Startup à découvrir : Ferpection

[Interview] Startup à découvrir : Ferpection

Chez SmallBusinessAct nous pensons que les expériences sont faites pour être partagées. C’est pour cela que nous avons consacré une rubrique spéciale sur notre blog : « les entrepreneurs à découvrir ». Nous y mettons en avant des entrepreneurs et des startups qui innovent et inspirent.

Si vous pensez, comme nous, que les mots « entreprendre, réussir, innover, audace, relever des défis, passion, visionnaire… » font partie de la même famille, alors continuez votre lecture et découvrez des expériences riches et motivantes.

Aujourd’hui, faites la connaissance de Thibault Geenen, co-fondateur de Ferpection.

Parlez-nous un peu de vous, de votre parcours et de Ferpection

Je travaille depuis l’année 2000 sur des projets digitaux, au développement métier de sites internet et plus récemment d’applications mobiles.

C’est dans mon dernier poste, en tant que Digital Manager chez Coca-Cola, que j’ai constaté la croissance du besoin d’écouter les utilisateurs dans ces projets et… l’absence de solution industrialisée et facile à mettre en place.

Ferpection répond à ce besoin : aider des entreprises à tester des interfaces digitales via des retours de véritables utilisateurs, grâce au crowdtesting.

Quelle est la valeur ajoutée de Ferpection?

L’agilité ! De plus en plus d’entreprises se tournent vers l’agilité pour leur développement. Très vite, elles constatent qu’elles vont devoir avoir la même agilité pour écouter les utilisateurs pour lesquels elles conçoivent ces développements.

Grâce à notre communauté de 50.000 personnes et notre plateforme technologique, nous sommes en mesure de démarrer des études du jour au lendemain et de restituer les résultats en 7 jours, contre 7 semaines pour des approches plus classiques.

[Interview] Startup à découvrir : Ferpection

Pour entreprendre et réussir, quel serait le premier facteur de succès?

“Fidéliser ses clients.“

Nous mesurons la part des clients fidèles dans notre activité et, bien entendu, leur satisfaction à travers un exercice systématique de feedback call qui nourrit à la fois la partie opérationnelle, les ventes et le développement du produit à long terme.

Enfin, nous réalisons de nombreux témoignages avec nos clients pour les valoriser et aider nos prospects à se projeter.

Quel est le plus grand frein à votre croissance?

La Gestion de la productivité.

Nous avons une approche systématique visant à identifier le rouage qui ralentit le plus notre croissance à un instant T, à comprendre les causes de ce ralentissement et à mettre en place un plan d’action dont nous mesurons ensuite l’impact par comparaison à une hypothèse.

C’est un mélange de deux méthodes : lean startup et critical chain.

Trouver l’équilibre nécessaire pour accompagner ses équipes et les faire grandir sans les laisser affronter seuls les challenges du quotidien.

Comment conciliez-vous travail et vie privée?

Mieux que lorsque j’étais salarié ! Après je délègue énormément, donc ça aide.

Un conseil pour celles et ceux qui veulent créer leur entreprise?

Prioriser ! A un instant, il n’y a pas tant d’actions qui vont réellement faire la différence dans votre activité.

Une citation ou un livre favori?

Seul sur Mars, le livre d’Andy Weir, une superbe métaphore de l’entrepreneur qui doit faire choix sur choix pour créer les conditions de sa survie. J’ai adoré.

Une expérience ou réussite à nous raconter?

Oui, nous avons construit une grille de salaire entièrement transparente pour tous les salariés et c’est un vrai facteur de confiance dans notre mode de management libéré. La parité est assurée.

Nous n’avons pas de discussions biaisées sur la performance commerciale. C’est un véritable atout et je m’apprête à la publier dans quelques semaines sur notre blog.

Startup à découvrir : Ermeo

[Interview] Startup à découvrir : Ermeo

Chez SmallBusinessAct, nous pensons que les expériences sont faites pour être partagées. C’est pour cela que nous avons consacré une rubrique spéciale sur notre blog : « les entrepreneurs à découvrir». Nous y mettons en avant des entrepreneurs et des startups qui innovent et inspirent.

Si vous pensez, comme nous, que les mots « entreprendre, réussir, innover, audace, relever des défis, passion, visionnaire… » font partie de la même famille, alors continuez votre lecture et découvrez des expériences riches et motivantes.

Aujourd’hui, faites la connaissance de Pierre Joly, co-fondatrice d’Ermeo.  

Nous interviewons aujourd’hui un smart-entrepreneur, fondateur d’une société qui fournit une solution logicielle métier pour transformer la documentation technique en un format dynamique et interactif !

Parlez-nous de vous, de votre parcours et d’Ermeo ?

Je m’appelle Pierre Joly, je suis ingénieur Supélec de formation.

A la sortie de mes études, j’ai travaillé pendant trois ans à la SNCF en qualité d’ingénieur de méthodes et maintenance. J’étais responsable de la documentation technique d’ordinateurs industriels complexes et je faisais la relecture et la modification de ces documents.

De là est né le constat que la documentation technique n’est pas adaptée aux réalités du terrain. C’est pour cela que nous avons décidé de créer ERMEO, dans l’objectif de faciliter le travail d’un opérateur sur le terrain, en lui donnant l’ensemble des informations nécessaires, pour qu’il réalise correctement son opération de maintenance.

Quelle est la valeur ajoutée d’Ermeo?

La valeur ajoutée apportée par ERMEO, est de rendre les métiers connectés en automatisant les processus et en exploitant les données les principaux bénéfice sont :

  1. Faciliter, optimiser et fiabiliser les opérations d’interventions
  2. Centraliser les données métier nécessaires à ces interventions
  3. Apporter une vue contextualisée, centralisée et complète des opérations

Une anecdote à nous raconter ?

L’idée de création d’ERMEO est survenue lors de l’une de mes interventions au sein de la SNCF.

Un ordinateur industriel permettant de piloter un train est tombé en panne dans la gare de Marseille-Saint Charles.

Après plusieurs vaines tentatives par plusieurs techniciens, la SNCF a déployé un jet privé dans la nuit pour que je puisse me rendre au plus vite sur place et ainsi régler le problème.

Et c’est vraiment de là qu’est né le constat de la problématique à laquelle nous répondons, c’est-à-dire que la documentation qui avait été transmise à ces techniciens n’était pas adaptées aux réalités du terrain.

D’où notre lancement d’ERMEO.

[Interview] Startup à découvrir : Ermeo

Pour entreprendre et réussir, quel serait le premier facteur de succès?

Je dirai que le premier facteur de succès est de savoir se remettre constamment en question au départ pour essayer d’adapter le plus possible son produit à la demande du marché !

Quel est le plus grand frein à votre croissance ?

Le manque de ressources humaines. Et c’est pour cela que nous recrutons davantage !

Le top 3 de vos plus grands challenges ?

Le top 3 de mes plus grands challenges au quotidien :

  • Attirer les talents qui feront la réussite d’Ermeo.
  • Porter un projet sur du long terme : dans une start-up, tout est à court terme, un des enjeu est d’arriver à s’extraire de l’opérationnel pour porter une vision long terme.
  • Trouver des financements.

J’arrive à les surpasser avec une organisation militaire du temps.

[Interview] Startup à découvrir : Ermeo

Comment conciliez-vous travail et vie privée ?

Pour moi il n’y a pas de séparation. Je pense que les deux sont très intimement liés et complémentaires, l’une ne va pas sans l’autre.

Un conseil pour celles et ceux qui veulent entreprendre ?

Mon conseil pour les futurs entrepreneurs est d’être toujours optimiste.

Qu’écoutez vous comme musique en ce moment ?

J’écoute du reggae !

Une expérience ou une réussite à nous raconter ?

L’une de nos réussites est la signature de notre premier CDI au bout de 7 mois de création d’Ermeo.

Pour nous, c’était un engagement fort par rapport à nos collaborateurs.

Le fait d’avancer ensemble dans le même but est déjà une réussite en soi !

Votre 11ème commandement serait ?

Mon 11ème commandement serait : tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.

 

Startup à découvrir : Saudade de Paris

[Interview] Startup à découvrir : Saudade de Paris

Chez SmallBusinessAct, nous pensons que les expériences sont faites pour être partagées. C’est pour cela que nous avons consacré une rubrique spéciale sur notre blog : « les entrepreneurs à découvrir». Nous y mettons en avant des entrepreneurs et des startups qui innovent et inspirent.

Si vous pensez, comme nous, que les mots « entreprendre, réussir, innover, audace, relever des défis, passion, visionnaire… » font partie de la même famille, alors continuez votre lecture et découvrez des expériences riches et motivantes.

Aujourd’hui, faites la connaissance de Jonathan Kirschstetter, co-fondateur de Saudade de Paris.

Parlez-nous un peu de vous, de votre parcours et de Saudade de Paris

Notre société s’appelle Saudade de Paris. C’est un projet qu’on a lancé à deux, mon associé Vilson Rocha et moi.

On a lancé l’activité en mai 2016.

L’entrepreneuriat, ce n’est pas quelque chose que nous avions vraiment en nous au départ. C’est quelque chose que nous avons dû apprendre à mettre à place, à mettre en œuvre.

Nous avions tous les deux orienté nos carrières dans le milieu de la mode, en tant que directeur artistique ou styliste.

C’est un concours de circonstance qui nous a fait nous lancer.  Ce que nous voulions, c’était proposer une nouvelle manière de consommer et remettre de la valeur dans le vêtement.

En effet, aujourd’hui, il y a beaucoup d’offres, on achète du vêtement assez facilement, car c’est un produit qui nous fait rêver et dont on a besoin tous les jours. Mais on ne sait pas vraiment ce qu’on consomme.

Notre idée, c’était de proposer un concept d’un vestiaire universel, qu’on réalise en demi-mesure à Paris, à travers des matières premières qu’on trouve localement.

Nous avons fait une recherche de fournisseurs de tissus et nous avons trouvé des hangars, à Paris ou en proche Banlieue, qui étaient remplis de fins de stock de tissus qui venait de grandes maisons françaises et internationales.

C’étaient des matières qui dormaient et étaient vouées à la destruction, auxquelles nous avons voulu redonner vie, pour les faire retourner dans leur cycle de vie naturelle.

Je suis designer de formation. J’ai travaillé pendant la première partie de ma carrière dans l’évènementiel, et je faisais de l’organisation de projets pour des lancements de produits pour des marques ou pour des évènements de particuliers.

Ensuite, j’ai changé d’axe, j’ai travaillé dans l’univers du sport.

J’étais designer puis directeur artistique dans une agence, donc j’ai pu travailler pour des marques qui allaient de Décathlon à Dior, sur des projets qui tournaient toujours autour du sport :  soit dessiner des collections de produits, ou aller dans la stratégie de marque, et faire de l’audit artistique de la marque.

Quelle est la valeur ajoutée de Saudade de Paris?

C’est de redonner de la valeur aux vêtements. Nos consommateurs viennent non pour acheter uniquement un vêtement, mais acheter un style de vie, un échange avec nous.

Nous leur offrons un peu de voyage dans leur quotidien.

[Interview] Startup à découvrir : Saudade de Paris

Pour entreprendre et réussir, quel serait le premier facteur de succès?

Tous ces éléments réunis ! Nous avons été confrontés à toutes ces étapes-là.

Nous sommes à la fois créateurs, fabricants, distributeurs, nous faisons la relation client et nous réalisons les fiches produits sur notre e-shop.

Aujourd’hui, nous sommes obligés de savoir tout faire. Impossible de négliger l’un des facteurs.
Nous devons être les plus performants sur chacun des axes pour pouvoir être vraiment à la hauteur et efficaces dans la gestion du temps.

C’est de la débrouillardise.

Aujourd’hui, nous avons mis tout en place nous-mêmes. Nous avons fait un bilan de nos compétences, pour voir là où nous étions bons et là où nous étions moins bons.

Puis nous avons essayé d’apprendre dans les domaines dans lesquels nous étions moins compétents, soit en observant nos concurrents, soit en se faisant aider dans cette démarche.

Avec mon associé, on s’est réparti les rôles. Lui s’occupe vraiment de la partie produit, mise au point, confection.

Moi je me concentre plus sur le quotidien : la comptabilité, la communication, l’entretien des réseaux sociaux, la visibilité de la marque.

Nos savoir-faire sont complémentaires et font que nous arrivons à tout appréhender en même temps.

Quel est le plus grand frein à votre croissance?

Je dirais que c’est la trésorerie qui est trop faible pour le moment, car nous venons de nous lancer. Nous avons eu beaucoup de dépenses dans l’aménagement du lieu, l’achat de machines, etc.

Cela a eu un grand impact sur notre trésorerie et cela nous freine dans la communication et le nombre de ventes que nous pouvons réaliser.

Aujourd’hui notre challenge, c’est de faire rentrer un maximum de clients dans la boutique.

Nous communiquons beaucoup sur les réseaux sociaux. Nous essayons aussi d’approcher la presse directement. Nous n’hésitons pas à inviter directement des gens, nous les incitons à venir découvrir la boutique et notre univers.

La plus grande difficulté c’est de garder la motivation. La vie d’un entrepreneur est un grand huit, tous les jours! Parfois on monte, parfois on descend.

Il faut savoir rester philosophe et prendre beaucoup de recul.

Le top 3 de vos plus grands challenges

Je dirais la gestion du temps, parce que même si on pense être efficace, la checklist s’allonge d’un instant à l’autre.

On a beau cocher tous les éléments qu’on a réalisé, il y a toujours quelque chose qui se rajoute. Ce n’est jamais terminé. Cela impacte la recherche de clients.

Ensuite je dirais, libérer de la visibilité pour des projets futurs.

On essaie d’écouter beaucoup de conseils, de prendre des avis à la fois de nos clients, mais aussi de personnes extérieures au projet et de faire une synthèse de tout ça, pour voir quelle serait la meilleure direction à prendre.

Comment conciliez-vous travail et vie privée?

C’est assez difficile, dans le sens où la vie professionnelle, lorsqu’on est au début d’un projet, est très chronophage et prend énormément de temps sur la vie en règle générale.

De plus, nous sommes en couple et lancés à deux dans cette aventure, c’est donc d’autant plus de risques et d’engagement.

Mais finalement, la seule chose vraiment difficile est d’arriver à s’octroyer juste un jour « off » dans la semaine.

Sinon le reste est assez simple, car notre projet nous ressemble. Nous y avons mis notre âme, donc nous arrivons à concilier les deux, car l’un sert l’autre, et les deux aspects professionnels et privés sont complémentaires.

Un conseil pour celles et ceux qui souhaitent lancer leur start-up?

De s’entourer très tôt et très vite. En France, nous avons la chance d’avoir pas mal d’associations et d’organismes qui aident à la création d’entreprises. Il ne faut pas hésiter à très bien s’entourer, pour ne pas faire d’erreurs. Car le temps passe très vite et si on peut limiter ses erreurs, c’est un vrai plus.

Une citation ou un livre favori? Qu’écoutez-vous comme musique en ce moment ?

Une citation que j’aime bien, mais je ne sais pas de qui elle est : « fais de ta vie un rêve et de ce rêve une réalité ».

C’est un conseil que je donnerais à tous les entrepreneurs, il faut rêver, il faut avoir de l’ambition, il faut savoir pourquoi on se lance dans cette activité et c’est souvent le rêve qui fait cela, même quand on a une activité très mécanique, on veut apporter quelque chose de différent.

Et après, il faut faire en sorte que ce rêve devienne une réalité, c’est-à-dire se donner les moyens d’y arriver.

Nous écoutons beaucoup de Bossa Nova, à vrai dire. Comme notre projet touche au sentiment du Saudade, forcément la musique brésilienne et cap verdienne tourne beaucoup dans nos têtes.

Une expérience ou réussite à nous raconter?

Au départ de notre activité, nous avons été suivi par une association qui s’appelle Positive Planet, qui est une fondation internationale et qui, chaque année, récompense des projets à travers le monde pour leur portée positive dans l’économie.

Nous avons eu la chance de recevoir l’un de ses prix, ce qui a été une très belle expérience et une vraie reconnaissance de notre travail, alors que nous étions lancés depuis à peine une année.

Votre 11ème commandement serait?

“Ne lâche rien”.

 

Startup à découvrir : Solen

Chez SmallBusinessAct, nous pensons que les expériences sont faites pour être partagées. C’est pour cela que nous avons consacré une rubrique spéciale sur notre blog : « les entrepreneurs à découvrir». Nous y mettons en avant des entrepreneurs et des start up qui innovent et inspirent.

Si vous pensez, comme nous, que les mots « entreprendre, réussir, innover, audace, relever des défis, passion, visionnaire… » font partie de la même famille, alors continuez votre lecture et découvrez des expériences riches et motivantes.

Aujourd’hui, faites la connaissance de Clément Henry, co-fondateur de Solen.

Parlez-nous un peu de vous, de votre parcours et de Solen ?

Je m’appelle Clément Henry, je suis ingénieur et j’ai complété ma formation par un diplôme d’école de commerce. C’est là que j’ai rencontré mes deux associés, Thomas et Enzo qui, comme moi, avaient fait une école d’ingénieur auparavant.

Enzo est spécialisé en informatique et Thomas dans le secteur énergétique.  

Solen est née d’un projet académique destiné à favoriser la création d’entreprise au sein de l’école.

Ayant eu de la part du jury un très bon retour et des encouragements pour continuer l’aventure une fois le projet académique terminé, nous avons décidé de lancer Solen au-delà des murs de l’école.

Solen, qui signifie soleil en suédois, a été créée en 2016.

Elle traite le problème de la luminosité à travers une application mobile qui permet de calculer et de simuler le taux de luminosité et d’ensoleillement d’un lieu, en prenant une simple photo avec son smartphone, à partir d’une technologie qu’on a développée nous-mêmes.

Au départ, l’application était dédiée au grand public, pour que les gens puissent calculer le taux de luminosité et d’ensoleillement des terrasses, avant de prendre un verre par exemple, mais nous nous sommes tout de suite aperçus que cela n’était pas le bon modèle économique.

Nous avons par la suite basculé vers l’immobilier, en partant du constat que l’un des trois premiers critères, lors de l’achat d’un appartement, est la luminosité, avec le prix et la localisation géographique.

Nous nous sommes donc rendus compte qu’il n’y avait pas d’indicateur sur le marché qui permette de comparer la luminosité entre deux appartements, d’où notre modèle économique actuel.

Quelle est la valeur ajoutée de Solen ?

Avant la création de Solen, quand on voulait acheter un appartement, il fallait le visiter plusieurs fois par jour et à plusieurs saisons pour avoir une idée réelle de sa luminosité. Notre solution permet de quantifier et d’objectiver cette information capitale.

L’achat d’un appartement est l’achat d’une vie, avec une moyenne de 220 000 euros pour un bien immobilier en France. Donc avant de faire un investissement, c’est primordial d’avoir des informations claires et objectives.

[Interview] Startup à découvrir : Solen

Une anecdote à nous raconter ?

Oui, en ce qui concerne le choix du nom de notre entreprise. Nous voulions avoir la traduction du mot soleil, en excluant l’anglais et l’espagnol.

Après avoir fait différentes recherches, nous nous sommes arrêtés sur le mot « solen » qui veut dire soleil en suédois et que nous avons trouvé joli.

Pour entreprendre et réussir, quel serait le premier facteur de succès?

Mon premier facteur de succès est de savoir s’entourer des bonnes personnes et d’avoir la bonne équipe d’associés qui nous permet d’avancer ensemble vers le même objectif.

C’est hyper important aujourd’hui : quand vous lancez une entreprise, vous devez impérativement être en confiance avec vos associés.

Quel est le plus grand frein à votre croissance?

Je dirais les Ressources Humaines.

Aujourd’hui, il manque du monde pour faire tout ce qu’il y a à faire. Mais nous sommes en plein processus de recrutements, donc ce problème sera réglé prochainement.

La plus grande difficulté serait de savoir prioriser, c’est-à-dire savoir ce qui est vraiment important et urgent sur la « to do List » que nous avons à réaliser dans la journée. Comme nous n’avons jamais le temps de tout faire, il faut bien choisir nos priorités.

Le top 3 de vos plus grands challenges

Pour le top trois de mes plus grands challenges au quotidien, je dirais :

  • Vendre ma solution, en premier lieu.
  • Bien communiquer avec mes équipes.
  • Savoir s’entourer et demander conseil.

Je me remets souvent en question, je ne prends pas les choses comme acquises et j’essaye toujours de garder un bon état d’esprit.

Comment conciliez-vous votre travail et vie privée ?

Disons que la première année on ne concilie pas forcément, car la création d’entreprise est un vrai sprint, surtout au début.

Ensuite, il faut savoir prendre le temps de souffler, s’accorder du temps le week-end et prendre quelques jours de vacances de temps en temps.

Un conseil pour celles et ceux qui souhaitent créer leur entreprise?

Il ne faut surtout pas avoir peur de se lancer, ni de se poser trop de questions ! Quand on a une idée plausible, il faut foncer.

Une citation ou un livre favori? Qu’écoutez-vous comme musique en ce moment ?

Il y a un livre sur l’entrepreneuriat que j’ai beaucoup aimé. C’est est un livre de Jean Baptiste Rudelle, dont le titre est : « On m’avait dit que c’était impossible ».

J’écoute le dernier album de MC Solaar.

Une expérience ou réussite à nous raconter?

Je dirais que notre réussite, c’est la signature de notre premier gros client.

Votre 11ème commandement serait ?

Je dirais que c’est de faire les choses avec passion.

 

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