaux sociaux.

Vous trouverez que la plupart des personnes seront heureuses de vous donner un coup de main pour développer votre activité. Donc ne craignez rien et demandez !

Demandez à vos anciens clients de laisser un petit commentaire ou une recommandation en ligne pour vos services, ceci peut incroyablement appuyer votre crédibilité, un atout important pour séduire de nouveaux clients.

Bon à savoir : les annonces de Google Business et Facebook sont les plateformes les plus populaires pour les petites entreprises.

Utilisez des réseaux de référence

17. Utilisez les feedbacks de vos clients pour vous améliorer

Utilisés correctement, les feedbacks positifs stimulent votre entreprise de manière significative. Et même les critiques négatives peuvent vous aider à améliorer vos produits et services, ainsi que votre réputation.

  • Les feedbacks positifs sont de l’or pour votre entreprise, et permettent contribuer à la croissance de votre entreprise. Les témoignages honnêtes, surtout lorsqu’ils sont très visibles, constituent l’un des moyens les plus efficaces pour accroître la confiance.
  • Les commentaires négatifs sont également très utiles : ils vous aident à améliorer continuellement vos services au fil du temps.

Au lieu de spéculer sur ce que vous pensez ou espérez que vos clients veulent, en recueillant leurs feedbacks régulièrement, vous pourrez leur apporter exactement ce qu’ils ont demandé, et vous pourrez faire avancer votre entreprise dans la bonne direction.

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Comment faire une étude de cas ? Un guide rapide et facile

L’art de faire une étude de cas marketing et la réussir à chaque fois

Pourquoi faire une étude de cas ?

Voulez-vous convaincre vos prospects que vous êtes la bonne entreprise pour gérer leur projet ?

La preuve sociale est un puissant outil marketing !

Elle aide à convaincre vos clients en leur fournissant les résultats qu’ils souhaitent obtenir. Le moyen le plus simple pour réaliser la preuve sociale est d’obtenir de vos clients satisfaits des témoignages ou des études de cas marketing.

Qu’est-ce qu’une étude de cas marketing ?

Une étude de cas marketing, c’est l’analyse d’un projet, d’une campagne ou d’une entreprise qui :

  • identifie une problématique donnée chez un client,
  • recommande des solutions et des actions mise en place avec votre client,
  • distingue les facteurs ayant contribué à l’échec ou au succès de telle ou telle action.

Présenter des études de cas marketing est un excellent moyen de dire à tout le monde que vous avez déjà solutionné pas mal de problèmes chez d’autres clients et permet de prouver à quel point vos produits ou services sont précieux.

Ils vont au-delà des simples témoignages : ils montrent des exemples concrets de la manière dont vous avez pu satisfaire les besoins de vos clients, et comment vous les avez aidés à atteindre leurs objectifs.

Grâce à une solide étude de cas marketing, vous pourrez mettre en évidence vos succès afin de convaincre votre prospect idéal de devenir votre client.

Alors, comment rédiger une étude de cas suffisamment efficace pour conquérir de nouveaux clients?

Dans ce qui suit, votre cabinet de comptabilité en ligne SBA Compta vous détaille les 7 étapes à suivre pour réaliser une étude de cas marketing efficace et valorisante pour votre entreprise !

Comment rédiger une étude de cas marketing efficace ?

#Étape 1. Déterminez l’objectif et le format de l’étude de cas

Toutes les études de cas marketing sont conçues pour démontrer la valeur de vos services. Mais elles peuvent être centrées sur différents objectifs et prendre des formes variées.

Pour rédiger une étude de cas, la première étape consiste à déterminer l’objectif ou le but du sujet que vous présentez, ainsi que le format dans lequel vous allez créer l’étude de cas. En d’autres termes :

Qu’est-ce qui a été bénéfique pour votre client ?

Et comment allez-vous raconter cette histoire ?

1.1 Objectifs de l’étude de cas

L’objectif du client sur lequel vous vous concentrez dépendra de ce que vous voulez prouver à vos futurs clients.

Votre étude de cas marketing peut porter sur l’un des objectifs suivants :

  • Se conformer à telle réglementation gouvernementale,
  • Réduire les coûts de commercialisation,
  • Gagner en rentabilité,
  • Générer plus de leads,
  • Acquérir plus de clients,
  • Générer plus de revenus,
  • S’étendre sur un nouveau marché,
  • Devenir plus économe en énergie…

1.2 Le format idéal pour votre étude de cas

Les études de cas marketing ne doivent pas nécessairement être simples et écrites sur une page.

L’utilisation de différents supports dans votre étude de cas vous permettra de promouvoir votre document final sur différents canaux.

Même si une étude de cas écrite peut ne figurer que sur votre site web et être publiée via Facebook, vous pouvez publier une étude de cas infographique sur Pinterest et une étude de cas vidéo sur votre chaîne YouTube.

Choisissez le format idéal de votre étude de cas en fonction de vos objectifs

Voici différents formats d’études de cas :

Étude de cas écrite

Envisagez de rédiger cette étude de cas sous la forme d’un e-book que vous pourrez convertir en PDF téléchargeable.

Ensuite, ouvrez le fichier PDF derrière une page de destination et remplissez le formulaire que les lecteurs doivent remplir avant de télécharger l’article. Ainsi, vous permettez à cette étude de cas de générer des leads qualifiés pour votre entreprise

Étude de cas vidéo

Prévoyez une rencontre avec le client et une interview. Voir le sujet en personne et parler du service que vous lui avez fourni peut être très utile aux yeux de vos prospects.

Étude de cas infographie

Utilisez le format long et vertical d’une infographie pour raconter votre réussite du haut vers le bas.

Au fur et à mesure que vous progressez dans l’infographie, mettez l’accent sur les principaux indicateurs de performance. Utilisez un texte et des graphiques plus grands illustrant les succès remportés par votre client depuis qu’il travaille avec vous.

Étude de cas podcast

Le podcast, programme audio en ligne et canal de diffusion digital, vous permet d’avoir une communication plus rapprochée avec votre client. Ce format d’étude de cas, à la portée de tous, peut sembler plus réel et plus humain pour votre public.

#Étape 2 : Trouvez le bon client pour votre étude de cas

Rédiger une étude de cas nécessite bien plus que de choisir un client et de raconter une histoire. Pour commencer, vous aurez besoin de :

  • une permission écrite
  • une histoire
  • un plan

Voici quelques points à rechercher parmi les clients éligibles :

2.1 Une bonne connaissance de vos produits

Pour faire une étude de cas, il est utile de sélectionner un client qui connaît bien la logistique de votre produit ou service. 

De cette façon, il / elle pourra mieux parler de la valeur de ce que vous proposez d’une manière qui ait du sens pour les futurs clients.

2.2 Des résultats quantifiables

Les clients qui ont vu les meilleurs résultats vont faire les exemples d’études de cas les plus solides. Si leurs propres entreprises ont enregistré un retour sur investissement exemplaire de votre produit ou service, elles sont plus susceptibles de transmettre l’enthousiasme que vous souhaitez que les prospects ressentent également.

Il est aussi intéressant de faire valoir des projets qui ont une histoire originale, des travaux intéressants ou encore ceux qui ont abouti à des résultats impressionnants.

C’est toujours plus convaincant quand vous avez des faits avérés et des témoignages fiables pour consolider le tout.

2.3 Des marques reconnaissables

Alors que les petites entreprises peuvent avoir des histoires percutantes, les marques plus grandes ou plus notables tendent à donner de la crédibilité à la vôtre.

Dans certains cas, la reconnaissance de la marque via un exemple d’étude de cas peut générer 24,4 fois plus de croissance que les entreprises qui n’en ont pas.

2.4 Le cas des “switchers”

Les clients qui sont venus vous voir après avoir travaillé avec un concurrent aident à mettre en évidence votre avantage concurrentiel et peuvent même influencer les décisions en votre faveur.

L'art de faire une étude de cas et la réussir à chaque fois

#Étape 3 : Contactez le client choisi

Pour avoir le bon candidat à l’étude de cas, vous devez préparer le terrain pour une communication claire et ouverte. Cela signifie :

  • Définir les attentes
  • Fixer un calendrier.

Il est utile de savoir ce dont vous aurez besoin, comme la permission d’utiliser n’importe quelle marque et de partager publiquement les informations sur votre projet.

Lancez le processus en envoyant un courrier électronique qui décrit exactement ce que le client au centre de l’étude de cas peut attendre de vous et ce que vous attendez de lui.

Vous accompagnerez ce courriel par 2 documents principaux :

3.1 Le formulaire de publication d’étude de cas

Ce document peut varier selon la taille de votre entreprise, la nature de votre travail et ce que vous avez l’intention de faire avec vos études de cas.

Cela dit, voici ce qu’il faut veiller à inclure dans votre formulaire d’étude de cas :

  • Une explication claire de la raison pour laquelle vous créez cette étude de cas et de la manière dont elle sera utilisée.
  • Une déclaration définissant les informations et les possibilités liées à la marque que vous vous prévoyez d’inclure dans votre étude de cas telles que des noms, des logos, des titres de poste et des images.
  • Une explication de ce que vous attendez du participant, au-delà de l’étude de cas. Par exemple, ce client est-il prêt à agir en tant que référence ou à partager des commentaires et avez-vous la permission de transmettre des informations de contact à ces fins?
  • Une note sur la compensation.

Notez que ce document doit être signé AVANT le démarrage du processus de rédaction par votre client, pour vous assurer que celui-ci choisi adhère bien au projet.

3.2 La lettre de réussite

Ce document constitue un aperçu du processus de votre étude de cas. Outre une brève explication des avantages pour le client de la participation à une étude de cas entreprise, assurez-vous de définir les étapes suivantes dans la lettre de réussite :

L’acceptation

Tout d’abord, vous devez obtenir l’approbation interne de l’équipe marketing de l’entreprise pour votre exemple d’étude de cas

Une fois approuvé, le formulaire de décharge doit être signé et retourné. C’est aussi le bon moment pour déterminer un calendrier qui réponde aux besoins et aux capacités des deux équipes.

Le questionnaire

Pour vous assurer que votre entretien est productif – ce qui est l’un des meilleurs moyens de collecter des informations pour l’étude de cas – vous devrez demander au participant de remplir un questionnaire avant l’interview. 

Cela fournira à votre équipe les bases nécessaires pour organiser l’entretien et en tirer le meilleur parti.

L’interview

Une fois le questionnaire rempli, un membre de votre équipe doit contacter le participant pour planifier une interview de 30 à 60 minutes. Le questionnaire devrait inclure une série de questions personnalisées relatives à l’expérience du client avec votre produit ou service.

Le projet de révision

Dès la conception de l’étude de cas, il est recommandé d’envoyer un brouillon à votre client, ce qui vous permettra de recueillir ses commentaires et éventuelles demandes de modifications.

L’approbation finale

Une fois les modifications nécessaires terminées, envoyez une copie révisée de l’étude de cas au client pour approbation finale.

Dans le cas où vous publierez l’étude de cas en ligne sur votre site web ou ailleurs, pensez à communiquer à votre client le lien de la page où votre étude de cas est publiée.

Et par la suite, n’hésitez pas à demander à vos collaborateurs et participants de partager ces liens avec leurs propres réseaux, car cela démontre non seulement votre capacité à produire des résultats positifs.

Contactez vos clients pour réaliser une étude de cas efficace

#Étape 4 : Assurez-vous de poser les bonnes questions

Avant d’exécuter le questionnaire et l’entretien avec votre utilisateur, assurez-vous de vous préparer au succès, en préparant les bonnes questions.

Voici quelques exemples pour vous aider à démarrer :

  • Quels sont vos objectifs?
  • Quelles difficultés avez-vous rencontrées avant l’achat de notre produit ou service?
  • Qu’est-ce qui a permis à notre produit ou service de se distinguer de nos concurrents?
  • À quoi ressemblait votre processus de prise de décision?
  • Comment avez-vous profité de l’utilisation de notre produit ou service?

Lorsque c’est possible, demandez toujours des données concrètes.

Gardez à l’esprit que le questionnaire est conçu pour vous aider à mieux comprendre quelles questions fortes, centrées sur le succès, doivent être posées pendant l’entretien.

Et une fois que vous avez atteint ce stade, nous vous recommandons de suivre la « règle d’or de l’interview » : posez des questions ouvertes !

Si vous souhaitez rédiger une histoire d’étude de cas fascinante, les réponses «oui» ou «non» ne fourniront pas les détails dont vous avez besoin. Concentrez-vous sur des questions qui invitent à l’élaboration, telles que « Pouvez-vous décrire …? » ou « Parlez-moi de … »

En ce qui concerne la structure des entretiens, nous vous recommandons de catégoriser les questions et de les répartir en six sections spécifiques. Ensemble, ils vous permettront de rassembler suffisamment d’informations pour constituer une étude de cas riche et complète.

4.1 L’activité du client

L’objectif de cette section est de générer une meilleure compréhension des défis et objectifs actuels de l’entreprise et de la manière dont ils s’intègrent dans le paysage de leur secteur.

Voici quelques exemples de questions à poser pour rédiger votre étude de cas :

  • Depuis quand êtes-vous dans ce secteur ?
  • Combien d’employés avez-vous ?
  • Quels sont vos objectifs actuels ?

Comment rédiger votre étude de cas marketing

4.2 La problématique

Pour raconter une histoire captivante, vous avez besoin d’un contexte. Cela aide à répondre aux besoins du client avec votre solution. Voici quelques exemples de questions à poser :

  • Quels défis et objectifs vous ont amené à chercher une solution ?
  • Que se serait-il passé si vous n’aviez pas identifié de solution ?
  • Avez-vous déjà exploré d’autres solutions qui n’ont pas fonctionné ?
  • Si oui, que s’est-il passé ?

4.3 Le processus de décision

Examiner / étudier comment le client est parvenu à la décision de travailler avec vous aide à guider vos prospects tout au long de leur processus de prise de décision.

Voici quelques exemples de questions à poser :

  • Comment avez-vous entendu parler de notre produit ou service ?
  • Qui a été impliqué dans le processus de sélection ?
  • Qu’est-ce qui était le plus important pour vous lors de l’évaluation de vos options ?

4.4 La mise en oeuvre

L’accent doit être mis ici sur l’expérience du client au cours du processus d’intégration.

Voici quelques exemples de questions à poser pour faire votre étude de cas :

  • Combien de temps a-t-il fallu pour être opérationnel ?
  • Est-ce que cela a répondu à vos attentes ?
  • Qui a été impliqué dans le processus ?

4.5 La solution en action

Le but de cette section est de mieux comprendre comment le client utilise votre produit ou service.

Voici quelques exemples de questions à poser :

  • Y a-t-il un aspect particulier du produit ou du service sur lequel vous comptez le plus ?
  • Qui dans votre entreprise utilise notre produit ou le service ?

4.6 Les résultats

Dans cette section, vous souhaitez découvrir des résultats impressionnants et mesurables : plus il y a de chiffres, mieux c’est.

Voici quelques exemples de questions à poser :

  • Comment le produit ou le service vous aide-t-il à gagner du temps et à augmenter la productivité ?
  • En quoi cela améliore-t-il votre avantage concurrentiel ?
  • De combien avez-vous augmenté les métriques X, Y et Z ?

#Étape 5 : Structurez votre plan d’étude de cas

Lorsque vient le temps de prendre toutes les informations que vous avez collectées et de les transformer en quelque chose, il est facile de se sentir dépassé :

  • Par quoi devriez-vous commencer ?
  • Que devriez-vous inclure ?
  • Quelle est la meilleure façon de le structurer ?

Comment faire une étude de cas

Pour vous aider à maîtriser cette étape, il est important de comprendre au préalable qu’il n’existe pas de solution unique pour ce qui est de la manière dont vous pouvez présenter une étude de cas.

Ils peuvent être très visuels et parfois communiqués principalement par vidéo ou par photos, avec un peu de texte d’accompagnement.

Que votre étude de cas soit principalement écrite ou visuelle, nous vous recommandons de vous concentrer sur le plan en 7 parties ci-dessous :

  1. Titre: Soyez bref. Concentrez-vous sur la réalisation la plus convaincante.
  2. Résumé: Un résumé de 2 à 4 phrases de toute l’histoire. Vous pourrez poursuivre avec 2 ou 3 points qui affichent des métriques montrant le succès.
  3. Présentation du client: Une introduction à la personne ou à la société que vous avez servie, qui peut être extraite d’un profil d’entreprise LinkedIn ou d’un site Web client.
  4. Problèmes et objectifs: Une description de 2-3 paragraphes des défis du client, avant d’utiliser votre produit ou service. Cette section doit également inclure les buts ou objectifs que le client s’est fixés. Exemple : La société X avait du mal à ____. En conséquence, ils ne pouvaient pas ____. Ils avaient besoin de ____.
  5. Votre méthode: Une section de 2 à 3 paragraphes décrivant comment votre produit ou service a résolu le problème. Exemple : La solution Y permet à la société X de ____. Grâce à ____, ____. Maintenant, la société X utilise la solution Y pour ____.
  6. Les résultats obtenus: Un témoignage de 2 à 3 paragraphes qui montre comment votre produit ou service a été spécifiquement bénéfique pour la personne ou l’entreprise et a permis d’atteindre ses objectifs. Inclure des chiffres pour quantifier vos contributions. Exemple : La solution Y a aidé la société X à ____. Leur objectif de ____ est maintenant ____. En conséquence, ils ____.
  7. Visuels ou citations de soutien: Choisissez une ou deux citations puissantes que vous voudriez présenter au bas des sections ci-dessus, ainsi qu’un visuel qui prend en charge l’histoire que vous racontez.

Remarque : même si vous choisissez d’utiliser une étude de cas visuelle, celle-ci doit néanmoins inclure toutes ces informations, mais présentées dans le format prévu.

Lorsque vous présentez votre étude de cas, concentrez-vous sur la transmission des informations que vous avez collectées de la manière la plus claire et concise possible.

Facilitez-vous la numérisation et la compréhension et veillez à proposer une incitation à visiter votre site web au bas de la page, qui devrait permettre aux lecteurs d’en apprendre davantage sur votre produit ou service.

comment faire une étude de cas marketing?

#Étape 6 : Publiez et promouvez votre étude de cas

Pourquoi faire de bonnes études de cas si personne ne les lira jamais?

Assurez-vous que vos études de cas sont organisées et faciles à trouver.

Certains formats d’études de cas ont des chances d’être plus facilement promues : l’avantage des vidéos et des infographies est qu’ils sont faciles à partager sur Youtube ou Pinterest par exemple.

Essayez de faire en sorte qu’un plus grand nombre de vos visiteurs puissent découvrir comment ils pourraient bénéficier de vos produits ou services. Voici quelques idées :

6.1 Publiez votre étude de cas via un article de blog

Comme indiqué précédemment dans cet article, les études de cas écrites produisent de formidables générateurs de leads si vous les convertissez en un format téléchargeable, comme un PDF.

Pour générer des leads à partir de votre étude de cas marketing, pensez à rédiger un article de blog (votre propre blog ou un guest blog) qui raconte brièvement le succès de votre client. 

Ensuite, demandez aux lecteurs de remplir un formulaire avec leur nom et leur adresse électronique s’ils souhaitent lire le reste dans votre fichier PDF.

Il ne vous reste plus qu’à faire la promotion de ce blog sur les médias sociaux, via un post Facebook ou un tweet.

6.2 Publiez votre étude de cas sous forme de page sur votre site Web

En tant qu’entreprise en croissance, vous devrez peut-être afficher votre étude de cas au grand jour pour gagner la confiance de votre public cible.

Plutôt que de la placer derrière une page de destination, publiez votre étude de cas marketing sur une page dédiée sur votre site web. 

Ensuite, dirigez les internautes depuis votre page d’accueil à l’aide du bouton « Études de cas » ou « Témoignages » situé dans la barre de navigation supérieure de votre page d’accueil.

Publiez votre étude sous forme de page sur votre site Web

#Étape 7 : Présentez votre étude de cas

Vous travaillez dur dans ce que vous faites. Il est maintenant temps de le montrer à tout le monde – et plus important encore, à vos prospects.

Mais avant de montrer les projets qui vous rendent le plus fier, assurez-vous de suivre les étapes importantes qui vous aideront à faire en sorte que le travail soit efficacement communiqué.

Les études de cas sont incroyablement convaincantes si elles sont bien faites. Si vous êtes chanceux, vous raconterez une histoire que les gens pourront répéter sans se lasser.

Quelle est la meilleure étude de cas marketing que vous avez jamais vue? Qu’est-ce qui l’a rendu aussi mémorable?

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Les 11 tendances principales du Marketing Digital à surveiller en 2019

11 tendances du Marketing Digital à suivre en 2019

Avec les dernières innovations des technologies numériques, vous ne savez plus où donner de la tête? Vous vous demandez comment orienter votre stratégie marketing digital pour l’année à venir?

Pour rester dans le coup à l’ère du digital, l’essentiel est de se tenir au courant des nouveautés. Il faut aussi faire la distinction entre les tendances marketing durables vs. les courants éphémères.

Pas de panique, SBA Compta, l’expert comptable en ligne qui a accompagné des dizaines de startups dans leurs croissances, a listé pour vous les 11 nouvelles tendances du marketing digital à suivre en 2019 !

Cette année encore, vos besoins en recrutement digital risque fort d’évoluer. pensez au cabinet ageelink.com pour vous aider à choisir vos meilleurs profils

1. Le Contenu Généré par l’Utilisateur (CGU)

3x plus de crédibilité qu’une publicité

C’est bien connu, les clients font davantage confiance à leurs semblables plutôt qu’à la publicité. L’authenticité est la plus forte. Toujours!

  • 66% des consommateurs se fient aux opinions des internautes en ligne qui notent l’entreprise et écrivent des commentaires pour exprimer leur satisfaction / déception par rapport à ses produits ou à la qualité de ses services (Stackla – The Consumer Content Report).
  • 86% des consommateurs affirment que l’authenticité est un facteur important dans le choix des marques qu’ils sélectionnent. Ce chiffre est encore plus élevé chez la génération Y (Stackla Report).
  • À l’inverse, les consommateurs se méfient de plus en plus de la publicité et du marketing, c’est dire si être authentique et inspirer confiance devient critique pour les marques!

Étant donné que les individus accordent plus leur confiance aux êtres humains qu’aux marques, le marketing d’influence ou le celebrity marketing ont été, et demeurent, une tendance marketing et orientés à la hausse.

Mais ce que cherchent les consommateurs, c’est un contenu authentique généré volontairement par d’autres clients! Et c’est là que le Contenu Généré par l’Utilisateur (User Generated Content, UGC) entre en jeux.

Les marques ont compris à quel point il est important de fidéliser et d’engager ses consommateurs, ils ont mis en place des stratégies marketing pour faire d’eux de véritables ambassadeurs.

Par exemple : GoPro fournit l’un des meilleurs exemples de la tendance du marketing digital, à savoir l’utilisation du contenu généré par l’utilisateur (UGC, User Generated Content). 

Chaque jour, près de 5 000 vidéos sont mises en ligne avec le hashtag #GoPro – du plongeon du haut d’une falaise, au parachutisme vertical en passant par le filmage de la nature sauvage et les initiatives écologiques.

Comment ont-ils réussi à obtenir un tel engagement ?

Alors que le contenu de leurs concurrents ne fait que parler de lentilles étanches et de niveaux de métapixels, le contenu de GoPro inspire et fascine! Grâce à des UGC fiables et attrayants, utilisés à travers leurs efforts de marketing multicanal, ils gagnent le cœur des consommateurs – et leur portefeuille.

Si vous n’avez pas encore exploité ce genre de content marketing 2019, ajoutez des témoignages à votre site web pour profiter de cette tendance marketing. Et surtout, encouragez vos clients à partager leurs expériences avec vos marques et produits.

Cela portera certainement ses fruits, les consommateurs étant trois fois plus susceptibles de dire que le contenu créé par un consommateur est authentique par rapport au contenu créé par votre marque !

Stratégie marketing : L’importance du contenu généré par les utilisateurs

2. Le Marketing Vidéo

80% du trafic total sur internet d’ici 2020

L’année 2018 a déjà renforcé le marketing vidéo d’une façon considérable, mais en 2019 ça sera encore plus vrai! Les entreprises ont commencé à intégrer le video marketing dans tous les aspects de leurs expériences clients.

À tel point qu’on estime que le vidéo marketing devrait représenter à peu près 80% du trafic total sur internet d’ici 2020.

Si vous n’avez pas encore intégré de contenu visuel dans votre stratégie marketing, c’est le moment de s’y mettre!

La nouvelle tendance marketing étant de mettre l’accent sur les vidéos en direct : vous maximiserez votre taux d’audience avec du live streaming de qualité, à condition bien sûr d’avoir au préalable bien communiqué sur l’évènement.

Par exemple : interviews, webinaires, actualité, émission sur telle ou telle thématique liée à votre secteur…

3. L’Intelligence artificielle (IA)

Utilisez l’intelligence artificielle pour améliorer l’expérience utilisateur : pensez Chatbots & Programmatic Advertising

L’intelligence artificielle est le sujet brûlant des tendances marketing en 2019 et probablement même parmi les tendances marketing de 2020 !

Les formes d’intelligence artificielle les plus largement utilisées sont les agents conversationnels.

3.1 Les Chatbots (Agents conversationnels)

Attendre une réponse de la part du service client peut être cauchemardesque, mais grâce aux chatbots, nouvelle tendance marketing, les clients peuvent recevoir des réponses immédiates à des questions fréquemment posées.

Pour celui qui ne le sait pas encore, un chatbot est une intelligence artificielle qui permet de communiquer avec un individu via un service de conversations automatisées effectuées généralement en langage naturel.

Ces Chatbots sont la nouvelle tendance marketing pour aider les marques à améliorer le service à la clientèle tout en maîtrisant leur budget :

  • Les agents conversationnels sont plus rapides que les êtres humains pour donner des réponses relatives aux données et recevoir des demandes.
  • Ils ont de l’humour et de la personnalité et offrent un service sur mesure à tout client dans le besoin, à tout moment.
  • Les agents conversationnels peuvent être intégrés à un site Web, à une application et même à une plateforme de médias sociaux.
  • Ils collectent également des informations sur les utilisateurs qui peuvent ensuite être utilisées pour mieux adapter les stratégies marketing.

À l’origine, les chatbots utilisaient des bibliothèques de réponses selon des questions prédéfinies, mais le progrès en matière d’intelligence artificielle leur permet désormais d’analyser et de comprendre les messages jusqu’à un certain niveau, grâce au machine learning.

Par exemple : WeChat, la plateforme de messagerie mobile dominante en Chine, compte plus d’un milliard d’utilisateurs actifs par mois. En plus de son objectif principal, qui est d’envoyer des messages privés, WeChat permet de gérer de nombreuses activités liées au shopping, telles que prendre un taxi ou une commande à emporter, personnaliser et commander une paire de Nike, prendre rendez-vous avec un médecin ou encore payer ses factures.

Comme cette technologie devient de plus en plus avancée, il faut s’attendre à voir des entreprises adopter la nouvelle tendance du marketing, à savoir les chatbots pour améliorer leurs services clientèle en ligne.

Comment l'Intelligence Artificielle (IA) impactera le Marketing Digital

3.2 La Publicité Programmatique

L’intelligence artificielle prend également de l’ampleur dans l’espace publicitaire programmatique et compte parmi les nouvelles tendances du marketing, en aidant les spécialistes du marketing à acheter des publicités de manière plus efficace et à cibler des publics de manière plus spécifique.

Tout ceci doit augmenter les chances de succès de la campagne marketing et réduire les coûts d’acquisition des clients.

La technologie de l’intelligence artificielle donne aux spécialistes du marketing la possibilité de tenir enfin la promesse « du bon utilisateur, du bon message, du bon moment et du bon endroit », et cela non seulement en prévoyant à qui, comment et quand diffuser une annonce publicitaire, mais également en transmettant rapidement une offre pertinente.

4. Le Storytelling

Sensibilisez et fidélisez vos clients autour de vos produits

C’est tout à fait humain d’aimer les histoires, surtout lorsqu’elles sont bien ficelées et bien racontées !

On comprend donc pourquoi autant de marques se concentrent sur l’intégration d’histoires dans leur marketing numérique, c’est même la tendance dans les stratégies marketing.

Le plus souvent, ce concept est utilisé pour parler de l’historique de l’entreprise ou raconter la genèse d’un produit.

Grâce à l’évolution des réseaux sociaux d’un canal de génération de trafic vers une véritable plateforme d’engagement des clients, les entreprises ont trouvé là un moyen pour sensibiliser et fidéliser leurs clients autour de leurs marques et leurs produits.

5. Les Réseaux Sociaux

Si vous n’êtes pas présents sur les médias sociaux, c’est comme si vous n’existiez pas!

5.1 Explosion des budgets pub médias sociaux

Le temps où les publications à portée organique offraient du trafic et de l’engagement constants appartient désormais au passé…!

Aujourd’hui, avec les dernières tendances marketing, les entreprises se trouvent dans l’obligation de lancer des campagnes publicitaires payantes pour obtenir un minimum de conversions.

L’augmentation du nombre d’annonceurs sur chaque réseau social a malheureusement causé une augmentation du prix des campagnes.

Cela oblige les entreprises à choisir entre augmenter leurs budgets réservés aux médias sociaux ou bien trouver d’autres solutions pour accroître la notoriété de leur marque.

5.2 Les médias sociaux ont pris le dessus

Les médias sociaux étant désormais intégrés dans la vie quotidienne de presque tout le monde, il est essentiel pour les entreprises de comprendre les changements apportés aux réseaux sociaux. Et ceux-ci changent beaucoup.

Les tendances des médias sociaux les plus populaires actuellement sont la vidéo, l‘automatisation et les influenceurs, mais il y en a d’autres.

Ce qu’il faut retenir avant tout, c’est qu‘il ne suffit plus de dominer une seule plateforme. Vos prospects sur Facebook ne sont pas sur YouTube et ceux sur YouTube sont différents de ceux qui lisent le contenu de votre site Web.

Par conséquent, la clé de votre succès pour optimiser votre présence sur les réseaux sociaux est de réorganiser votre contenu sur plusieurs plateformes (pertinentes).

Les médias sociaux ont un impact important. Si vous n’avez pas encore beaucoup réfléchi à votre stratégie marketing pour les médias sociaux, il est temps de le faire.

Le marketing digital et réseaux sociaux : les tendances 2019

6. Le Growth Hacking

Utilisez votre croissance comme métrique décisive !

Bien qu’il soit pour certains un buzzword (en bon français, un “mot à la mode”), le Growth Hacking ou “le piratage de croissance” présente une nouvelle tendance de marketing digitale. Cet outil devient même une priorité pour les entrepreneurs qui cherchent à évoluer et à développer leurs activités avec une rapidité phénoménale.

Défini par Sean Ellis, le concept du growth hacking implique l’expérimentation de différentes approches marketing pour augmenter les ventes et la notoriété de l’entreprise d’une façon rapide et pour un coût très réduit.

Selon Brice Maurin, un des spécialistes du piratage de croissance : “Le Growth Hacking n’est pas une discipline mais un état d’esprit”.

Donc il faut s’attendre à voir les spécialistes du marketing utiliser des outils et des techniques diverses, parfois borderline, pour booster la croissance de leur entreprise.

7. La Recherche Vocale

En 2020, la moitié des requêtes de recherche sera vocale !

Près du tiers des 3,5 milliards de recherches effectuées chaque jour sur Google sont des recherches vocales, suivies principalement par des outils d’assistance personnelle (TheeDesign, 2017).

De plus en plus d’utilisateurs utilisent quotidiennement Alexa d’Amazon, Siri d’Apple et l’Assistant Google.

Leur capacité à reconnaître le langage humain s’étant considérablement améliorée, ces outils de nouvelle tendance marketing peuvent se révéler extrêmement utiles, aussi bien pour la recherche d’informations sur le Web que pour la réalisation de tâches domestiques.

Que signifie ce passage à la recherche vocale pour les spécialistes du marketing?

Principalement beaucoup de travail…

La recherche vocale diffère de la recherche de bureau ou mobile typique. Lorsque vous ouvrez Google sur votre navigateur et tapez votre requête de recherche, des centaines de pages de résultats de recherche s’affichent. Ce n’est pas si difficile d’être l’une de ces pages.

Mais lorsque vous posez une question à Siri, vous obtiendrez seulement quelques résultats. Parfois même un seul résultat.

Si votre site Web en fait partie, le taux de clic (CTR) peut potentiellement être beaucoup plus élevé. Mais le site Web doit être là en premier lieu. Par conséquent, l’adaptation de votre stratégie de référencement pour la recherche vocale est cruciale.

Une tendance web marketing qui va s’affirmer d’ici 2020 (selon ComScore) , puisqu’on estime que la moitié des requêtes sera alors vocale!

Penchez-vous sur les nuances de la recherche vocale et intégrez-la à votre stratégie marketing. La technologie de reconnaissance vocale ne devrait que croître et s’améliorer. Elle va bouleverser le monde du marketing, alors ne passez pas à côté!

8. La Recherche Visuelle

Selon 93% des consommateurs, le visuel est LE facteur décisif dans le processus d’achat

Ce n’est pas seulement la recherche vocale qui est en train de prendre de l’importance.

Récemment, les grandes entreprises telles que Google, Pinterest ou Microsoft se sont efforcées de développer un concurrent plus fort en référencement interactif : la recherche visuelle.

Comment la recherche visuelle fonctionne-t-elle?

Lorsque Google a présenté pour la première fois son application Google Lens l’année dernière, on l’a décrite comme une sorte de recherche inversée.

Plutôt que de taper une requête en texte et d’obtenir des résultats en image, vous pouvez diriger la caméra de votre téléphone vers un objet pour rechercher des informations textuelles.

La recherche visuelle, tendance marketing digitale, permet d’identifier les objets dans l’image, puis de rechercher des images associées à ces objets.

Par exemple, sur la base d’une image de lit, vous pourrez utiliser la recherche visuelle pour acheter un lit identique ou similaire à celui de l’image.

Bien que ce qui précède semble assez incroyable, la technologie entourant la recherche visuelle est toujours limitée. En effet, l’apprentissage automatique doit recréer le traitement des images de l’esprit avant de pouvoir produire efficacement une application de recherche visuelle viable.

Il ne s’agit pas uniquement d’identifier une image. La machine doit être capable de reconnaître une variété de couleurs, de formes, de tailles et de motifs de la même manière que l’esprit humain.

Alors que 93% des consommateurs considèrent que les visuels sont le facteur décisif dans une décision d’achat (Kissmetrics), les moteurs de recherche visuels vont probablement révolutionner le secteur de la vente au détail.

La recherche visuelle est l’une des grandes tendances du marketing numérique en 2019

9. Le Contenu interactif

Proposez des formules attractives et ludiques à vos visiteurs

Hélas, l’époque où les entreprises proposaient simplement des articles de blog peu étoffés avec du texte brut et recevaient un trafic massif est révolue…

Pour être accrocheur en 2019, les marques devront utiliser des formules plus attractives et moins chronophages !

Alors, diversifiez les formes et les propositions :

  • Formulaires
  • Jeux
  • Concours
  • Quizz
  • Sondages
  • Vidéos…

Tout est bon pour suivre la tendance marketing et optimiser sa stratégie de marketing de contenu!

10. Les micro-moments

Apportez à vos prospects les bonnes infos au bon moment !

Le micro-moments prennent désormais le pas pour mieux répondre au besoin du consommateur.

Les consommateurs d’aujourd’hui sont bombardés par du contenu, des annonces, des offres, des e-mails, des notifications push et tant d’autres choses. Tout le temps. Nous avons atteint le point où nous ne pouvons tout simplement plus traiter davantage d’informations.

Les marques et les spécialistes du marketing ont beaucoup de difficulté à attirer l’attention de leur public. C’est là que le micro-moment marketing entre en scène.

Alors, un micro moment, c’est quoi ?

Le micro-moment est une nouvelle tendance marketing. Il s’agit d’un nouveau type de comportement du consommateur, qui se produit lorsque les gens se tournent par réflexe vers un appareil, généralement un smartphone, pour réagir à un besoin :

  • d’apprendre,
  • d’aller quelque part,
  • de faire quelque chose,
  • de connaître ou d’acheter un produit.

Il existe de nombreux types de micro-moments tels que : le moment où je veux savoir, le moment où je veux aller, le moment où je veux faire ou encore le moment où je veux acheter…

Selon l’équipe marketing de Google, les utilisateurs vivent des «micro-moments» en moyenne 150 fois par jour.

Pourquoi les micro-moments sont-ils si importants?

Parce que les gens, en général, prennent des décisions instantanées sur ce qu’il faut acheter, où aller ou dans quel restaurant manger, ce qui ne vous laisse qu’une poignée de secondes pour attirer leur attention.

Les micro-moments fonctionnent, car ils fournissent aux consommateurs les bonnes informations au moment opportun.

En fin de compte, le processus décisionnel du consommateur consiste en une combinaison de ces micro-moments sur tous les canaux et tous les appareils. Les marques à succès de demain seront celles qui suivent les nouvelles tendance marketing et qui répondent aux besoins de leurs consommateurs dans ces micro-moments.

11. Réalité Augmentée & Réalité Virtuelle

Transformez l’expérience client pour faire la différence

L’utilisateur d’aujourd’hui souhaite principalement deux choses: s’engager et participer activement à la stratégie de la marque.

Les réalités augmentées et virtuelles peuvent répondre à ces deux besoins en offrant aux marques d’énormes possibilités dans le domaine de l’expérience client.

Les entreprises utilisent déjà pleinement le potentiel de cette nouvelle tendance marketing pour créer une notoriété de la marque et pour vendre des produits individuels.

Par exemple : IKEA utilise la technologie de la réalité virtuelle depuis 2016. Grâce à son application de shopping, IKEA VR Experience, les clients peuvent essayer différentes solutions IKEA avant de les acheter. D’autres grands groupes tels que Nivea, Starbucks et Volkswagen ont également expérimenté la réalité augmentée.

Les réalités virtuelles et augmentées sont de plus en plus courantes en tant qu’outil marketing pour les marques. C’est donc un bon moment pour explorer vos options et prendre une longueur d’avance!

[Infographie] Les 11 tendances du marketing digital qui s'imposent en 2019

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Besoin d’engager un cabinet de recrutement pour la recherche et l’embauche de nouveaux collaborateurs pour votre entreprise?

Plus l’entreprise est de taille modeste, plus le recrutement est essentiel! Les startups et les PME ne peuvent pas se permettre de se tromper dans leur recrutement, l’erreur de casting coûte cher!

Il existe des cabinets de recrutement qui peuvent gérer l’ensemble du processus pour vous aider à trouver et embaucher le meilleur candidat pour le poste que vous proposez.

Comment pouvez-vous savoir si tel ou tel cabinet de recrutement est vraiment performant?

Vous faites déjà appel à des cabinets et souhaitez optimiser vos conditions de collaboration ? Quel type de services devriez-vous leur demander?

Avant d’externaliser votre processus de recrutement, votre cabinet d’expertise compta en ligne SBA Compta vous recommande de leur poser ces 7 questions :

1. Comment sélectionnez-vous les meilleurs CV?

Comme vous le savez, la première tâche de tout le processus recrutement, c’est l’étude d’une longue liste de Curriculum Vitae (CV). Choisir le meilleur parmi les centaines de CV est tout un art.

Les CV se ressemblent de plus en plus sur leur forme, du fait de modèles de CV mis à disposition un peu partout sur le web.

Par conséquent, chaque CV peut paraître vraiment similaire à un autre, rendant la sélection de plus en plus difficile pour des amateurs qui ne pratiquent pas le recrutement régulièrement.

Pour faire leur sélection, les cabinets de recrutement expérimentés :

  • Ont leurs propres méthodes pour analyser les CV et voir au-delà de l’apparence de la présentation. Cela leur permet de repérer efficacement les talents et faire ressortir les éléments essentiels lors de l’étude du CV.
  • Disposent d’une palette de tests de recrutement : cela va des tests techniques aux “assessment centers” (centres d’évaluation), autant d’outils d’évaluation qui permettent d’évaluer le candidat sur des critères que l’entreprise juge essentiels pour tenir le poste (maîtrise d’un logiciel, capacité à diriger une équipe, aptitude à travailler en équipe…).
  • Utilisent des outils d’évaluation individuelle, qui permettent d’analyser de manière approfondie et complémentaire, le profil du candidat afin de confirmer une première impression.

Alors demandez des infos précises sur la manière dont un cabinet de recrutement fait son tri parmi les CV.

Plus la méthode employée est complète, plus vous vous assurerez que les candidats proposés possèderont les qualités requises pour s’adapter au poste que vous proposez et à votre entreprise.

2. Quel coût pour un recrutement?

Avant de vous engager auprès d’un cabinet de recrutement, examinez longuement ce que vous coûtera une prestation de recrutement et quelles seront les modalités de paiement.

Combien me coûtera un recrutement ?

Certains cabinets vous factureront un pourcentage du salaire du nouvel embauché, tandis que d’autres demanderont un forfait selon le profil embauché.

En général, le coût qui va de la définition du profil recherché à la présentation d’une short-list de candidats, s’établit entre 15 et 20 % du salaire annuel brut proposé, pour les postes relevant des catégories cadres.

Pour les missions de repérage de profils à haut potentiel, le pourcentage du salaire annuel brut se situera entre 20% et 25 %.

Pour les missions en intérim :

  • Le coût dépendra du profil, de la durée du contrat de mise à disposition, du taux horaire (certaines agences proposent des forfaits selon les durées : plus la durée de la mission sera longue, plus le taux horaire sera bas).
  • Pour certaines agences, pour un poste donné, l’entreprise utilisatrice communique le salaire prévu pour l’intérimaire.
  • L’agence d’intérim y applique un coefficient de facturation qui va déterminer le coût final facturé. Ce coefficient tient compte de la rémunération versée et des charges sociales mais aussi de la marge commerciale de l’agence
  • La fixation du coefficient est totalement libre et peut varier entre 1,9 et 2,6 en fonction des agences de recrutement et de la rareté de la qualification demandée, du nombre d’intérimaires, du contexte économique…

Choisissez la bonne agence de recrutement selon le coût, mais sachez que la différence de prix peut se faire selon la prise en charge ou non par la société d’intérim de certains équipements de protection de l’intérimaire.

Vous pouvez négocier une remise liée à ce surcoût pour votre entreprise si ces frais ne sont pas pris en charge par l’agence de recrutement.

Quelles modalités de paiement ?

Elles varient d’un cabinet à l’autre. Tout est fixé lors de la négociation avec le cabinet, donc il faut voir quelles échéances vous arrangent le mieux.

Plusieurs cas de figures existent :

  • certains cabinets adressent leur facture à la fin de leur intervention,
  • d’autres se font payer par tiers : le premier tiers au début de la mission, le second lors de la présentation des candidats et le dernier à l’intégration du candidat dans votre entreprise.

Il faudra surtout bien convenir avec l’agence de la marche à suivre si votre nouvel employé décide de quitter le poste ou si vous n’êtes pas satisfait du choix après une courte période.

De nombreuses agences accepteront de redémarrer le recrutement sans frais supplémentaires, mais pas toutes. Alors assurez-vous de ne pas avoir de mauvaises surprises!

Ainsi, vous pourrez bénéficier d’une période de garantie durant laquelle le cabinet s’engage à trouver gratuitement un remplaçant si l’essai n’est pas concluant.

Le recrutement pourra être renouvelé une fois durant la période de garantie, qui peut aller d’un mois pour un profil courant, à un an dans le cas d’un profil de très haut niveau.

3. Comment recrutez-vous vos propres collaborateurs?

Le mode de recrutement que le cabinet utilise pour embaucher ses propres collaborateurs vous donnera une idée de la façon dont votre prestataire gère le processus de recrutement en interne.

Utilisent-ils les médias sociaux pour chasser les candidats, leur site web par exemple?

De plus, portez une attention particulière au taux de turnover de votre prestataire de service.

En effet, un cabinet qui a un faible taux de turn over est synonyme d’efficacité, de stabilité et de sérieux dans le sens où votre vis-à-vis sera votre référent sur le long terme et connaîtra parfaitement vos besoins.

Les experts en ressources humaines ne devraient pas seulement être bons à recruter des talents, ils doivent être capables de le développer et le fidéliser. Un bon environnement de travail et une équipe motivée devraient être des éléments décisifs lors de votre sélection.

4. Avez-vous déjà recruté pour une autre entreprise faisant partie du même secteur d’activité que moi?

Chaque entreprise a des besoins et des compétences spécifiques. Il est donc bon de savoir si une agence de recrutement a déjà une expérience dans votre domaine spécifique, voire une base de données complète dans le cas où elle a déjà travaillé avec l’un de vos concurrents ou partenaires dans le passé.

Cela peut vous donner une idée sur l’expertise du cabinet de recrutement dans votre secteur d’activité ainsi que la maîtrise des compétences clefs sur les profils que vous recherchez.

Ils pourront vous proposer le profil adéquat rapidement, selon vos besoins et exigences spécifiques.

Même si le cabinet de recrutement n’a jamais traité avec des entreprises du même secteur d’activité, il ne faut pas nécessairement le retirer de la liste de vos prestataires de service.

Demandez-leur avec quel type de clients ils traitent d’habitude et essayez d’identifier, parmi leurs références, une entité qui possède des normes similaires.

Un bon cabinet de recrutement devrait généralement pouvoir s’adapter aux besoins de différents secteurs et industries.

5. Quel taux de satisfaction ?

Vous pouvez demander au cabinet de recrutement les différentes études qu’ils ont pu mener sur leurs recrutements passés, et le taux de satisfaction clients et candidats des précédentes missions.

Ces taux vous permettront de savoir où se situe le cabinet en terme de pédagogie, de réactivité, d’expertise ou encore de sens de l’écoute par rapport aux besoins des clients et des candidats.

Taux de satisfaction des clients suite au placement d’un candidat

Un des indicateurs les plus fiables est le taux de satisfaction des clients avec qui le cabinet a traité dans le passé. Dans le meilleur cas, vous aurez des éléments précieux si le prestataire a pu faire une enquête sur la perception des clients quant à la qualité des interventions réalisées.

Taux de satisfaction des candidats placés

Des collaborateurs satisfaits constituent également une ressource précieuse. Les candidats permanents et temporaires insatisfaits risquent deux fois plus de quitter leur emploi prématurément.

Évaluez la satisfaction des candidats récemment recrutés et qui travaillent actuellement avec le cabinet de recrutement en consultant les témoignages, les évaluations et le taux de satisfaction si des études ont été menées en interne.

6. Proposez-vous d’autres offres complémentaires?

La formation n’est pas le cœur de métier des cabinets de recrutement. Mais certains proposent, en plus de l’aspect recrutement, une offre en formation.

Demandez à l’avance à votre prestataire de service s’il propose une offre complémentaire au recrutement.

De nombreux cabinets de recrutement ont pour principale mission le recrutement, c’est-à-dire choisir simplement le meilleur candidat, et leur mission s’arrête à cette fonction.

Certains cabinets peuvent vous proposer en plus d’autres services. Par exemple : mise à disposition d’un ou plusieurs consultants en recrutement au sein de l’entreprise mandataire, afin de prendre en charge les différentes étapes du recrutement.

Ou encore, d’autres types de services :

  • gestion d’intérim,
  • restitution de l’entretien de recrutement,
  • intégration de votre collaborateur,
  • formations spécifiques à votre métier.

Votre contrat de partenariat avec le cabinet de recrutement doit inclure autant de détails possibles concernant les services inclus dans leur offre.

Vous devez voir avec eux ce qu’ils peuvent vous proposer et voir si d’autres offres comme des interventions sur des expertises en ressources humaines peuvent vous être proposées.

7. Comment vérifiez-vous les références des candidats?

  • Vous pourriez penser que c’est une évidence, mais tous les cabinets de recrutement ne sont pas aussi prudents sur les références que vous pourriez le croire.
  • Certains vous diront qu’ils se contentent des documents transmis par le candidat lors de son évaluation.
  • D’autres appelleront chaque référence avant de rencontrer un candidat pour un entretien.
  • Et d’autres laisseront la partie contrôle des références en dernière étape du processus, en vérifiant les documents lorsqu’ils auront identifié le candidat idéal.

Assurez-vous donc de savoir comment et quand les cabinets vérifient les références. Et si vous avez des demandes spécifiques, assurez-vous qu’elles soient bien prises en compte avant de commencer le processus de recrutement.

Prenez votre temps et engagez le bon cabinet de recrutement

Votre entreprise est une organisation ayant une culture d’entreprise et des valeurs. Recruter un nouveau collaborateur représente un coût et un défi dans le sens où chaque nouveau collaborateur a des attentes individuelles qui peuvent être différentes des attentes de votre structure.

Au delà des compétences de la nouvelle recrue, il y a l’aspect du savoir être, de l’adaptation et du sentiment d’appartenance à l’organisation qui pourraient poser problème lors de l’intégration du collaborateur.

Il est donc important d’embaucher des candidats compétents, mais aussi des candidats qui sauront s’adapter à la culture de votre organisation et pourront évoluer dans votre structure.

C’est pourquoi la première étape lors de l’embauche des bonnes personnes consiste à trouver le bon cabinet de recrutement. Alors assurez-vous de poser les bonnes questions avant de vous engager.

Grâce à SBA Compta, votre partenaire d’expertise comptable en ligne, vous avez maintenant toutes les cartes en main afin de réussir votre choix d’agence de recrutement et développer significativement la croissance de votre entreprise.

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Petite entreprise : les clés pour réussir sa première embauche

Comment embaucher son premier salarié ?

L’embauche d’un premier salarié est à la fois un moment important et stressant. Important, car pour tout entrepreneur, l’embauche de salarié est un accomplissement et le signe de la bonne santé de votre société.

Mais c’est également une décision angoissante pour l’entrepreneur, car elle engage l’entreprise envers un tiers et décuple les responsabilités du gérant.

Alors, comment s’assurer que c’est le bon moment pour une première embauche? Comment rédiger votre offre d’emploi ? Que mettre dans votre contrat de travail ? Quelles sont les aides à l’embauche dont vous pouvez bénéficier?

Pour répondre à vos doutes sur toutes les étapes du processus de recrutement, votre cabinet de comptabilité en ligne SBA Compta vous propose un dossier complet pour vous aider à :

  • Déterminer si c’est le bon moment pour faire la première embauche,
  • Connaître les formalités administratives à accomplir.
  • Trouver les aides à l’embauche dont vous pouvez bénéficier.

1. Quand embaucher votre premier salarié ?

Plusieurs critères sont à prendre en compte avant d’envisager votre première embauche.

Votre secteur d’activité

D’une part, selon votre activité, vous aurez plus ou moins rapidement besoin de déléguer des tâches.

Si vous ouvrez un restaurant par exemple, vous devrez immédiatement recruter un salarié alors que pour les prestations de services ou le e-commerce, vous pouvez vous permettre d’attendre avant de franchir le pas.

La croissance économique de votre entreprise

Le deuxième critère à prendre à compte est inévitablement votre chiffre d’affaires. Recruter un salarié est un engagement important que vous ne pouvez pas rompre facilement.

L’embauche d’un salarié doit intervenir quand votre surcharge d’activité ou votre besoin ne peuvent pas être comblé par d’autres moyens.

Il est souvent tentant de vouloir embaucher pour déléguer un certain nombre de tâches qui vous semblent pénibles, mais il faut garder en tête que le salarié doit créer de la valeur ajoutée pour votre entreprise.

Son embauche doit donc répondre à un réel besoin, par exemple un besoin de compétences particulières ou un surplus d’activité durable qui vous oblige à refuser des commandes. 

Pour tous vos autres besoins, pourquoi ne pas faire appel à un freelance ?

2. Comment faire sa première embauche ?

2.1 Bien rédiger votre offre d’emploi

Pour mener un bon recrutement, il est indispensable de bien définir le poste que vous souhaitez créer. Il est donc capital de bien déterminer les contours de la position à pouvoir et les tâches que vous souhaitez voir accomplir par votre futur salarié.

Cette étape indispensable vous permettra d’une part de confirmer votre besoin d’embauche et facilitera le recrutement.

En effet, en définissant précisément les limites du poste, vous allez attirer des candidats qualifiés et motivés, ce qui vous fera gagner du temps lors du recrutement.

2.2 Bien évaluer les coûts

Il est capital de budgétiser l’embauche de votre premier salarié. N’hésitez pas à prendre connaissance des salaires pratiqués sur le marché pour un profil comme celui que vous cherchez.

Anticipez l’ensemble des coût, afin de bien mesurer l’évolution de votre situation financière et établir convenablement votre budget prévisionnel.

Budgétisez également les charges sociales pour connaître le coût réel de l’embauche pour votre entreprise et savoir si celle-ci pourra le supporter ainsi que les coûts indirects (matériel, espace travail, fournitures…) dont votre nouveau salarié aura besoin.

Pour vous aider, n’hésitez pas à consulter le site officiel mon-entreprise qui vous permet de simuler le coût réel d’une embauche.

2.3 Bien rédiger son contrat de travail

Vous devez également réfléchir au contrat de travail que vous souhaitez proposer. L’arbitrage se fait souvent entre le CDD et le CDI.

  • Le Contrat à Durée Déterminée : pour l’entreprise, il présente l’avantage de limiter l’engagement dans le temps. Mais ce type de contrat peut faire fuir un salarié qualifié qui préférera s’engager auprès d’une autre société qui lui offre un CDI.

  • Le Contrat à Durée Indéterminée : à l’inverse, le CDI est plus rigide, offre plus de stabilité au salarié et engage l’entreprise sur le long terme.

Assurez-vous que le contrat de travail vous protège le plus possible et vous fournisse un encadrement juridique suffisant :

  • Sécurisez la période d’essai et la période de préavis.
  • Faites bien apparaître les clauses obligatoires (identité complète de l’employeur et du futur salarié, lieu et durée de l’activité, date de démarrage, nature du contrat, poste, salaires et primes)
  • Protégez-vous également avec des clauses de confidentialité et non-concurrence.

Vérifiez bien si une convention collective s’applique à votre entreprise. Si c’est le cas, il doit en être fait mention dans le contrat de travail.

Enfin, pensez à jeter un œil aux différentes aides à l’embauche d’un premier salarié existantes.

Durant toute cette procédure, vous pouvez vous faire accompagner par un cabinet de recrutement ou décider de procéder au recrutement par vous-même.

3. Les formalités d’embauche d’un salarié

Vous avez trouvé la perle rare pour votre première embauche, reste maintenant à finaliser les démarches administratives pour la conclure.

Formalités préalable à l’embauche

La déclaration préalable à l’embauche permet d’effectuer l’ensemble des formalités obligatoires liées à l’embauche d’un salarié auprès de l’URSAFF.

La DPEA inclut les éléments suivant :

  • la déclaration de première embauche dans une société
  • la demande d’immatriculation au régime général de la Sécurité sociale pour le salarié
  • la demande d’affiliation au régime d’assurance-chômage
  • la demande d’adhésion au service de santé au travail
  • la déclaration d’embauche du salarié, auprès du service de santé au travail
  • enfin, l’employeur transmet à travers la DUE la liste des salariés embauchés pour effectuer le pré-établissement de la déclaration annuelle des données sociales (DADS).

Ce document doit être transmis à l’URSAFF dans les 8 jours précédant l’embauche.

Formalités à réaliser après l’embauche

Une fois le salarié embauché, vous devez l’inscrire sur un Registre unique du personnel et vous charger de l’inscription auprès des institutions de retraites complémentaires.

Enfin, il est dans votre devoir de faire passer une visite médicale à votre nouveau salarié avant la fin de sa période d’essai.

Toutes les démarches administratives à suivre lors de l’embauche d’un salarié sont répertoriées sur le site officiel de l’administration française : https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F23107

4. Quels sont dispositifs d’aides à l’embauche ?

Aide Emploi Franc, Contrat de professionnalisation, Contrat d’apprentissage…. Lorsqu’une entreprise veut embaucher, elle peut souvent bénéficier d’un petit coup de pouce de l’Etat qui, à travers ces aides à l’embauche, cherche à favoriser la reprise de l’activité économique.

Mais il est parfois un peu compliqué de faire le tri entre toutes les solutions proposées. Pour vous aider à y voir plus clair, SBA Compta dresse pour vous la liste des principales aides à l’embauche à connaître absolument.

Deux grands types d’aides à l’embauche

En France, il existe deux grands types d’aides à l’embauche : les aides reposant sur un allégement du coût patronal et celles s’appuyant sur des contrats aidés.

À cela s’ajoute des aides spécifiques selon les zones géographiques. Elles concernent généralement des territoires défavorisés et cherchent à attirer les employeurs à travers des avantages fiscaux ou des exonérations de charges patronales.

Face à ces différentes options, il vous faut vous poser plusieurs questions pour faire un premier tri et savoir quelles sont les aides les plus adaptées à vos besoins :

  • Dans votre zone d’implantation, existe-t-il une aide spécifique dont vous pourriez bénéficier. Vous pouvez retrouver la liste des zones franches urbaines (ZFU) et des zones de revitalisation rurale (ZRR) en ligne.
  • Quel type de contrat de travail souhaitez-vous signer (CDD / CDI…) ?
  • Quel type de salarié vous souhaitez recruter (jeune en sortie d’étude, en formation, salarié déjà qualifié…)

Ces réponses vont être capitales pour déterminer le type d’aide à l’embauche dont vous pouvez bénéficier.

4.1 Les contrats aidés

Le Contrat de professionnalisation

Si vous souhaitez embaucher un jeune salarié encore en formation, le contrat de professionnalisation est probablement la solution idéale.

Il s’agit d’un contrat de travail en alternance accessible à toutes les entreprises et qui permet d’embaucher des jeunes entre 16 et 25 ans.

Il concerne tous les secteurs d’activité et s’étend généralement entre 6 et 12 mois durant lesquels le salarié passera entre 15 et 25% de son temps en formation.

En fonction de l’âge et de la qualification du salarié embauché, sa rémunération oscillera entre 55 et 85% du SMIC :

Âge Inférieur au baccalauréat Égal ou supérieur au baccalauréat

Moins de 21 ans

Au moins 55% du SMIC Au moins 65% du SMIC

21 ans à 25 ans révolus

Au moins 70% du SMIC Au moins 85% du SMIC
26 ans et plus Au moins le SMIC ou 85%  de la rémunération minimale conventionnelle ordinaire Au moins le SMIC ou 85% de la rémunération minimale conventionnelle ordinaire

Pour en savoir plus, consultez le portail du ministère du travail sur l’alternance : https://www.alternance.emploi.gouv.fr/portail_alternance/jcms/pa_5012/navigation/accueil

Le Contrat Unique d’Insertion (CUI) – Contrat Initiative Emploi (CIE)

Les contrats uniques d’insertion sont destinés à favoriser l’embauche de personnes ayant des difficultés d’insertion, mais désormais uniquement dans le secteur non marchand.

Le CUI est possible dans les DOM pour le secteur marchand.

L’employeur peut bénéficier pendant plusieurs mois d’une aide financière d’un montant variable pouvant atteindre :

  • 47 % du Smic brut pour les CUI dans des entreprises du secteur marchand,
  • 95 % du Smic brut pour les CUI-dans des entreprises du secteur, non marchand (association…).

La Préparation Opérationnelle à l’Emploi

Cette action est idéale pour les entreprises qui ont besoin d’un salarié avec des compétences spécifiques.

En accord avec Pôle Emploi, elle vous permet de financer en partie la formation de votre nouveau salarié – dans la limite de 400 heures de formation – jusqu’à ce qu’il soit opérationnel pour prendre le poste.

En échange de cette aide, vous devez vous engager à signer un CDI ou un CDD de 12 mois minimum avec le salarié formé.

4.2 Les aides à l’embauche destinées aux entreprises

L’Aide TPE jeunes apprentis

C’est une aide forfaitaire qui concerne les entreprises de moins de 11 salariés.

En échange de l’embauche d’un jeune en contrat d’apprentissage, l’Etat vous propose une aide trimestrielle de 1 100 euros dans la limite de 1 année.

Au total, vous pouvez donc bénéficier d’une aide à l’embauche de 4 400 euros sur la première année du contrat.

L’Aide Emploi Franc

Entrés en vigueur au 1er avril 2018, les emplois francs s’appliquent aux CDI et CDD de 6 mois minimum. Cette aide concerne le recrutement de salariés résidant dans des quartiers reconnus comme prioritaires (entre autre : Cergy Pontoise, Paris Sud, Lille, Marseille, Roissy ou encore Seine Saint Denis – liste complète consultable en ligne).

Mise en place pour lutter contre les inégalités à l’embauche, elle permet de percevoir jusqu’à:

  • 15 000 euros sur 3 ans dans le cadre d’un CDI,
  • 5 000 euros sur 2 ans dans le cadre d’un CDD.

L’aide emploi franc est cumulable sous certaines conditions avec le Contrat de professionnalisation, mais pas le contrat d’apprentissage.

L’Aide forfaitaire à l’employeur (AFE)

Cette mesure vous permet de bénéficier de deux versements de 1 000 euros chacun, un versement à la fin du 3ème mois du contrat, un second à la fin du 10ème mois de contrat, si vous décidez d’embaucher en Contrat de professionnalisation un jeune de plus de 26 ans.

Cette liste est loin d’être exhaustive, il existe de nombreuses autres aides à l’embauche (vous pouvez consulter ici les aides listées par Pôle Emploi : https://entreprise.pole-emploi.fr/aides-embauche/touteslesaides).

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Notes de frais : comment éviter le redressement fiscal ?

bonne gestion notes de frais

Notes de frais : comment éviter le redressement fiscal ?

Véritable bête noire du chef d’entreprise, le redressement fiscal pour remboursement excessif de frais est le premier motif de contrôle fiscal en France.

Pour ne pas vous faire épingler, des notes de frais détaillées vous permettront de justifier le remboursement des dépenses engagées à titre professionnel et d’éviter les questionnements de l’administration.

Votre cabinet d’expertise Comptable en ligne SBA Compta vous explique comment faire.

Pourquoi faire une note de frais ?

S’il y a un élément qui n’échappe pas au contrôle de l’URSSAF lors d’un contrôle fiscal, c’est bien les notes de frais.

Ce document, qui peut être tenu via un fichier excel, un logiciel de comptabilité ou via votre cabinet d’Expertise-comptable, récapitule les dépenses engagées par le salarié à titre professionnel et lui permet de demander le remboursement auprès de l’entreprise.

Si les frais ont été demandés par l’entreprise et s’ils sont justifiés, la société est dans l’obligation de procéder au remboursement. Pour l’entreprise, cette dépense sera retirée du bénéfice imposable et exonérée de cotisations sociales.

C’est au titre de ce dernier point que l’URSSAF se montre particulièrement attentive ! L’administration fiscale cherche en effet à débusquer les remboursements de notes de frais qui déguiseraient des avantages en nature. En effet, les avantages en nature sont eux considérés comme un élément de salaires et à ce titre, sont soumis aux cotisations sociales.

Note de frais : quels sont les frais remboursés ?

Il n’existe pas de liste exhaustive des frais qui peuvent être remboursés via une note de frais.

L’administration fiscale indique uniquement que les dépenses professionnelles – pour faire l’objet d’un remboursement – doivent être engagées dans l’intérêt de l’entreprise et pour les besoins de l’activité et être proportionnées ou « raisonnables ».

Toutefois, sachez que généralement les notes de frais portent sur :

  • les frais de bouche (repas d’affaires dans la limite de 5 par mois, repas lors d’un déplacement),
  • les frais de déplacement,
  • les frais d’hôtel en cas de déplacement de plus de 50 km
  • les achats faits dans le cadre du travail (fournitures par exemple).

Quelles informations doivent figurer sur la note de frais ?

Les dépenses professionnelles doivent être détaillées dans une note de frais sur laquelle apparaissent :

  • la date de la dépense,
  • le montant exact,
  • l’identité du collaborateur,
  • en cas de repas d’affaires, doit également apparaître l’identité des convives

Quelle que soit la dépense, pour demander son remboursement et pour la justifier auprès de l’administration fiscale, il vous faudra garder vos justificatifs !

Pensez donc bien à mettre de côté toutes les notes de restaurant, les justificatifs de péage, tickets de stationnement, les notes d’hôtel… Sans ces justificatifs, vous ne pourrez pas établir de note de frais.

les frais remboursés

Note de frais : le cas particulier des frais kilométriques

Les frais kilométriques sont destinés à compenser l’utilisation d’un véhicule personnel dans le cadre professionnel.

Attention, les déplacements domicile / travail ne sont pas être pris en compte dans le calcul des frais kilométriques.

Comment procéder au remboursement des frais kilométriques ?

Avant de demander le remboursement et de déduire ces frais, vous devrez vous assurer que le voyage est justifié dans l’intérêt de l’entreprise et qu’il était motivé uniquement par des raisons professionnelles. En effet, en cas de contrôle, il sera à votre charge de démontrer ces éléments à l’administration fiscale.

  • Les frais kilométriques sont établis selon un barème qui prend en compte aussi bien le carburant que l’usure, l’entretien et l’assurance du véhicule utilisé.
  • Les frais de stationnement, de garage, de péage, par contre ne sont pas pris en compte et doivent faire l’objet d’une note de frais séparée.

Avant de demander le remboursement et de déduire ces frais kilométriques, pour être en règle, il vous faudra émettre une note de frais dans laquelle sera récapitulé tous les éléments de votre voyage.

Cette note de frais doit notamment comprendre :

  • la date du déplacement,
  • le motif du déplacement,
  • le lieu de la mission,
  • et la puissance fiscale du véhicule utilisé (justifiée avec la carte grise).

Cette note de frais est à conserver, elle vous service de justificatif en cas de contrôle.

Enfin, pour déterminer le montant à rembourser et déduire, vous devez vous appuyer sur le barème publié chaque année par l’administration fiscale. Ce barème prend en compte la puissance du véhicule et le nombre de kilomètres parcourus.

remboursement des frais kilométriques

Comment procéder au remboursement des notes de frais ?

Deux solutions s’offrent à vous pour rembourser des frais : le remboursement au réel ou le remboursement au forfait.

Le remboursement de frais professionnels au réel

Comme son nom l’indique, le remboursement au réel vous permet de rembourser au coup par coup les dépenses réellement effectuées par votre salarié à titre professionnel.

Pour obtenir un remboursement, le salarié devra vous fournir les justificatifs de la dépense et la note de frais complétée.

Attention toutefois, certains frais ne peuvent pas être remboursés selon l’engagement réel (Déménagement, télétravail…).

Le remboursement de frais professionnels forfaitaire

Vous pouvez également opter pour le remboursement forfaitaire. Dans ce cas, pas besoin de justifier les dépenses, vous remboursez vos salariés selon un forfait dont le seuil est établi par l’URSSAF.

Le remboursement forfaitaire est aussi exonéré de cotisations sociales s’il reste dans les limites fixées par l’administration.

Au delà, les frais sont soumis aux prélèvements sociaux.

Le remboursement au forfait ne peut pas concerner les chefs d’entreprise affiliés au régime des travailleurs non salariés qui doivent obligatoirement demander le remboursement au réel.

Donc si vous êtes gérant majoritaire d’une SARL, vous serez dans l’obligation d’établir une note de frais et de demander le remboursement de chacun de vos frais.

Note de frais : quel risque en cas d’absence de justificatifs ?

Si vous ne parvenez pas à mettre la main sur vos factures et justificatifs :

  • l’une des options est de vous tourner vers vos fournisseurs et leur en demander une copie,
  • exceptionnellement, vous pouvez tenter une attestation sur l’honneur de la part du client ou du fournisseur concerné

La plupart des dirigeants d’entreprise aimeraient bien se passer de la chasse aux factures disparues au moment des clôtures de bilans!

Vos pièces comptables justificatives manquantes en temps réel

KPI Indicateurs financiers – Pièces manquantes
KPI Indicateurs financiers – Pièces manquantes

Ne subissez plus la liste interminable de pièces manquantes envoyée par votre expert comptable le 31 décembre…

Votre cabinet expert comptable en ligne SBA Compta publie en temps réel un état de vos pièces manquantes ! Vous les déposez en un clic dans votre espace web sécurisé (factures fournisseurs, notes de frais, tickets de parking…) via votre smartphone ou votre PC.

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13 critères pour évaluer la qualité de votre management : où vous situeriez-vous?

criteres leadership manager

Vous souhaitez devenir un bon leader ? Pourquoi ne pas commencer par un auto-diagnostic de votre style de management, afin de voir où vous vous situez.

Votre cabinet de Comptabilité en ligne SBA Compta a traduit pour vous un article de Jeff Haden paru dans le magazine Inc. le 26 octobre dernier, et intitulé Google Evaluates Leadership Skills Using These 13 Questions. How Would You Rank? (And How Would Your Employees Rate You?)

Alors, être un bon leader, c’est quoi ?

C’est une question à laquelle Google a consacré beaucoup de temps et d’efforts.

Il est logique que l’une des plus grandes entreprises analytiques au monde utilise une partie de sa puissance d’analyse pour déterminer comment évaluer la qualité du management.

Au fil du temps, la société a déterminé les comportements-clé de ses meilleurs managers, et a demandé à leurs collaborateurs de répondre de manière anonyme au questionnaire d’évaluation du management ci-dessous, en utilisant une échelle allant de 1 (tout à fait d’accord) à 5 (pas du tout d’accord).

Jetez y un coup d’œil et essayez d’évaluer votre style de management en se basant sur les réponses de vos collaborateurs :

1. Mon manager me donne un feedback utile pour améliorer mes performances

2. Mon manager ne fait pas de micro-gestion (contrôler les moindres détails qui devraient être traités à d’autres niveaux)

3. Mon manager a beaucoup de considération pour moi en tant que personne

4. Les actions de mon manager montrent qu’il / elle valorise l’état d’esprit que j’apporte à l’équipe, même s’il est différent du sien

5. Mon manager garde toute l’équipe concentrée sur les priorités

6. Mon manager partage régulièrement les informations pertinentes de son N+1 et de ses principaux responsables

7. Mon manager a eu une discussion intéressante avec moi sur le développement de ma carrière au cours de ces six derniers mois

8. Mon manager fixe et communique des objectifs clairs pour notre équipe

9. Mon manager possède l’expertise technique (high tech, techniques de vente, expertise comptable…) nécessaire pour encadrer mon travail

10. Je recommanderais mon manager à d’autres collègues

11. Je suis satisfait de la performance globale de mon manager en tant que dirigeant d’équipe

Et enfin 2 questions à compléter par des réponses écrites :

12. Que voudriez-vous que votre manager continue de faire ?

13. Que voudriez-vous que votre manager change ?

Comment utiliser ce questionnaire pour évaluer vos compétences managériales ?

Une chose saute immédiatement aux yeux : seule l’une des 13 questions (la n°9) demande aux employés d’évaluer les compétences techniques spécifiques de leurs managers.

Toutes les autres questions d’évaluation de compétences managériales sont orientées sur les qualités personnelles (“soft skills”) telles que : la communication, le feedback, le coaching, le travail d’équipe, le respect et la considération.

L’évaluation porte donc principalement sur la manière dont les managers s’acquittent de leur travail, et non sur leur savoir.

Ce qui signifie que les meilleurs managers apportent une valeur ajoutée en aidant leurs équipes à réussir. En effet, leur succès provient du succès de l’équipe et de chacun de ses membres.

Bien entendu, on pourrait argumenter que le fait de posséder de super compétences techniques n’est pas une priorité pour les managers de Google, car il est plus facile pour cette entreprise-là de recruter et de fidéliser des personnes extrêmement compétentes que pour d’autres entreprises.

Mais cet argument ne tient pas, car en réalité, bien qu’au début la plupart des employés ont besoin de compétences techniques, très rapidement c’est la manière dont ils utilisent leurs connaissances et leurs compétences qui compte, et non sur ce qu’ils savent et peuvent faire.

Par exemple, si l’on considère la question n°2 : Mon manager fait-il de la micro-gestion? Il y a des manières d’optimiser chaque tâches dans chaque domaine, donc les meilleurs leaders cherchent à implémenter et renforcer les process et les procédures de travail.

Pour les collaborateurs toutefois, l’engagement et la satisfaction reposent principalement sur l’autonomie et l’indépendance. On est plus impliqué quand on sent qu’on a des responsabilités et un certain pouvoir non seulement de faire ce qu’on nous dit, mais de faire ce qui est juste.

Donc ils effectuent l’évaluation de leurs managers en fonction de leurs capacités à établir des normes et des directives, puis à donner à leurs employés la marge de manœuvre et l’autonomie nécessaires pour travailler de la manière qui leur convient le mieux, dans le respect de ces directives.

Les bons leaders permettent aussi à leurs employés de transformer « je dois faire » en « j’ai envie de faire », car cela transforme le travail en quelque chose qui a beaucoup plus de sens : une expression explicite des compétences, des talents et des expériences uniques de chaque personne.

C’est ce qui aide à construire une grande équipe !

Les dirigeants d’entreprises ne manquent pas de défis à surmonter ! Nous espérons que cet article vous donnera de l’inspiration pour réussir votre gestion d’équipe ! 

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Impôt sur les sociétés (IS) ou impôt sur le revenu (IR) : choisissez le bon régime fiscal

IS ou IR :Différence entre impôt sur le revenu et impôt sur les sociétés

En France, une société a le choix entre deux régimes d’imposition :

  • le régime des sociétés de capitaux,
  • le régime des sociétés des personnes.

Avec le premier, le bénéfice réalisé par l’entreprise est soumis à l’impôt sur les sociétés et avec le second, ce sont les associés individuellement qui voient la quote-part du bénéfice qui leur revient soumise à l’impôt sur le revenu.

Parfois, l’entrepreneur a le choix, parfois pas. Le choix entre les deux formes d’imposition sur les bénéfices dépend avant tout de votre statut juridique.

Alors quelle est la différence entre impôt sur les sociétés (IS) ou impôt sur le revenu (IR) ? Et quel est le bon choix pour votre projet ?

Chez SBA Compta, cabinet  de comptabilité en ligne, on aimerait que vous puissiez choisir votre mode d’imposition en comprenant bien les différences entre les deux.

Alors on vous explique tout !

Distinguer les deux modes d’imposition en infographie

Lorsqu’il crée son entreprise, l’entrepreneur a le choix, au niveau de la déclaration de création de l’entreprise, entre deux régimes d’imposition : l’IS et l’IR.

Ce choix n’est cependant pas toujours possible, car certains statuts juridiques ne le permettent pas.

Voici 2 infographies qui synthétisent l’ensemble des différences entre les 2 modes d’imposition, vos options et les particularités de chaque régime fiscal.

INFOGRAPHIE 1. Quel impôt pour quel statut juridique ?

Quel taux d'imposition choisir IR ou IS ?

Dans le cas où vous optez pour la première option (IS), les impôts seront prélevés directement sur les bénéfices de l’entreprise.

Par contre, en ce qui concerne l’IR, les impôts seront prélevés sur les rémunérations et sur les dividendes de l’entrepreneur (et éventuellement de ses associés).  

INFOGRAPHIE 2. Tableau comparatif entre l’IR et l’IS

Tableau comparatif sci IR et IS

1. L’impôt sur les sociétés (IS)

1.1. Quelles entreprises y sont soumises?

Lorsque le choix est porté sur le régime de l’impôt sur les sociétés, l’imposition est appliquée aux résultats de l’entreprise.

Les EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée), SARL (Société à Responsabilité Limitée), SAS (Société par Actions Simplifiées), SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle), SA (Société Anonyme) et SCA (Société en Commandite par Actions) sont par défaut soumis à ce mode d’imposition.

Cependant, les EURL, EIRL (Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée), SNC (Société en Nom Collectif) et autres SCI (Sociétés Civiles Immobilières) peuvent en bénéficier de façon optionnelle.

1.2 Calcul de l’Impôt sur les Sociétés

Une PME dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas 7,63 millions d’euros (hors taxes) sur la période d’imposition, dont le capital a été entièrement reversé et qui est détenue à hauteur d’au moins 75% par des personnes physiques, peut prétendre à un taux réduit.

Dans ce cas, le taux de l’IS est de 15% sur les premiers 38 120 € de bénéfices.

Au-delà, le taux normal de l’IS s’applique et le calcul est fait selon la formule suivante :

Calcul de l’Impôt sur les Sociétés

(Bénéfice imposable – 38 120) x Taux normal de l’IS

En intégrant le taux normal de l’IS pour les tranches du bénéfice supérieures à 38 120 €, le barème à appliquer est donc le suivant:

Tranches du bénéfice imposable Taux d’imposition 
Jusqu’à 38 120 € 15%
De 38 120 € jusqu’à 500 000 € 28% (pour les exercices ouverts à compter
du 1er janvier 2018)
Au-delà de 500 000 € Taux normal

Le taux normal va être abaissé progressivement entre 2018 et 2022.

Après multiplication par le taux d’imposition correspondant, les réductions et crédits d’impôts dont bénéficie l’entreprise, ainsi que les acomptes dont elle s’est acquittée, doivent être déduits du résultat.

Acomptes, échéances de paiement et excédents

Des acomptes sont à payer lorsque l’impôt de référence (celui avant imputation des réductions, crédits d’impôts et acomptes payés) dépasse 3000 €.

Ces acomptes sont dus selon l’échéancier suivant :

  • 15 mars,
  • 15 juin,
  • 15 septembre
  • 15 décembre.

Si l’entreprise a payé des acomptes d’IS, elle peut se faire rembourser l’excédent et/ou se le faire imputer sur les échéances fiscales futures, dans 3 cas :

  • Si elle accuse une perte fiscale pour l’exercice comptable considéré,
  • Si elle dégage un bénéfice fiscale inférieur aux acomptes payés,
  • Si elle bénéficie d’un crédit d’impôt supérieur à l’IS qu’elle doit.

L’IS doit être réglé au plus tard le 15 mai de l’année N+1 pour les entreprises qui clôturent leur exercice comptable le 31 décembre (lorsqu’elles déposent leur déclaration de résultat), et le quinzième jour du quatrième mois suivant la clôture de l’exercice pour les autres.

En cas de retard de paiement, l’entreprise devra s’acquitter d’intérêts de retard et accusera une majoration calculée sur le montant des sommes dont le paiement aura été différé.

2. L’impôt sur le revenu (IR)

2.2. Quelles entreprises en bénéficient ?

Les Entreprises Individuelles, les EIRL, les EURL, les SNC et les SCI (sociétés civiles immobilières) sont soumises, par défaut (et sauf exceptions) à l’IR.

Les SARL, les SAS et les SA peuvent être soumises à l’IR de façon optionnelle, sans toutefois que la durée de souscription ne dépasse cinq exercices comptables (à noter que cette limitation ne s’applique pas aux SARL de famille).

Avec ce régime d’imposition, les impôts sont prélevés sur les rémunérations personnelles de l’entrepreneur (et de ses associés, le cas échéant). L’entreprise par contre ne subit aucune imposition.

Les bénéfices perçus à travers l’entreprise sont alors imposés selon la catégorie à laquelle appartient l’activité exercée (BIC, BNC ou bénéfices agricoles).

Le choix de ce type d’imposition permet de bénéficier de certaines simplifications déclaratives et comptables, comme le régime des micro-BIC, micro-BNC ou de l’auto-entrepreneur.

2.3. Calcul de l’Impôt sur le Revenu

Le taux d’imposition applicable suit le barème progressif de l’IRPP : il comprend plusieurs taux, chacun correspondant à une tranche, dont la valeur augmente avec l’importance des revenus :

Fraction de revenu net imposable  Taux d’imposition 
Jusqu’à 9 807 € 0%
De 9 807 € jusqu’à 27 086 € 14%
De 27 086 € jusqu’à 72 617 € 30%
De 72 617 € jusqu’à 153 783 € 41%
Au-delà de 153 783 € 45%

La détermination de l’impôt brut se fait en trois étapes :

  1. Division du revenu net imposable par le nombre de parts ; le nombre de parts dépend de la situation civile et familiale, notamment du nombre de personnes à charge,
  2. Application du barème (selon tableau ci-dessus),
  3. Multiplication de l’impôt par le nombre de parts.

Calcul de l'IR : Calcul de l’Impôt sur le Revenu

3. IS ou IR, que choisir ?

Le choix entre les deux régimes d’imposition se fait essentiellement sur la base des prévisions financières de l’entreprise.

En fonction de celles-ci, il est possible d’optimiser la fiscalité d’une entreprise et des associés qui l’ont créé. Il est donc plus prudent de se faire conseiller par un professionnel de l’expertise comptable lors du processus de création, afin de démarrer votre projet sur de bonnes bases.

3.1. Les principales questions qu’il faut se poser

  • Quelle est la stratégie financière de l’entreprise ? Quelle est l’importance du bénéfice prévu ? Comptez-vous réinvestir une part des bénéfices ?
  • Comment sont rémunérés les fondateurs ? Comptez-vous redistribuer des dividendes ? Quand et à quelle fréquence comptez-vous le faire ?
  • Quelle est la situation fiscale des fondateurs ? Ont-ils d’autres sources de revenus ? Plus particulièrement, quelles sont les autres revenus des membres de leur foyer respectif ?
    Et, en prenant en considération les prévisions financières réalisées, leur serait-il fiscalement plus intéressant d’être soumis à l’IR ou à l’IS ?

Bien évidemment, les associés doivent se mettre d’accord sur le choix du régime, d’autant que le calcul des cotisations sociales en dépendra également. En effet, ces dernières sont calculées sur le montant du bénéfice pour l’IR et sur le montant des rémunérations et des dividendes pour l’IS .

La perspective de pouvoir bénéficier de certains avantages fiscaux doit réellement peser dans la décision de souscrire à tel ou tel régime.

3.2. Choix de l’Impôt sur le Revenu

  • Par exemple, une Jeune Entreprise Innovante aura intérêt à opter pour l’IR plutôt que pour l’IS, afin que l’entrepreneur et ses éventuels associés puissent directement bénéficier de l’exonération d’impôt.
  • Soumis au régime de l’IR, que l’entrepreneur décide de distribuer ou pas les bénéfices engendrés, ils seront obligatoirement taxés selon le barème progressif de l’IRPP.

3.3. Choix de l’Impôt sur les Sociétés

  • Les bénéfices réinvestis sont taxés en totalité dans le régime de l’IR mais seuls les bénéfices nets (c’est-à-dire après IS) sont soumis à d’autres taxations dans le régime de l’IS.
  • Attention : les bénéfices distribués sont doublement taxés dans le cas de l’IS (ils sont imposés à l’IRPP après avoir été imposés à l’IS au niveau de l’entreprise, c’est ce qu’on appelle la double imposition qui se produit lorsque des dividendes sont versés aux associés), la rémunération du dirigeant étant déductible dans ce cas de figure mais pas dans le régime de l’IR.
  • Dans le cas de l’Impôt sur les Sociétés, une fois que l’entreprise a été imposée selon l’IS, si elle décide de ne pas distribuer ses bénéfices, ceux-ci ne seront pas ré-imposés selon l’IR ou d’autres impôts.
  • Il est donc préférable d’opter pour l’IS dans le cadre d’une activité où il est important de réinvestir tout ou partie des bénéfices dégagés.

Ainsi, chaque entreprise et chaque projet a ses propres spécificités qu’il est utile de prendre en considération pour choisir, lorsque c’est possible, le régime fiscal le mieux adapté à votre activité et à votre situation personnelle.

De plus, chaque système a ses propres spécificités et il est préférable de solliciter l’aide d’un bon expert comptable avant de choisir le régime qui vous convient le mieux.

Enfin, le taux d’impôt sur les sociétés, suite à l’article 41 de la loi de finances de 2018, devrait progressivement passer de 33,1/3% en 2017 à 25% en 2022, de quoi rendre le régime de l’IS plus attractif, sachant toutefois que le taux réduit pour les PME qui y sont éligibles sera maintenu à 15% pour la première tranche de bénéfices jusqu’à 38 120 €.

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