Le mini guide de la société civile immobilière (SCI)

Bien comprendre la société civile immobilière et ses avantages.

La société civile immobilière (SCI) est une structure juridique particulièrement utile pour gérer et optimiser votre patrimoine immobilier professionnel comme privé. 

En effet, elle permet une grande souplesse ce qui la rend adaptée à de nombreuses situations. Créer une société civile immobilière peut vous permettre de protéger votre patrimoine immobilier, d’en faciliter la transmission future, d’optimiser votre fiscalité, de préparer la cession de votre entreprise, de générer des revenus fonciers complémentaires – notamment en préparation de la retraite… 

Constituer et gérer un patrimoine à plusieurs peut très vite devenir fastidieux. Créer une société civile immobilière (SCI) est une alternative qui vous apporte de la flexibilité et vous permet de bénéficier d’une fiscalité avantageuse, notamment dans le cadre d’une succession. 

  • Qu’est ce qu’une société civile immobilière ? 
  • Quels sont les différents types d’une SCI ?
  • Quelles différences entre une SCI et une indivision ?
  • Quels sont les avantages et inconvénients de la SCI ?
  • Quel régime d’imposition choisir pour votre SCI ?
  • Comment fonctionne une SCI ?
  • Comment constituer une SCI ? 
  • Comment dissoudre une SCI ? 

SBA Compta vous répond !

La SCI : qu’est-ce que c’est ?

La société civile immobilière (SCI) est une société civile qui regroupe au minimum deux associés et dont l’objet est la gestion d’un patrimoine immobilier.

Les règles de fonctionnement de la SCI sont régies par les articles 1832 et suivants du Code civil ainsi que par les articles 1845 et suivants qui établissent des règles générales applicables aux sociétés, et plus précisément aux sociétés civiles.

Comme toute société, la SCI requiert l’établissement de statuts qui déterminent :

  • l’objet social de la société – c’est-à-dire son activité –,
  • l’identité de chaque associé (au minimum deux), le montant de leurs apports et les contreparties accordées – notamment le nombre de parts sociales –,
  • la raison sociale de la SCI, 
  • le siège social, 
  • le capital social (aucun montant minimum), 
  • la durée de vie de la SCI (au maximum 99 ans), 
  • et les modalités de son fonctionnement.

Les statuts de votre SCI doivent respecter un formalisme strict et être parfaitement adaptés à votre situation, aux enjeux auxquels vous faites face et à votre projet futur. 

Par exemple, si vous envisagez d’acquérir des locaux professionnels, la SCI peut être un excellent outil pour héberger votre patrimoine immobilier et le mettre à disposition de votre entreprise par le biais d’une location. Ainsi, en cas de difficultés futures dans votre activité et dans l’éventualité d’une procédure collective, votre immobilier professionnel peut être préservé. 

C’est pourquoi, votre expert-comptable digital SBA Compta vous conseille toujours un montage sur-mesure afin de sécuriser votre patrimoine professionnel et privé. 

Quels sont les différents types de SCI ?

Rappelons que la SCI est une forme de société destinée à la gestion de biens immobiliers. On en distingue plusieurs types, adaptés à des enjeux différents. 

La SCI de location

Constituée par deux personnes a minima, la société civile de location permet aux associés de gérer un ou plusieurs biens immobiliers et de les louer. Dans ce cas de figure, la SCI est propriétaire des biens et chacun des associés détient des parts en fonction de ses apports au capital. 

  • Le bien à louer peut être nu ou meublé – notons que la location meublée via une SCI mérite une attention et une analyse particulières –, à usage professionnel ou d’habitation.
  • La location peut avoir un caractère permanent ou saisonnier.
  • Les bénéfices de la société seront divisés entre les associés le cas échéant en fonction de leur nombre de parts. En cas de dettes, les associés engagent leur patrimoine personnel en fonction de la part du capital social qu’ils détiennent. 

SCI familiale

La SCI familiale est une SCI constituée par les membres d’une même famille jusqu’au 4e  degré : enfant, parent, petit-enfant, frère/soeur, arrière-grand-parent, oncle/tante, neveu/nièce, etc.

Assez répandue, ce type de SCI permet aux membres d’une même famille de gérer ensemble un ou plusieurs biens immobiliers. Là encore, la société est propriétaire du bien et chacun des membres de la famille reçoit des parts sociales de la SCI en fonction de ses apports.

Les SCI familiales peuvent avoir un ou plusieurs gérants. Néanmoins, les grandes décisions sont généralement votées en assemblée, en fonction de la majorité définie par les statuts.

Il faut noter qu’une SCI perd son caractère familial dès l’entrée dans la SCI d’un associé qui n’a pas de lien de parenté avec les autres associés.

SCI d’attribution (SCIA)

On parle de SCI d’attribution pour désigner une société civile immobilière qui a pour objet la construction ou l’achat de biens immobiliers dont la division est prévue par les statuts en fonction des parts de chaque associé. 

Le bien immobilier en question peut être divisé par fractions attribuées :

  • en nue-propriété, 
  • en jouissance, 
  • ou en pleine propriété à chaque associé.

L’objet social de ce type de SCI est extrêmement spécifique. Il comprend généralement : l’achat ou la construction d’un immeuble, l’entretien de ce dernier, et le fractionnement des parts entre les associés. Une fois l’objet social réalisé, la SCIA est dissoute.

Société civile de construction-vente (SCCV)

La SCI de construction-vente se distingue du reste des catégories de SCI en ce qu’elle est la seule qui permet la construction ou l’achat d’un bien immobilier dans le but de le revendre et de réaliser un bénéfice

Les associés sont rémunérés à proportion de leur quote-part dans le capital social de la société.

Ce type de SCI, à l’instar de la SCI d’attribution, est généralement dissoute lorsque l’objet social est réalisé, c’est-à-dire une fois que le bien acquis en commun est revendu.

SCI de jouissance à temps partagé

La SCI de jouissance à temps partagé est basée sur l’idée de « time share ». Elle permet à ses associés de partager l’usage d’un bien immobilier. 

En d’autres termes, chaque associé a droit à une période d’occupation du bien dont la SCI est propriétaire. Cette période est calculée en fonction du nombre de parts qu’il possède.

Ce type de SCI permet, par exemple, d’acheter une résidence secondaire à plusieurs. 

Société civile immobilière et régime de l’indivision : quelles différences ?

Être propriétaire d’un bien immobilier à plusieurs se fait souvent par le biais du régime de l’indivision, qui s’applique par défaut dans le cadre d’une succession par exemple. La création d’une SCI permet de s’y soustraire de manière simple. 

L’indivision est une solution très simple à mettre en œuvre  pour acheter un bien à plusieurs : elle ne nécessite aucune démarche ou formalité particulière. Ce régime est celui qui s’applique par défaut dans le cadre d’une succession par exemple.

Dans ce cadre, chaque indivisaire est propriétaire du bien à hauteur de sa contribution financière lors de l’achat et a des droits sur la totalité du bien. Les décisions les plus importantes doivent donc être prises à l’unanimité.

Par ailleurs, chaque indivisaire est tenu de contribuer aux dettes de l’indivision – travaux sur le logement par exemple – à proportion de sa quote-part.

Enfin le régime de l’indivision est provisoire. Si l’un des indivisaires décide de mettre en vente sa quote-part, les autres, qui ne peuvent s’y opposer, disposent d’un droit de préemption sur la quote-part cédée. Si cette quote-part n’est pas rachetée – par un autre indivisaire ou par un tiers – le bien doit être vendu.

Le régime de l’indivision comporte donc de nombreux risques, particulièrement en cas de conflit entre indivisaires. Ces inconvénients peuvent être limités par le biais d’une convention d’indivision. Toutefois, ce type de convention doit respecter un formalisme strict et ne permet d’envisager la gestion d’un bien immobilier que pour une durée déterminée – 5 ans au maximum.

La constitution d’une SCI permet également de se soustraire au régime de l’indivision et de sécuriser la gestion de votre patrimoine immobilier.

Quels sont les avantages et inconvénients de la SCI ?

Le statut juridique de la SCI présente des avantages certains, mais également quelques contraintes à anticiper avant de constituer une société sous cette forme sociale.

Avantages d’une SCI Inconvénients d’une SCI
  • Protection du patrimoine immobilier.
  • Transmission simplifiée du patrimoine immobilier.
  • Possibilités d’optimisation du régime fiscal.
  • Formalisme administratif et coûts liés à la constitution. 
  • Responsabilité indéfinie des associés qui exposent leur patrimoine personnel pour contribuer aux dettes et au passif social. Cette responsabilité n’est toutefois pas solidaire.
  • Obligations liées au fonctionnement de la société : assemblées, comptabilité pour les SCI à l’IS, etc. 

Votre expert-comptable SBA Compta vous conseille pour choisir le montage le mieux adapté à votre projet et votre situation professionnelle comme personnelle. 

Le mini guide de la société civile immobilière (SCI)

Quel régime d’imposition pour quelle fiscalité ?

La SCI permet une réelle flexibilité quant à la détermination du régime fiscal. Si elle relève en principe du régime d’imposition des sociétés de personnes (IR), les associés ont la possibilité d’opter pour l’impôt sur les sociétés (IS).

SCI à l’IR

Par défaut, le régime fiscal de la SCI est celui de l’impôt sur le revenu. La SCI est dite « transparente » fiscalement, c’est-à-dire que les associés sont imposés personnellement dans la catégorie de revenus de capitaux mobiliers, sur la quote-part de résultat qui lui revient. Les revenus fonciers sont également soumis aux prélèvements sociaux – CSG, CRDS, etc. – pour un taux global de 17,2 %.

En l’absence de bénéfices, le déficit foncier peut être imputé sur les revenus fonciers des dix années suivantes. Il peut également être imputé sur le revenu global de l’associé dans la limite annuelle de 10 700 €. Ce mécanisme peut être un levier intéressant d’optimisation fiscale. 

Les plus-values liées à la cession de biens immobiliers sont imposées selon les règles des plus-values des particuliers. Les associés sont concernés sur la quote-part qui leur revient. 

Rappelons que les plus-values immobilières sont soumises à l’IR au taux de 19 % ainsi qu’aux prélèvements sociaux au taux de 17,2 %. 

La plus-value immobilière est diminuée par un abattement en fonction de la durée de détention du bien. Au titre de l’impôt sur le revenu, un abattement progressif s’applique à compter de la 6e année de détention. Au-delà de 22 ans de détention, la plus-value est totalement exonérée.

En matière de prélèvements sociaux, un abattement progressif s’applique à compter de la 6e année de détention. Au-delà de 30 ans de détention, la plus-value est totalement exonérée.

De plus, une taxe supplémentaire s’applique en cas de plus-value imposable supérieure à 50 000 euros.

Pour les associés personnes morales, le régime des plus-values professionnelles s’applique.

Enfin, dans les cas des SCI à l’IR, la société peut déduire certaines dépenses par une gestion des frais professionnels. On peut également citer les taxes foncières et les dépenses liées aux travaux parmi ces dépenses.

SCI à l’IS

Les associés ont la possibilité d’opter pour l’impôt sur les sociétés. Dans ce cas, ils font peser la fiscalité des bénéfices et des plus-values directement sur la SCI. À titre personnel, les associés ne sont donc imposés que sur les dividendes qu’ils décideraient de s’octroyer.

Les éventuels déficits peuvent être reportés sur les bénéfices réalisés au cours des 10 prochaines années par la société.

Les éventuelles plus-values sur les cessions de biens immobiliers sont imposées selon les règles des plus-values professionnelles. Elles ne bénéficient d’aucun abattement pour durée de détention.  

Les SCI à l’IS peuvent déduire de leur résultat les frais d’acquisition de leur bien, les frais de gestion, la taxe foncière, mais également la rémunération du gérant associé et les amortissements. 

Enfin, rappelons que les SCI à l’IS ont l’obligation de tenir une comptabilité d’engagement et de déposer leurs comptes au greffe du Tribunal de commerce à la clôture de leur exercice. 

Comment fonctionne une SCI ?

Le fonctionnement d’une SCI doit répondre à plusieurs règles et respecter un certain formalisme :

  • Les associés doivent obligatoirement désigner un gérant qui peut être, ou non, un associé de votre société civile immobilière.
  • Le gérant est désigné soit dans les statuts soit dans un procès-verbal de nomination de la gérance. Les statuts définissent l’étendue des pouvoirs de ce gérant.

  • Le gérant cesse ses fonctions par expiration de son mandat, révocation à la majorité en assemblée, démission ou décès.
  • Les décisions les plus importantes (modification de certaines clauses des statuts, dissolution…) doivent être prises en assemblée générale extraordinaire des associés convoquée sur décision du gérant ou sur demande d’un des associés.
  • Au terme de chaque exercice social, le gérant convoque une assemblée générale ordinaire au cours de laquelle il présente aux associés les comptes annuels pour approbation. À la suite de cette assemblée, un procès-verbal sera établi.
  • Dans le cas d’une SCI qui ne peut honorer une dette, ce sont les associés qui sont responsables du remboursement, à proportion de leurs parts sociales.

Comment créer une SCI ?

Pour constituer une société civile immobilière, vous devez :

Comment mettre fin à la SCI ?

Plusieurs motifs peuvent être à l’origine de la dissolution d’une société civile immobilière comme une mésentente entre associés, le décès du gérant, une liquidation judiciaire, l’expiration de la durée de vie de la SCI…

Afin de mettre fin à une SCI, il convient de respecter un certain nombre d’étapes permettant d’officialiser la dissolution puis la liquidation de la société :

  • Organiser une assemblée générale extraordinaire. Une convocation doit être adressée à la demande d’un des associés par le gérant. Lors de l’assemblée générale, les associés votent en faveur – ou non – de la dissolution de la SCI.
  • Nommer un liquidateur. Un liquidateur doit être nommé à l’unanimité par les associés pour procéder à la liquidation de la société. En cas de désaccord, un liquidateur est désigné par le tribunal compétent.
  • Rédiger le procès-verbal de dissolution de la SCI. Cet acte permet au liquidateur de faire enregistrer la dissolution de la SCI auprès du service des impôts et du greffe du tribunal de commerce.
  • Publier l’avis de dissolution de la SCI. Un avis de dissolution doit être publié dans un journal d’annonces légales (JAL), ainsi qu’auprès du BODACC (Bulletin Officiel des Annonces Civiles et Commerciales).
  • Radiation de la SCI. Une fois ces étapes accomplies, le liquidateur procède à la radiation de la SCI auprès du Registre du Commerce et des Sociétés (RCS). Un dossier de radiation devra être adressé au Centre de Formalités des Entreprises (CFE) ou auprès du greffe du Tribunal de commerce dans un délai de 30 jours, avec les éléments suivants :
  • Le formulaire M4 dûment complété et signé
  • Une attestation de parution dans un journal d’annonces légales
  • Un acte de clôture des opérations de liquidation
  • Un exemplaire des comptes de clôture.
  • Une fois la radiation de la SCI actée, la personnalité juridique de la société n’existe plus.

Dissoudre et liquider une SCI sont des actes juridiques qui nécessitent une bonne connaissance de la réglementation en vigueur et un strict respect des procédures. Nous vous conseillons de vous appuyer sur votre expert-comptable SBA Compta afin de sécuriser la gestion de votre patrimoine immobilier. 

Pour finir…

Vous voulez en savoir davantage sur la gestion de vos biens immobiliers et l’optimisation de votre patrimoine ? 

Contactez-nous

Vous projetez de créer une SCI ? Nos Business Coachs analysent votre situation et identifient avec vous les options de montage les mieux adaptées. 

Obtenez gratuitement votre devis personnalisé immédiat !

Graffigny met des mots sur vos projets

Violaine Ricard - Graffigny

Violaine Ricard a créé Graffigny pour accompagner les entreprises comme les particuliers dans l’expression de leurs projets et de leur vision. 

La promesse est simple : « Mettre des mots sur vos idées ». Pour autant, c’est une expertise plutôt rare ! Rédaction, conseil en communication, formation à l’expression… ces services sont servis avec un incroyable goût du verbe et un rare sens de la formule.

À l’ère du storytelling et du contenu de marque, choisir les mots justes et s’exprimer avec précision sont des enjeux déterminants pour toutes les entreprises. 

À leurs côtés, Graffigny s’engage chaque jour avec passion pour rendre la pensée toujours plus intelligible. 

SBA Compta s’offre – et vous offre ! – le plaisir d’un entretien empreint de justesse et de poésie avec Violaine Ricard, dirigeante et fondatrice de Graffigny

Graffigny

SBA Compta : Pouvez-vous vous présenter et partager brièvement votre parcours ?

Violaine Ricard : Oui ! J’ai étudié longtemps la philosophie, entre Bruxelles, la Suisse, Rome et Paris, tout en me familiarisant avec la vie publique grâce à des stages. Sans surprise, mon premier mémoire a porté sur le Politiquement Correct – c’est dire si j’étais déjà passionnée par la puissance des discours et de la rhétorique, que je continue d’enseigner à la fac. Ma passion, c’est aussi l’art sous toutes ses formes et, bien sûr, ma famille. 

SBA Compta : Quel est votre cœur de métier ? 

Violaine Ricard : C’est de mettre en mots des projets, des idées et de trouver la phrase qui fait mouche et illustre toute la singularité d’une personnalité. En fait, tout ce qui est important, et qu’on n’a pas toujours le temps de mettre au clair. Ce que j’aime particulièrement, c’est aider les petites entreprises qui cherchent le bon angle pour présenter leur produit phare, réécrire leur site ou publier dans la presse pour faire reconnaître leur métier. C’est comme ça que j’ai l’impression d’être utile, et j’aime vraiment ça ! 

SBA Compta : À quoi ressemble votre quotidien d’entrepreneuse ?

Violaine Ricard : Il ressemble à des litres de café ! Concrètement, j’enquête, je rédige des brouillons jusqu’à trouver le ton juste et le bon mot pour chaque projet. Les personnalités publiques que j’accompagne m’appellent quand elles cherchent un angle pour s’exprimer dans les médias ou devant un auditoire. En fait, chaque jour est différent des autres, mais toujours très bien rempli – et passionnant, puisque dans une même journée, je peux : mettre en forme une campagne de communication pour une maison de parfum, écrire des lettres de candidature pour un architecte, travailler sur l’ouvrage d’une entreprise qui fête ses dix ans, rédiger une tribune pour un élu… Heureusement, je ne suis pas seule ! 

SBA Compta : Quels sont vos plus grands défis d’entrepreneuse au quotidien ? 

Violaine Ricard : Je pense que mon plus grand défi, c’est, comme beaucoup d’entrepreneurs… l’agenda ! Il faut tous les jours trouver l’équilibre entre les missions, les déplacements, la famille et la lecture – parce que c’est ma conviction, pour bien écrire, il faut beaucoup lire ! 

SBA Compta : Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ? Quels sont vos projets de développement ?

Violaine Ricard : J’espère continuer à rencontrer des personnes inspirantes et passionnantes, et, avec l’équipe – Violaine (notre stagiaire que j’ai embauchée, oui jolie coïncidence, on s’appelle pareil !), Irène, Emerentienne, Herveline et Marie-Charlotte, aider toujours plus d’entreprises à trouver les mots et les images de leur ambition. Avec elles, j’espère faire grandir la partie « formation » de notre offre pour donner toujours plus de sens en entreprise, comme dans les associations et les collectivités. 

SBA Compta : Qu’est-ce que SBA Compta vous a apporté ? Comment décririez-vous notre relation de conseil ?

Violaine Ricard : Patricia va me gronder mais SBA Compta, pour moi, ça a été un peu comme Samantha dans la série Ma Sorcière Bien-Aimée! A chaque fois que j’ai eu une question sur les statuts, les comptes mais aussi la domiciliation de mon entreprise ou les recrutements, j’ai pu compter sur une équipe hyper réactive, qui faisait disparaître en un tour de main tous les obstacles qui me paraissaient d’abord insurmontables. Inutile donc de vous confirmer que la relation de conseil est TOP – et d’ailleurs, j’ai envoyé ma propre sœur chez SBA

SBA Compta : Comment conciliez-vous travail et vie privée ?

Violaine Ricard : Grâce à une organisation assez bien huilée, où j’évite simplement de prendre des rendez-vous entre 18h et 20h pour pouvoir profiter un peu de mes enfants ! Je travaillais avant en cabinet, et je souffrais de ne pouvoir organiser mon temps comme je l’entendais. Je pense vraiment que l’entrepreneuriat offre des possibilités pour conjuguer les deux. Mais oui, je travaille beaucoup, et mes journées commencent tôt ! 

SBA Compta : Votre conseil aux futurs entrepreneurs ?

Violaine Ricard : Lancez-vous ! C’est tellement épanouissant de faire ce que l’on aime et d’en vivre ! Cette liberté, je ne la soupçonnais pas avant d’avoir lancé Graffigny, et maintenant, je sais que j’aurais du mal à retourner au salariat. Et surtout, mon deuxième conseil c’est : entourez-vous, demandez conseil autour de vous et prenez des cafés avec d’autres entrepreneurs : c’est hyper important de ne pas s’isoler. 

SBA Compta : Pouvez-vous nous raconter une anecdote, un accomplissement récent, une fierté ?

Violaine Ricard : J’ai une anecdote que je raconte beaucoup en ce moment aux femmes qui entreprennent. Je me souviens qu’à la sortie d’un entretien, la personne qui m’avait reçue m’a demandé « sinon, ça va aller avec le travail et deux enfants ? » je lui ai répondu « vous auriez demandé la même chose à un homme – non, bien sûr ! » Ce n’est pas pour jeter de l’huile sur le feu que je vous raconte cela, mais simplement vous dire que mon mari est le meilleur père qui soit, et après une décennie à étudier discours et grands textes, je suis très heureuse de me mettre au service de belles idées. 

SBA Compta : Un livre favori que chaque entrepreneur devrait avoir dans sa bibliothèque ?

Violaine Ricard : UN SEUL ! Mais c’est une torture ! Alors, pour surmonter les rendez-vous décevants ou simplement sourire, je vous recommande Croquis de Mémoire de Jean Cau. C’est un petit ouvrage dans lequel l’ancien secrétaire d’un philosophe de renom s’amuse à relever les petits défauts des personnalités qu’il a fréquentées, dans un style inimitable ! Promis, ça rassure sur les petites contrariétés que l’on rencontre au quotidien… (ed. Le Petit vermillon, 2018) 

>> Consulter le site de Graffigny

Le business case : un outil d’aide à la décision

Evaluez la pertinence de votre projet avec un business case

Vous êtes porteur d’une idée de projet et vous souhaitez convaincre les parties prenantes de la pertinence de ce projet, de son potentiel et de ses bénéfices pour l’entreprise ? Vous pouvez dès lors vous lancer dans l’élaboration d’un business case, et ce, dès la phase de l’avant-projet.

Qu’est-ce qu’un business case ?

Un business case (ou étude d’opportunité en français) est une étude réalisée en amont d’un projet pour :

  • démontrer sa pertinence,
  • évaluer sa rentabilité
  • et justifier sa réalisation.

Il vise à convaincre les principaux décideurs du bien-fondé d’un projet en décrivant :

  • le pourquoi,
  • le quoi,
  • le comment
  • et le qui.

Quelle forme prend un business case ?

Les business cases peuvent être réalisés sur plusieurs supports, numériques comme physiques.

Un business case peut être rédigé sous plusieurs formats :

  • PDF,
  • Diaporama,
  • e-mail
  • ou écrit à la main sur un tableau blanc.

Un business case doit être aussi court que possible et ne comporter que les informations les plus importantes pour la compréhension de votre projet.

De cette façon, il évite le superflu et ne fournit aux décideurs que les informations qui leur permettent de prendre les décisions les plus judicieuses.temc

Que doit comporter un business case?

Il n’existe pas de modèle type de business case. Chaque entreprise possède ses propres pratiques.

SBA Compta vous propose un plan de business case structuré en 7 parties.

1. L’executive summary (le résumé du projet)

Cette section explique, sous une forme condensée et dans un langage clair, la raison d’être du projet :

  • le problème que le projet proposé vise à résoudre,
  • les solutions possibles,
  • le résultat souhaité,
  • les ressources nécessaires pour atteindre le résultat souhaité,
  • et le retour sur investissement (ROI) prévu.

2. L’énoncé du problème

Cette section répond à la question “quoi” et identifie clairement le problème à résoudre.

C’est l’occasion de :

  • mettre en évidence l’opportunité à saisir,
  • et de donner plus de contexte sur la problématique à laquelle vous envisagez de répondre à travers la réalisation de votre projet.

3. L’analyse de la situation

Cette section répond à la question “pourquoi”. Elle fournit davantage de contexte, expliquant comment le problème est apparu et quelles seraient les répercussions si aucune mesure n’était prise.

Exemple
Une nouvelle contrainte réglementaire, un besoin de se démarquer de la concurrence ou encore les recommandations suite à un audit interne ou externe, etc. sont autant de raisons contraignantes vous obligeant à trouver des solutions.

Pour ce faire, vous pouvez utiliser le diagramme d’Ishikawa : appelée aussi méthode des 5M pour identifier les racines du problème ou de la situation problématique.

Le diagramme d’Ishikawa

4. Les pistes de solutions

Dans cette partie, l’auteur :

  • liste les solutions potentielles au problème,
  • présente la solution retenue
  • explique les critères de choix (économiques, stratégiques, organisationnels…)

Exemple
Lancement d’une nouvelle offre commerciale, changement de CRM, etc.

5. Les gains prévus

Cette section détaille les gains potentiels générés par le projet. Ces gains peuvent être qualitatifs et quantitatifs, financiers (chiffre d’affaires, réduction des coûts…) ou non financiers (satisfaction client, meilleure compétitivité…).

6. Les coûts et moyens engagés

Cette partie est un résumé des ressources (humaines, budgétaires, matérielles…) nécessaires pour piloter le projet.

Exemple
Coût d’acquisition du logiciel CRM, formation, temps d’adoption des équipes, coûts liés à la migration..

7. Les risques et contraintes du projet

Tout projet présente une part de risque. Cette section a pour vocation de :

  • recenser les risques potentiels et les contraintes liés au projet,
  • présenter l’impact probable de ces risques et contraintes sur le projet et sur l’entreprise,
  • proposer des alternatives et un plan de gestion des risques.

Exemple
Manque de ressources en interne, surcharge des équipes concernées par la mise en œuvre, coûts élevés

La planification du projet

Cette section fournit au lecteur des détails sur la manière dont la solution recommandée sera mise en place, telles que :

  • la date de mise en œuvre,
  • les réunions liées au lancement du projet,
  • la période d’exécution,
  • la période de réalisation des bénéfices,
  • etc.

Quelle différence entre business case et business plan ?

Le business plan est très similaire au business case puisqu’il présente lui aussi une opportunité. Il est donc important d’identifier ce qui les différencie.

Business Case Business plan 
Le business case permet de décider du lancement ou non d’un projet. Le business plan porte sur un projet d’entreprise global.
Le business case adopte une approche à court et moyen termes. Le business plan adopte une approche globale et à long terme.
Le business case porte sur la viabilité d’un projet au sein d’une entreprise, dans un département (marketing, commercial,..). Le business plan traite d’un plan de croissance et de pérennité de l’entreprise.
Le business case démontre le potentiel de rentabilité d’une idée ou d’une opportunité commerciale. Le business plan aide l’entrepreneur à mobiliser l’investissement de lancement nécessaire auprès des investisseurs.  
Le business case est très terre à terre car basé sur une opportunité très concrète à court ou moyen terme. Le business plan comporte une part d’ombre : il est bâti sur des hypothèses et un calendrier à long terme et donc soumis à des aléas.
Le business case est un document tactique. Le business plan est un document stratégique.

Pour finir…

Le business case est un document qui aide les parties prenantes d’un projet à prendre une décision éclairée et à s’assurer d’atteindre les résultats escomptés.

Il est important d’avoir le réflexe de le préparer avant de mettre en place un projet et d’assurer sa mise à jour régulière.

Bien que la préparation d’un business case semble simple de prime abord, il est important de garder ces derniers conseils à l’esprit :

  • Veillez à soigner tous les détails tant sur la forme (mise en page aérée, etc.) que sur le fond (aller à l’essentiel, vocabulaire accessible, etc.) ;
  • Mettez en avant les bénéfices de votre projet ;
  • Mettez l’accent sur l’alignement entre votre projet et les objectifs stratégiques de l’entreprise.

Ces quelques conseils peuvent vous aider à mettre toutes les chances de votre côté et à montrer que votre projet mérite d’être lancé.

Les équipes parisiennes de SBA Compta déménagent !

Les équipes parisiennes de SBA Compta déménagent !

SBA Compta ouvre ses nouveaux bureaux parisiens au 15 rue du Faubourg Montmartre – Paris 9 – Métro Grands Boulevards.

Nous aurons plaisir à vous y accueillir à compter de lundi 11 octobre et à vous présenter ce nouvel espace de travail qui nous ressemble :

  •  Digital

Notre culture est résolument digitale et ces nouveaux bureaux le matérialisent encore un peu plus : 0 papier, 100 % sans câble, serveurs 100 % cloud, téléphonie en voix sur IP…

  • Collaboratif

Un plateau ouvert de plus de 300m2 pour favoriser la libre coopération entre nos équipes.

  • Agile

Nos équipes adoptent le « flex office » et évoluent dans un espace de travail adaptatif et dynamique.

SBA Compta Paris : espace de travail dynamique et organisation digitale

« Nous construisons un nouveau modèle dans l’expertise comptable qui s’appuie sur une stratégie cross-canal.
Ainsi, nous allions toute la force des outils technologiques pour une comptabilité 100 % digitale et la richesse d’une relation humaine de proximité grâce à un business coach 100 % dédié.
Nous sommes bien plus qu’un expert-comptable en ligne, c’est pourquoi nous avons à cœur d’accueillir nos clients dans nos locaux et de leur présenter notre culture résolument digitale au travers de notre organisation de travail. » François Mihelic, président du Groupe SBA Compta.

SBA Compta Paris déménage - Cabinet d’expert-comptable en ligne

Ces nouveaux locaux cristallisent notre culture de l’innovation, notre volonté de toujours évoluer et marquent une nouvelle étape dans notre croissance.

Rendez-nous visite ! Nous serons heureux de vous offrir un café, de vous présenter nos nouveaux locaux et notre organisation digitale !

Naturellement, vos interlocuteurs ainsi que nos coordonnées téléphoniques restent inchangés.

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Les 9 avantages du recrutement collaboratif

Le recrutement collaboratif : principes et avantages

Traditionnellement, l’embauche est gérée presque exclusivement par les départements des RH et du recrutement. Mais cette approche “cloisonnée” n’est pas la seule façon d’embaucher. Aujourd’hui, un nombre croissant d’entreprises s’intéressent à un modèle de recrutement collaboratif.

D’après un récent Baromètre APEC, l’utilisation des divers outils collaboratifs par les diverses divisions au sein d’une société (dont celle des RH) est passée de 43 à 65 %,
depuis la crise du coronavirus.

Bien que ce modèle de recrutement puisse sembler complexe au premier abord, il améliore sensiblement l’ensemble du processus de recrutement et conduit à de meilleurs résultats. Il est également très bénéfique pour tous les acteurs concernés : votre équipe RH, vos employés et vos candidats.

Qu’est-ce que le recrutement collaboratif?

Le recrutement collaboratif est un processus de recrutement en équipe. Comme son nom l’indique, il implique la collaboration des équipes des RH et des autres départements dans le processus de recrutement.

Généralement, l’équipe de recrutement collaboratif se constitue de :

  • Un ou des recruteurs internes,
  • Le responsable des RH,
  • Des managers,
  • Des employés ou collaborateurs de l’équipe.

À quoi ressemble un entretien collaboratif ?

Un entretien collaboratif peut prendre de nombreuses formes et la composition des membres de l’équipe peut changer à chaque entrevue.

Généralement, lors des premiers rendez-vous, un entretien collaboratif peut inclure le recruteur, le responsable du recrutement et le candidat. Ils se concentrent principalement sur le fait d’évaluer la qualification et la motivation du candidat pour occuper le poste.

Aux stades ultérieurs, l’entretien collaboratif peut inclure un autre membre de l’équipe qui travaillera directement avec le candidat.

Dans les deux cas et quel que soit le nombre de membres de l’équipe impliqués, des fiches d’entretien doivent être utilisées pour évaluer correctement le candidat.

Voici les principaux éléments à faire figurer sur la fiche d’entretien :

    • Le contexte du recrutement : titre du poste, type de contrat, nom du futur manager,..
    • Les informations personnelles des candidats : nom et prénom, numéro de téléphone, adresse email, adresse postale, permis de conduire, ..
    • L’évaluation des compétences du candidat : diplômes, expériences pertinentes pour le poste et leurs durées, maîtrise d’outils, maîtrise de langues,…)
    • L’évaluation du savoir-être du candidat : il s’agit de savoir si la personne en face de vous pourrait bien s’intégrer dans une équipe et apporter quelque chose à votre entreprise. Quelques critères à observer : les motivations, le comportement lors de l’entretien, la communication non verbale, la communication par téléphone et par email (réactivité, politesse, courtoisie, etc.), la capacité à s’exprimer oralement, si le poste le requiert, la capacité d’écoute, pour un poste de management notamment, le dynamisme, etc.
    • Informations RH à retenir :disponibilité de la personne, rémunération souhaitée, avantages souhaités.

Les essais professionnels peuvent également être considérés comme des entretiens collaboratifs complémentaires.

9 raisons d’adopter le recrutement collaboratif

Conséquence directe de l’implication d’un plus grand nombre de membres de l’équipe dans le processus de recrutement, le recrutement collaboratif présente 9 avantages pour ceux qui choisissent d’adopter cette méthode.

Moins de stress pour le recruteur

Si le stress des candidats est souvent admis et reconnu, il peut également concerner le recruteur. En effet, la maîtrise des enjeux de recrutement demeure souvent la seule responsabilité du recruteur qui peut craindre de se tromper, d’être le seul représentant à pouvoir montrer la meilleure image de l’entreprise…

Dès lors qu’il y’a une collaboration entre les recruteurs et les différents intervenants de l’entreprise, la responsabilité du recrutement s’en trouve partagée. Le recrutement collaboratif place ainsi le recruteur dans un rôle plus proche de celui de coordinateur. S’il continue à mener la plupart des entretiens et à rechercher des candidats, les membres de l’équipe participent :

  • aux évaluations,
  • à l’analyse des CV,
  • et à l’élaboration des questions de présélection.

Bien entendu, le recrutement collaboratif varie d’une entreprise à l’autre. Il n’y a pas de répartition fixe des responsabilités au sein d’une équipe. Mais cela signifie que le recrutement devient une responsabilité d’un groupe plutôt que du seul recruteur, ce qui peut favoriser une diminution des niveaux de stress chez les recruteurs.

Améliorer la qualité des recrutements

Le recrutement collaboratif peut sembler un peu compliqué au premier abord, mais il peut améliorer sensiblement l’ensemble du processus d’embauche.

  • La multiplicité des intervenants apporte des perspectives diverses qui permettent de mieux évaluer les candidats et de réduire les risques de faire une erreur de casting.
  • Le candidat est évalué par différents acteurs aux compétences et expériences différentes et doit réussir toutes les étapes du processus.
  • Réussir à convaincre plusieurs personnes peut aussi être le gage d’une meilleure candidature.

Améliorer l’expérience candidat

L’un des principaux avantages du recrutement collaboratif est l’amélioration de l’expérience du candidat. Le fait de rencontrer différents membres de l’équipe donne aux candidats un aperçu plus large de votre entreprise et les aide à se faire une idée plus globale de l’organisation.

Le recrutement collaboratif peut également faciliter le processus d’intégration une fois que le candidat a accepté un poste, car il sera plus familier avec l’équipe, ce qui l’aidera à s’installer dans son rôle.

L’expérience du candidat est en outre la clé de la réussite d’une marque employeur.

Favoriser une meilleure compatibilité culturelle

Il n’existe pas de formule spécifique pour définir l’adéquation culturelle, car chaque entreprise a sa propre culture. Chaque employé a également sa propre vision de la culture de l’entreprise. Le fait qu’une seule personne mène tous les entretiens d’embauche peut donc entraîner une inadéquation culturelle.

C’est là que le recrutement collaboratif entre en jeu. Le processus de recrutement collaboratif aide les nouvelles recrues à mieux comprendre et analyser la culture de l’entreprise avant qu’une offre ne leur soit faite ou qu’ils ne l’acceptent.

Embaucher des candidats dont la culture correspond bien à celle de votre entreprise vous permettra d’engager des professionnels qui :

  • s’épanouiront dans leurs nouvelles fonctions,
  • favoriseront la croissance et la réussite à long terme de votre entreprise
  • et, en fin de compte, vous feront gagner du temps et de l’argent.

Réduire les préjugés inconscients et promouvoir la diversité

Le recrutement collaboratif est une excellente solution pour limiter l’impact des préjugés inconscients. Chaque membre de votre équipe de recrutement est susceptible d’avoir ses propres préférences et préjugés, mais un processus de recrutement collaboratif en limite fortement l’impact.

Le recrutement collaboratif garantit un processus de recrutement plus équitable pour tous.

Augmenter la rétention et l’engagement des employés

Faire participer davantage votre équipe au processus d’embauche peut être un excellent moyen de lui confier plus de responsabilités. Grâce au recrutement collaboratif, vous favorisez la valorisation et l’engagement de vos employés.

En outre, si votre équipe participe à la sélection des candidats, elle peut s’assurer que ses futurs collègues sont déjà pré-approuvés par elle. À long terme, cela peut contribuer à une meilleure cohésion des équipes et par conséquent… à plus de productivité !

Créer un processus d’embauche plus transparent

La transparence du processus de recrutement est essentielle pour attirer et retenir les meilleurs talents. L’implication d’autres membres de l’équipe peut rendre le processus plus ouvert et transparent pour les candidats.

Grâce à la méthode du recrutement collaboratif, les candidats pourront identifier le type de personnes avec lesquelles ils vont travailler. Les interactions de votre équipe avec les candidats peuvent rendre le processus beaucoup plus engageant et faire en sorte que toutes les personnes impliquées soient sur la même longueur d’onde.

Dans l’ensemble, le recrutement collaboratif est une stratégie efficace pour attirer les meilleurs candidats et renforcer l’engagement des employés actuels.

Exploiter des perspectives diverses

La participation de plusieurs personnes au processus de sélection permet à l’équipe d’avoir accès à divers points de vue, chaque personne apportant son analyse propre.

Cela permet d’aborder l’évaluation des candidats sous différents angles et d’affiner le processus de recrutement et de sélection pour s’assurer que les candidats possèdent les qualifications requises.

Gagner du temps

Inévitablement, avec plus de personnes impliquées dans le processus de recrutement et le partage des calendriers de disponibilité, le délai alloué au processus d’embauche diminue.

Une enquête d’Officevibe a révélé que 60 % des candidats interrogés ont déjà abandonné un processus de recrutement car il était trop long.

Adopter le recrutement collaboratif signifie que les membres de vos équipes peuvent prendre la responsabilité de certaines parties du processus, en fonction de leur disponibilité. Tant que les processus sont coordonnés de manière appropriée, vous pouvez gagner beaucoup de temps en matière de recrutement !

Et si vous passiez au recrutement collaboratif ?

Adopter le recrutement collaboratif dans votre processus d’embauche présente plusieurs avantages :

  • Moins de stress pour le recruteur
  • Des recrutements plus pertinents
  • Une expérience candidat améliorée
  • Une marque employeur valorisée
  • Une meilleure adéquation avec votre culture d’entreprise
  • Une amélioration de l’engagement et de la rétention des employés
  • Un gain de temps
  • etc..

Néanmoins, il est important de rappeler que le recrutement collaboratif n’est efficace que sous certaines conditions :

  • une bonne organisation,
  • une bonne communication,
  • et une bonne répartition des rôles.

 

Pourquoi et comment qualifier un prospect ?

Comment et pourquoi qualifier un prospect?

La qualification des prospects est l’une des étapes les plus importantes du processus de vente. Bien qu’il puisse être tentant de suivre tous les prospects qui expriment un intérêt pour votre produit, il est souvent préférable de concentrer vos efforts commerciaux sur certains d’entre eux.

Afin d’optimiser vos ressources – humaines, temporelles comme financières – pour développer efficacement votre affaire, nous vous recommandons d’identifier les prospects qui se convertissent en clients payants en amont de votre processus de vente.

Cette identification nécessite de qualifier les prospects grâce à une méthode rigoureuse et impartiale d’évaluation.

Qu’est-ce que la prospection commerciale ?

La prospection commerciale est la première étape de votre cycle de ventes. Elle est le processus de recherche et d’identification de clients potentiels

L’objectif de la prospection commerciale est de constituer une base de données de prospects, puis de les qualifier dans l’optique de conclure une vente et de les transformer en clients.

La prospection commerciale est donc l’un des leviers de développement de votre business et d’accroissement de votre chiffre d’affaires.

Qu’est ce que la qualification d’un prospect ?

La qualification des prospects – aussi appelés leads – est une étape essentielle pour optimiser vos ressources et améliorer votre performance commerciale. En effet, tous les prospects ne sont pas nécessairement au même niveau de maturité et certains peuvent ne pas correspondre à votre client cible.

Qualifier un prospect vous permet d’éviter de perdre du temps et de l’argent à travailler un prospect qui n’est pas en mesure d’investir dans votre produit ou service, n’est pas prêt à changer de solution ou dont le besoin n’est pas tout à fait aligné avec votre offre.

Qu’est ce qu’un prospect qualifié ?

Un prospect qualifié pour la vente est un prospect qui correspond étroitement à l’un des profils – on les appelle également « persona » – de votre client cible idéal.

Chacun de ces profils fait face à des « points de douleur » – c’est-à-dire des inquiétudes ou problèmes spécifiques – auxquels votre produit ou service répond. Ces points de douleur peuvent être résolus par l’achat d’un produit ou d’un service qui y réponde.

Ainsi, vous gagnerez assurément à vous concentrer sur les personas qui font face à des points de douleur que votre produit ou service peut résoudre. Ils sont prioritaires car ils ont de meilleures chances d’être convertis en clients.

Afin de qualifier les prospects efficacement, vous devez nécessairement dresser le portrait de votre client cible au préalable. Si vous ne réalisez pas cette étape en amont, vos commerciaux risquent d’accorder trop d’attention à des prospects moins susceptibles d’être convertis en clients et de ne pas mobiliser leurs efforts sur ceux qui pourraient être les plus précieux pour le développement de votre entreprise.

La qualification des prospects est-elle importante ?

La qualification des leads est fondamentale, notamment pour :

  • déterminer si un prospect correspond à votre profil de client idéal,
  • savoir si votre prospect se trouve dans le bon secteur et le bon territoire pour bénéficier de votre produit ou service,
  • identifier le besoin de votre prospect,
  • évaluer rapidement si vous parlez à l’interlocuteur qui dispose du budget et du pouvoir nécessaires pour acheter votre produit ou service,
  • accélérer le processus de vente et augmenter vos taux de conversion,
  • améliorer l’efficacité, la productivité et la motivation de votre équipe commerciale,
  • et, in fine, augmenter vos revenus.

Leads qualifiés vs leads non qualifiés

En fonction de leur position dans l’entonnoir de vente, les prospects peuvent être divisés en deux groupes principaux.

Les prospects non qualifiés

Ces prospects n’ont pas encore été suffisamment préparés pour acheter. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les leads peuvent être considérés comme non qualifiés :

  • ils ne sont pas convaincus par vos offres,
  • ils trouvent vos prix trop élevés,
  • ou ils ne savent tout simplement pas ce qu’ils recherchent.

Les prospects qualifiés

Ils sont conscients des avantages que votre produit peut leur apporter. Il existe trois types de prospects qualifiés dans l’entonnoir de conversion :

  • Les leads qualifiés pour l’information (IQL). Un IQL, également appelé prospect « froid », est une personne qui se trouve à la première étape du parcours de l’acheteur : la phase de recherche. Ces prospects peuvent être alimentés et engagés dans le processus de vente en leur fournissant des informations utiles.
  • Les leads qualifiés pour le marketing (MQL). Le deuxième type, MQL, également appelé lead « tiède », est celui qui se trouve au milieu de l’entonnoir des ventes. Ce sont les prospects qui ont montré de l’intérêt pour votre marque et continuent à s’engager avec elle. Ils visitent souvent votre site, consultent fréquemment votre newsletter, téléchargent vos eBooks, s’inscrivent à vos webinaires, etc.
  • Les leads qualifiés pour la vente (SQL). Le troisième type, SQL, également appelé prospect « chaud », est une personne qui a été contactée par vos équipes commerciales et pour laquelle ces dernières ont estimé qu’il existait une opportunité de conclure une vente. L’attention de vos équipes commerciales mérite d’être focalisée sur ce type de leads.

Maintenant que vous connaissez la différence entre ces deux principaux groupes de prospects, découvrons comment fonctionne la qualification des prospects.

Comment qualifier un prospect pour la vente ?

Le processus de qualification des prospects vise à recueillir toutes les informations dont vous avez besoin pour contacter votre prospect et évaluer l’adéquation entre votre produit et son besoin, et augmenter ainsi vos chances de réussite de la conversion.

Sans une qualification adéquate, vous ne disposerez pas des connaissances nécessaires pour conclure la vente avec succès.

Voici les 3 étapes pour qualifier un prospect :

  • Identifier le besoin
  • Connaître le budget
  • Définir le processus de prise de décision

Qualification d’un prospect – Étape 1 : identifier le besoin

« Nous devons apprendre ce que les clients veulent vraiment, et non pas ce qu’ils disent vouloir ou ce que nous pensons qu’ils devraient vouloir. » – Eric Ries

La première étape pour qualifier vos prospects consiste à comprendre ce qu’ils veulent, même s’ils ne le savent pas encore vraiment.

Commencez par prêter attention à la façon dont ils s’expriment plutôt qu’à ce qu’ils disent. Faites attention aux indices non verbaux – posez-leur des questions de clarification pour stimuler la conversation et découvrez exactement ce qu’ils veulent.

Les meilleurs commerciaux savent comment faire durer la conversation ; ils savent comment continuer à poser des questions jusqu’à ce qu’ils obtiennent les réponses qu’ils recherchent. Plus le client en dit sur ses problèmes, plus vous pouvez découvrir ce dont il a besoin exactement et si vous pouvez répondre à ce besoin.

Il est inutile de consacrer beaucoup de temps à des prospects qui n’ont pas besoin de vos produits ou services.

Qualification d’un prospect – Étape 2 : connaître l’investissement / budget

Votre prospect a-t-il le budget nécessaire pour acheter votre produit ou adopter votre solution ?

Lors de l’évaluation du budget, il est important de tenir compte de la valeur perçue de votre produit ou service.

Pour savoir de quel budget dispose votre prospect, vous pouvez le lui demander directement ou faire vos propres recherches :

  • A-t-il un budget prévu pour ce produit ou service ? Si oui, quel est ce budget ?
  • S’agit-il d’un besoin hautement prioritaire pour lequel il prévoit d’allouer des fonds ?
  • Quels sont les autres projets pour lesquels il engage des dépenses concomitamment ?
  • Sa capacité de financement et le temps disponible pour la prise de décision sont-ils affectés par la saisonnalité ?

Qualification d’un prospect – Étape 3 : définir le processus de prise de décision

Un autre élément crucial du processus de qualification des prospects consiste à déterminer si votre prospect est bien la personne qui prendra la décision d’achat finale ou si elle est simple prescriptrice dans ce processus de décision.

Vos équipes commerciales doivent rapidement déterminer si la personne avec laquelle ils traitent est un décideur ayant l’autorité et le budget pour conclure la vente.

Voici une liste de questions qui permettent de définir le rôle de votre interlocuteur dans le processus de décision :

  • Comment le prospect prend-il ses décisions ?
  • Combien de personnes sont impliquées dans le processus d’achat ?
  • À quoi ressemble le processus d’achat typique de votre prospect?
  • Combien de temps leur faut-il pour acheter un produit ?
  • Quand prévoit-il d’acheter ?

Disqualifier un prospect

Il peut sembler contre-intuitif de disqualifier des prospects. Néanmoins, être sélectif quant aux personnes que vous laissez entrer dans votre entonnoir de vente peut vous permettre d’optimiser significativement votre performance commerciale.

En effet, tenter de convertir tous les prospects entrants peut limiter fortement la productivité de vos équipes commerciales. Ces dernières auraient alors trop de prospects non qualifiés à traiter.

En concentrant vos efforts sur l’acquisition de prospects hautement qualifiés qui ont réellement besoin de votre produit, votre entreprise peut se développer plus efficacement, avec un coût d’acquisition des clients (CAC) plus faible, une fidélisation des clients nettement améliorée et une valeur à vie des clients (CLTV) plus élevée.

D’autres méthodes de qualification commerciale

Votre processus de qualification des prospects doit être mis en place de manière systématique et doit s’appuyer sur des données précises.

Voici quelques techniques courantes de qualification des prospects pour distinguer les prospects qualifiés des prospects non qualifiés.

  • Méthode SPANCO (Suspect, Prospect, Approach, Negotiations, Closure, Order)
  • FAINT (Funds, Authority, Interest, Need, Timing)
  • ANUM (Authority, Need, Urgency, Money)
  • GPCT (Goals, Plans, Challenges, Timelines, traduit par Objectifs, Plans d’actions, Défis et Temporalité)
  • MEDDIC (Metrics, Economic Buyer, Decision Criteria, Decision Process, Identify Pain, Champion)
  • Technique de vente SONCAS pour vendre mieux et plus
  • La méthode de vente BANT
  • Méthode SIMAC pour réussir ses entretiens commerciaux
  • La méthode SPIN Selling pour améliorer la conversion de vos prospects

Pour finir…

Chaque lead qualifié représente une opportunité de vente solide, réaliste et projetable – notamment sur la base des ventes moyennes de votre entreprise à des clients présentant un profil idéal.

Votre capacité à trouver, qualifier et convertir les bons prospects est à l’origine du succès de votre entreprise. Vendre aux bons clients ne signifie pas seulement plus de revenus, mais aussi des ventes par recommandation et des clients plus heureux.

Poser les bonnes questions, écouter attentivement et se concentrer sur les défis et les besoins de vos prospects sont les éléments les plus importants d’une stratégie commerciale réussie.

Loi climat et résilience : les principales mesures pour les entreprises et les particuliers

Loi climat-résilience : les principales mesures pour les entreprises et les particuliers

La loi climat et résilience a récemment été publiée. Elle porte une série de mesures qui peuvent avoir un impact direct sur l’activité de votre entreprise, comme sur la gestion de votre patrimoine professionnel et personnel.

SBA Compta vous propose un tour d’horizon des principales mesures.

Immobilier : vers une éradication des passoires thermiques

Gel des loyers

À compter de 2023, les loyers des logements les plus mal isolés – c’est-à-dire avec un diagnostic de performance énergétique (DPE) classé F ou G – seront gelés jusqu’à ce que les propriétaires réalisent des travaux de rénovation énergétique.

Interdiction de la mise en location

Les logements aux performances énergétiques les plus faibles seront progressivement interdits à la location jusqu’à la réalisation de travaux énergétiques.

  • À compter de 2025, les logements classés G dans le DPE – diagnostic de performance énergétique – seront interdits à la location tant qu’ils ne seront pas rénovés.
  • L’interdiction sera étendue aux logements classés F dès 2028.
  • Les logements classés E seront concernés, quant à eux, dès 2034.

Nouvelles règles pour la construction de centres commerciaux

À compter du 1er janvier 2023, les bâtiments commerciaux neufs de plus de 500 m² et les immeubles de bureaux de plus de 1 000 m² devront végétaliser ou installer des panneaux photovoltaïques sur 30 % de leur surface.

De même, à partir du 1er janvier 2024, les nouveaux parcs de stationnement de plus de 500 m² devront végétaliser ou installer des panneaux solaires sur 50 % de leur surface et 100 % des ombrières le cas échéant.

Interdiction des terrasses chauffées

Les terrasses extérieures chauffées seront interdites dans les bars et les restaurants dès 2022. Un décret d’application viendra préciser les contours de la mesure.

Affichages environnementaux

Les publicités pour les voitures et les produits électroménagers devront intégrer un affichage environnemental à compter du 1er semestre 2022.

Cette obligation sera étendue aux produits alimentaires et textiles en 2023.

Publicités dans les vitrines

Le pouvoir des maires est augmenté afin de leur offrir une plus grande latitude dans la réglementation des espaces publicitaires et, en particulier, des écrans dans les vitrines.

Mesures pour des automobiles plus propres

  • Un prêt à taux zéro dédié aux ménages les plus modestes sera expérimenté à compter de 2023 et pour une durée de 2 ans. Il aura pour objectif d’aider ceux d’entre eux qui vivent dans des zones à faibles émissions à financer le changement de leur véhicule.
  • La publicité pour les véhicules les plus polluants sera interdite à compter de 2028.
  • Dès 2030, la vente des véhicules qui émettent plus de 95g/km de CO2 sera proscrite.

Grandes et moyennes surfaces : vers une augmentation de la vente en vrac

D’ici 2030, les supermarchés dont l’espace de vente dépasse 400 m2 devront consacrer 20 % de leur surface commerciale à la vente de produits en vrac.

Secteur du transport : transition environnementale

L’avantage fiscal dont bénéficie le transport de marchandises pour le gazole sera supprimé progressivement d’ici 2030.

Les poids lourds neufs qui utilisent principalement des énergies fossiles ne seraient plus commercialisés à compter de 2040.

Loi Climat et dialogue social

En matière de dialogue social, le CSE pourra s’exprimer sur l’impact environnemental des décisions stratégiques de leur entreprise.

La BDES – base de données économiques et sociales – intègre désormais des données sur les conséquences environnementales de l’activité de l’entreprise. Elle devient ainsi la BDESE : « base de données économiques, sociales et environnementales ».

Le conseil SBA Compta :

La loi climat et résilience marque un tournant important quant à la place des questions environnementales dans la vie économique française.

Elle porte de nombreuses mesures qui ont un impact direct sur les modes de consommation, de production, les déplacements ou encore le logement…

Elle fait également entrer les questions environnementales au sein des entreprises par le biais du dialogue social.

De nombreux décrets d’application doivent être publiés prochainement pour expliciter les modalités de mise en œuvre de ces mesures.

Votre Business Coach SBA Compta est à vos côtés pour évaluer l’impact de la loi climat sur votre activité.

CONTACTEZ-NOUS

 

Pour en savoir plus :

Loi n° 2021-1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets

 

 

La règle des 5 heures des entrepreneurs qui réussissent

Comment fonctionne la règle des cinq heures?

Plus tu liras, plus tu sauras de choses. Plus tu apprendras, plus tu iras dans des endroits différents. » Dr. Seuss

Saviez-vous que Bill Gates lit environ 50 livres par an ?

Pourquoi fait-il cela ?

Bill Gates dit que la lecture lui permet de tester ses connaissances et que c’est la principale façon dont il apprend de nouvelles choses. Un livre peut également l’aider à voir quelque chose de familier sous un angle différent.

Être un lecteur assidu est un trait de caractère de nombreux grands chefs d’entreprise, dont Elon Musk (PDG de la société SpaceX et directeur général de la société Tesla) ou encore Jack Ma (Président du Groupe Alibaba).

Tout dirigeant d’entreprise gagnerait à suivre les traces de ces dirigeants et à consacrer une partie de son temps libre à développer sa psyché et à apprendre de nouvelles choses.

Une méthode utile pour adopter ces habitudes vertueuses est la règle des cinq heures.

Comment fonctionne la règle des cinq heures?

La règle des cinq heures est un concept simple qui a été inventé par Michael Simmons, fondateur de Empact. Elle consiste à consacrer cinq heures par semaine ou une heure par jour ouvrable à l’apprentissage.

Cet apprentissage peut prendre différentes formes qui peuvent être panachées pour vous permettre d’obtenir l’expérience la plus complète.

Les trois volets de la règle des cinq heures

1. La lecture

La lecture est une habitude commune à de nombreux entrepreneurs qui ont réussi et c’est une pratique simple et économique pour apprendre de nouvelles compétences. N’hésitez pas à toujours garder un livre sous la main ou dans votre sac et à vous fixer des objectifs de lecture chaque semaine.

Vous pouvez vous fixer pour objectif de lire un chapitre par jour ou un certain nombre de livres par mois. Si vous êtes un utilisateur de Kindle, vous pouvez installer l’application sur votre smartphone. La grande disponibilité des livres numériques permet de lire sur presque tous les sujets, où que vous soyez.

2. La réflexion

La réflexion est un élément clé du processus d’apprentissage et un facteur d’amélioration des performances. Analyser vos actions et accomplissements passés vous permet d’identifier les forces que vous avez mobilisées dans ces projets, mais également vos zones de progression à l’avenir.

Tenir un journal peut être une bonne démarche pour organiser et formaliser votre réflexion sur ce que vous avez appris au cours de vos lectures. Cela vous donnera également l’occasion de réfléchir aux leçons professionnelles que vous avez récemment apprises et de développer vos idées pour l’avenir.

Pourquoi ne pas essayer de réserver chaque jour un moment dans votre agenda dédié à ce travail de réflexion – même si ce n’est que 10 à 15 minutes pour commencer ?

3. L’expérimentation

L’innovation n’est possible que par le biais de la prise de risques et l’essai de nouvelles méthodes, c’est pourquoi “l’expérimentation » est considérée comme le troisième et dernier volet de la règle des 5 heures.

Réservez un peu de temps chaque semaine pour tester de nouvelles théories ou idées, aussi folles soient-elles.

Certains des produits les plus performants au monde sont nés de l’expérimentation. L’innovation ne vient jamais en faisant toujours la même chose. Même si votre expérience échoue, vous en aurez tiré de précieuses leçons.

Google, par exemple, est célèbre pour avoir autorisé ses employés à expérimenter de nouveaux projets pendant 20 % de leur temps de travail. L’une des façons d’expérimenter est de vous astreindre à mettre en œuvre dans un scénario réel ce que vous avez appris en lisant.

Consacrez du temps à l’apprentissage

Les exigences de la gestion d’entreprise nous conduisent souvent à mettre l’accent sur la productivité et l’efficacité, au détriment du temps consacré à l’apprentissage.

L’apprentissage continu est indéniablement une pratique positive et un facteur clé de succès à titre personnel, comme professionnel. De fait, devez-vous définir un temps minimum pour l’apprentissage ?

La règle des cinq heures ne consiste pas à aller au travail en espérant apprendre quelque chose de nouveau, mais à réserver du temps pour le développement personnel et l’apprentissage ciblé.

Explorez une grande variété de sujets

Outre les livres, les blogs et les sites d’information, vous pouvez également assimiler des connaissances à travers les livres audio et les podcasts. Ces supports peuvent constituer une excellente option pour ceux qui sont souvent en déplacement ou qui passent beaucoup de temps dans les transports.

N’hésitez pas à vous concentrer sur les domaines qui sont actuellement ou vont devenir très importants pour votre activité : expertise technique, développement commercial, gestion…

Mais nous vous conseillons de ne pas vous concentrer uniquement sur les sujets directement liés à votre rôle ou vos enjeux actuels. En explorant une variété de sujets, vous pouvez élargir votre champ de réflexion.

LA RÈGLE DES 5 HEURES NE CONSISTE PAS À GAGNER DE L’ARGENT, MAIS À ATTEINDRE VOS OBJECTIFS.

Quand Benjamin Franklin passait cinq heures par semaine à la bibliothèque, il ne visait pas l’obtention d’un gain financier direct. Il avait l’ambition d’apprendre et de “cultiver son jardin” afin de mettre toutes les chances de son côté pour atteindre les objectifs ambitieux qu’il s’était fixé.

En adoptant ces quelques bonnes habitudes quotidiennes de lecture, de réflexion et d’expérimentation, votre approche des défis auxquels vous faites face deviendra de plus en plus instructive, innovante et intelligente.

Conclusion

L’apprentissage est certainement l’un des meilleurs investissements de temps que vous puissiez faire, tant pour vous-même que pour votre entreprise. En faisant de ces principes d’apprentissage une habitude, vous deviendrez plus performant et plus productif.

En appliquant la règle des 5 heures, vous ne verrez peut-être pas de retour sur investissement en matière pécuniaire, mais en réservant une heure de votre journée de travail à l’apprentissage ciblé, vous acquerrez de nouvelles compétences et connaissances qui vous seront utiles à long terme.

 

Les 15 principales qualités d’un grand leader

Leadership : Les 15 qualités d'un vrai leader

Si vos actions incitent les autres à rêver davantage, à apprendre davantage, à accomplir davantage et à devenir davantage, vous êtes un leader.” ~John Quincy Adams

Des leaders comme Steve Jobs, Pablo Isla et Xavier Niel, grâce à leur vision, leur détermination inébranlable et leur travail acharné, ont conduit leurs entreprises respectives vers les sommets. Aussi, grâce à leurs convictions et à leurs solides qualités de leader, ils ont donné une nouvelle dimension au monde des affaires.

Les qualités d’un leader sont-elles innées ?

Vous avez probablement entendu l’expression « leader né ». Cette expression implique que les qualités d’un bon leader sont innées : soit vous êtes né avec les compétences nécessaires pour être un leader, soit vous ne l’êtes pas. Et il est vrai que certains traits de caractère ont tendance à être innés, comme le charisme, l’humilité et le sens de l’humour.

Ceci dit, de nombreuses qualités et compétences clés de leadership peuvent être apprises et améliorées avec le temps, comme une communication efficace, la fixation d’objectifs et la réflexion stratégique.

Avant de plonger dans les qualités d’un leader, comprenons brièvement le leadership.

Qu’est-ce que le leadership ?

Le leadership est l’art de motiver et d’inspirer un groupe de personnes à agir pour atteindre un objectif commun. Dans le monde des affaires, cela peut signifier diriger des employés et des collaborateurs dans le cadre d’une stratégie visant à répondre aux besoins de l’entreprise.

“Le leadership est l’art d’amener quelqu’un d’autre à faire quelque chose que vous voulez faire parce qu’il veut le faire.” – Dwight D. Eisenhower

Qu’est ce qu’un bon leader?

Un bon leader est une personne qui sait :

  • Créer une vision inspirante de l’avenir.
  • Motiver et inspirer les gens à s’engager dans cette vision.
  • Gérer la réalisation de cette vision.
  • Encadrer et former une équipe afin qu’elle soit plus efficace dans la réalisation de la vision.

Voici les 15 principales qualités et compétences d’un leader.

1. Maturité

Un leader charismatique a souvent une personnalité affirmée et un fort caractère, mais il doit aussi disposer d’une certaine maturité professionnelle. Cette dernière lui permet de faire appel aux connaissances qu’il a acquises au fil de ses années d’expérience de la vie et des affaires.

2. Communication

Une excellente communication est la clé d’un bon leadership. La communication peut faire ou défaire vos efforts pour établir des liens avec votre équipe, gérer et coordonner des initiatives et instaurer la confiance au sein de votre entreprise.

Un leader efficace est un bon orateur qui sait :

  • comment faire passer son message,
  • choisir les mots et les expressions qui conviennent à la situation.

Il existe d’innombrables façons d’instaurer un environnement de travail basé sur une communication saine et libérée. Les bons leaders utilisent souvent les stratégies suivantes :

  • Organiser régulièrement des entretiens individuels avec les employés
  • Solliciter et fournir des feedbacks de manière formelle et informelle
  • Utiliser plusieurs outils de communication, comme l’email, le tchat, les logiciels de gestion de projet et les réunions.
  • Relier le travail aux objectifs, aux valeurs ou à la mission de l’équipe ou de l’entreprise.
  • Assurer un suivi et passer à l’action.

Selon une étude de Statista, 51 % des salariés interrogés affirment qu’ils ne se sentent pas écoutés par leurs managers et responsables hiérarchiques.

Une phrase ô combien évocatrice a même été entendue spontanément lors d’une interview réalisée par OpinionWay auprès de salariés français :

« Il n’y a pas de communication entre la direction et les salariés, le contact est coupé ».

Les dirigeants qui communiquent de manière cohérente et transparente instaurent un climat de confiance avec leurs équipes, augmentent la confiance des employés dans l’entreprise et contribuent à créer un environnement où les employés s’épanouissent.

3. Vision

Un leader doit être visionnaire et avoir plus de clairvoyance qu’un employé”. ~Jack Ma

Parmi les qualités d’un leader, on retrouve la vision. La vision permet de se concentrer, de se motiver et de s’orienter pour surmonter les changements et les obstacles. Les bons leaders ont une vision stratégique et prospective claire et sont capables d’expliquer la voie à suivre à leur équipe.

4. Humilité

Si l’assurance est une qualité leader incontournable, un caractère humble permet de rendre une personnalité attachante et facilite la collaboration avec les équipes.

Les grands leaders savent admettre qu’ils ont tort et considèrent la critique comme une opportunité de croissance.

5. Positivité

Les leaders inspirent rarement leur équipe grâce à leurs propres objectifs ou résultats, mais plutôt par le biais de leur comportement, de leur vision de la vie et de leur attitude dans une situation donnée.

On dit souvent que les employés reflètent le comportement de leurs managers – et les bons leaders gagnent donc à montrer l’exemple à tout moment afin, par exemplarité, d’influer sur le comportement et les actions de leur équipe.

La positivité est une des qualités de leadership qui ne doit pas être négligée. Être positif dans des situations stressantes est un signe de force et un moteur de l’action. C’est le signe que, même si les choses ne se passent pas comme prévu, vous pouvez garder la tête droite et diriger vos collaborateurs.

6. Confiance

Pour être un leader efficace, vous devez retrousser vos manches et prendre les choses en main. Cela veut dire que vous devez être suffisamment confiant pour manager, avec l’assurance que vos plans et votre vision sont non seulement viables pour l’équipe, mais aussi la meilleure décision possible.

Avoir confiance en toute situation est l’une des qualités de leader que vous devez développer. Les vrais grands leaders sont capables d’être confiants dans n’importe quelle situation, même s’ils ressentent de la peur ou de l’inconfort.

Si vous manquez de confiance en vous dans un rôle de leader, les gens le remarqueront rapidement. Plus vous croyez en vous, plus vous serez en mesure de gérer n’importe quelle situation stressante.

Les vrais leaders sont ceux qui ne se contentent pas de parler des problèmes, mais proposent sans crainte leurs propres solutions.

7. Gratitude

Être reconnaissant peut faire de vous un meilleur leader. La qualité d’un leader reconnaissant et ayant de la gratitude peut conduire à :

  • une meilleure estime de soi,
  • une réduction de la dépression et de l’anxiété,
  • et même à un meilleur sommeil.

Peu de gens disent régulièrement « merci » au travail, même si la plupart des gens disent qu’ils seraient prêts à travailler plus dur pour un patron reconnaissant. Apprenez à remercier et à pratiquer davantage la gratitude sur le lieu de travail.

8. Influence

Pour certaines personnes,”l’influence” peut sembler péjorative. Pourtant, être capable de convaincre les gens est une qualité d’un leader inspirant et efficace.

L’influence est très différente de la manipulation, et elle doit être exercée de manière authentique et transparente. Elle requiert de l’intelligence émotionnelle et de la confiance.

9. Responsabilité et fiabilité

L’une des qualités les plus importantes d’un leader est son sens des responsabilités et sa fiabilité. Vous gagnerez certainement à vous astreindre à actionner ces qualités dans votre travail individuel, mais aussi dans vos interactions avec les autres.

Les membres de votre équipe doivent savoir qu’ils peuvent compter sur vous pour assumer votre part de travail et la mener à bien, pour les soutenir dans les moments difficiles et pour les aider à atteindre les objectifs communs et individuels.

10. Délégation

L’aptitude à déléguer efficacement est une bonne qualité de leadership. Un bon leader sait déléguer à bon escient et tirer le meilleur parti des ses collaborateurs.

La délégation est essentielle pour augmenter la productivité et les performances de l’équipe. Un leader est généralement une personne très occupée. Par conséquent, savoir quand et comment déléguer lui libère plus de temps pour ses tâches les plus importantes.

Par ailleurs, notons que la capacité à déléguer ne se limite pas à déléguer des tâches aux autres. Il s’agit également de cerner qui possède les compétences et l’expertise nécessaires pour mener à bien la tâche. Une délégation réfléchie est essentielle pour gagner du temps et éviter des désagréments éventuels.

11. Transparence

L’une des meilleures façons de gagner la confiance de vos équipes est d’être transparent. Au lieu de cacher des informations, vous devez les partager ouvertement avec eux. En donnant de la visibilité à vos collaborateurs, ils adhéreront plus aisément à votre vision et vous soutiendront avec conviction dans la réalisation de votre objectif.

Plus important encore, la qualité d’un leader transparent leur permet d’avoir de la clarté et de l’autonomie et les fait se sentir plus responsables tout en les gardant engagés.

12. Ouverture d’esprit et créativité

Être un bon leader signifie être ouvert aux nouvelles idées, possibilités et perspectives, et comprendre qu’il n’y a pas une seule « bonne » façon de faire les choses.

La qualité de leadership implique de savoir que le succès passe par la volonté de changer la façon de faire les choses et d’apporter un regard neuf pour inspirer de nouvelles idées, en plus d’essayer de sortir des sentiers battus autant que possible. Les leaders doivent être capables d’écouter, d’observer et être prêts à changer de cap si nécessaire.

13. Flexibilité

Diriger, c’est aussi faire preuve d’adaptabilité et d’agilité lorsque la situation l’exige. Rien ne se passe jamais comme prévu – que vous rencontriez des obstacles mineurs ou de grande envergure, vous devrez être prêt à vous arrêter, à réévaluer et à déterminer un nouveau plan d’action.

La qualité d’un leader flexible leur permet d’accepter la nature toujours changeante des affaires et relèveront les défis avec une attitude tout aussi flexible. Ils seront également capables d’inspirer cette même volonté d’adaptation à ceux qui les entourent.

14. Prise de décision

Les bons leaders sont des personnes déterminées et savent comment soutenir l’entreprise, les employés, les parties prenantes et les clients. Vous ne verrez jamais un leader qui manque de lucidité ou est incertain.

Le succès d’une entreprise dépend de la pertinence des décisions que prennent les dirigeants et ils en sont conscients. Ils évaluent plusieurs fois une circonstance donnée avant d’arriver à une conclusion. Ils recueillent les informations nécessaires avant de faire des annonces. De même, ils ne croient pas aux rumeurs mais examinent eux-mêmes une situation ou un problème avant de prendre une décision.

15. Empathie

L’empathie n’est pas seulement un atout en matière de leadership, c’est une qualité leader fondamentale pour instaurer la confiance et l’engagement au sein de votre équipe.

L’empathie est la capacité de percevoir et de comprendre les pensées et les expériences des autres. Les leaders qui opèrent avec empathie, compréhension et compassion établissent des liens plus forts avec leurs employés et améliorent les performances de manière générale.

Le leadership empathique peut prendre de nombreuses formes, mais il existe quelques moyens de faire preuve d’empathie au quotidien :

  • Recherchez et reconnaissez les signes d’épuisement des employés. L’épuisement professionnel représente un coût réel pour les entreprises, entraînant une baisse de la productivité et de l’engagement des employés. Les leaders empathiques ont la capacité de reconnaître quand leurs équipes sont trop stressées ou surmenées et d’intervenir pour alléger leur charge mentale.
  • Montrez un intérêt sincère pour la vie personnelle de vos employés. En d’autres termes, les bons leaders traitent leurs employés comme des personnes et reconnaissent leur individualité et leurs contributions uniques. Apprenez à connaître vos employés sur un plan personnel et montrez un intérêt sincère pour leurs passe-temps favoris, leurs besoins et leurs objectifs grâce à votre grande qualité de leader empathique.
  • Soutenez vos employés en dehors du travail. Assistez aux événements qui sont importants pour eux, comme les anniversaires, les événements sportifs ou les spectacles. Le fait de soutenir votre équipe en dehors du travail montre que vous vous souciez d’elle et renforce vos liens personnels avec vos employés.

Comment développer des compétences et des qualités de leadership?

Chacun peut apprendre à devenir un bon leader s’il développe ses compétences et améliore ses qualités de leader en utilisant ses talents pour motiver et aider ses équipes à aller de l’avant et à atteindre leurs objectifs.

Pensez à votre propre expérience : parmi les dirigeants que vous avez côtoyés tout au long de votre carrière, il y a de fortes chances que plusieurs styles de leadership différents aient été représentés. Cependant, la plupart d’entre eux possédaient probablement un ensemble similaire de bonnes qualités de leaders qu’ils ont mobilisées pour réussir.

Heureusement, contrairement à certaines compétences hautement spécialisées ou techniques, le leadership est une compétence accessible à tous. Ainsi, tout le monde peut développer ses compétences en matière de leadership, que ce soit par le biais d’une formation formelle ou simplement par l’auto-formation et la pratique sur le lieu de travail.

Les traits de caractère d’un mauvais leader

Voici une liste des traits de caractère que les mauvais leaders présentent généralement :

  • Trop autoritaire
  • Indécis
  • Peur du changement
  • Manque ou absence de communication efficace
  • Mépris des idées autres que les siennes
  • Manque d’empathie
  • Manque de cohérence
  • Tendance à blâmer les autres plutôt que d’assumer sa propre responsabilité.

Leadership vs management

Les termes « leadership » et « management » ont tendance à être utilisés de manière interchangeable, mais ils ne sont pas synonymes. Le leadership exige des qualités de leader qui vont au-delà des fonctions de gestion. Les leaders et les managers doivent tous deux gérer les ressources à leur disposition, mais le véritable leadership exige davantage.

Par exemple, les managers peuvent ou non être décrits comme inspirants par les personnes qui travaillent sous leurs ordres, mais un leader doit inspirer ceux qui le suivent.

Les concepts mentionnés ici sont généraux et ne concernent pas tous les types de leaders ou de managers. De nombreux managers sont des leaders et vice-versa, mais tous ne le sont pas.

Leadership vs management : quelle est la différence entre un Leader et un Manager ?

Chaque grand leader possède une palette différente de compétences et de traits de personnalité qui lui permettent de s’épanouir dans ce rôle. Certains sont extravertis, d’autres introvertis. Certains collaborent et d’autres font preuve d’autorité. Mais ils ont tous travaillé à développer certains traits de caractère qui leur permettent de prendre des mesures décisives, d’inspirer les autres et de communiquer une vision puissante. Vous pouvez en faire autant.

Conclusion

Vous devrez donner le bon exemple pour que les autres le suivent. C’est là que votre engagement, votre passion, votre empathie, votre honnêteté et votre intégrité entrent en jeu. De bonnes compétences en communication et des capacités de prise de décision jouent également un rôle essentiel dans le succès et l’échec d’un leader.

Enfin, l’innovation et la pensée créative, ainsi que la vision prospective, sont quelques unes des qualités qui font les bons leaders.

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